Portrait Du Père Grandet

: Notre Dame de Paris, Hugo | | | | | | |1833 : Eugénie Grandet, Balzac | | | | | | |1834 : Le Père Goriot, Balzac | | | | | | |1834 : On ne badine pas avec

monde rural, la corvée de fagots. - perturbation : incident où les enfants s'égarent dans l'espace pourtant connu de la forêt. - déséquilibre : la menace du loup, l'animal sauvage par excellence, le rôle type du "méchant". - action réparatrice : le père et le chien domestique partent à la recherche des égarés. - restauration de l'équilibre et résolution heureuse, après la tension intense. Le "méchant" est éradiqué. STEREOTYPES D'INTRIGUES On peut trouver des intrigues stéréotypées avec des

Ainsi, entre 1829 et 1833, Balzac a presque tout inventé : la structure, la fusion de l’observation des mœurs et de la réflexion philosophique, la progression dramatique d’une histoire insérée dans le concret et fondée sur la durée. En 1835, « Le Père Goriot » constitue une étape décisive dans la carrière de Balzac grâce à l’idée géniale du « retour du personnage », procédé qu’il utilisera par la suite de façon systématique. Il pensait qu’en voyant reparaître dans ce roman quelques-uns des personnages

Raymond Sarraute, épousé en 1925, dont elle a eu trois filles (dont Claude Sarraute). Après des études de droit et d’anglais, elle devient avocate. Ses premiers livres sont : Tropismes (1939 puis rééd. chez Minuit en 1957 : ensemble de courts textes), Portrait d’un Inconnu (1948 – roman préfacé par Sartre ; ce livre obtient une certaine consécration mais pas de succès public), Martereau son deuxième roman marqué par la désintégration du personnage (1953), Le Planétarium (1959). L’Ère du soupçon en 1956

vouloir se suicider. Raphaël entreprend alors de raconter sa vie. Deuxième partie : La femme sans cœur Raphaël commence alors le récit de ses années d’enfance et de collège. Sa mère est morte alors qu’il était très jeune. Il présente son père comme un être autoritaire et froid qui a pour ambition que son fils fasse son droit, devienne un homme d'État afin de défendre l'honneur de la famille. Il souhaite aussi que son fils puisse racheter des terres qu’il avait acquises à l'étranger

poussé à vouloir se suicider. Raphaël entreprend alors de raconter sa vie. Deuxième partie : La femme sans cœur Raphaël commence alors le récit de ses années d’enfance et de collège. Sa mère est morte alors qu’il était très jeune. Il présente son père comme un être autoritaire et froid qui a pour ambition que son fils fasse son droit, devienne un homme d'État afin de défendre l'honneur de la famille. Il souhaite aussi que son fils puisse racheter des terres qu’il avait acquises à l'étranger sous

vouloir se suicider. Raphaël entreprend alors de raconter sa vie. Deuxième partie : La femme sans cœur Raphaël commence alors le récit de ses années d’enfance et de collège. Sa mère est morte alors qu’il était très jeune. Il présente son père comme un être autoritaire et froid qui a pour ambition que son fils fasse son droit, devienne un homme d'État afin de défendre l'honneur de la famille. Il souhaite aussi que son fils puisse racheter des terres qu’il avait acquises à l'étranger

provoque la joie d’autrui. Sa position de « promeneur solitaire » n’est donc pas une attitude philosophique choisie mais bien une conséquence subie de sa destinée. Il s’y est résigné après examen de ce qui était le mieux pour lui. À travers ce dernier portrait de Rousseau, on est proche de la figure de l’artiste maudit (dont le génie est incompris par la société qui l’entoure) qui sera ensuite exaltée par les écrivains romantiques du 19e siècle. Le rapport à la nature Rousseau aime offrir à ses rêveries

passant par « La Peau de Chagrin » (1831) et « Louis Lambert » (1832) les tendances réalistes prennent de la vigueure et repoussent peu à peu celles romantiques pour triompher sur ces dernières dans « Eugénie Grandet » (1833), premier roman réaliste de BALZAC. Ensuite BALZAC publie « Le Père Goriot » (1834 à1835), « Le Lys dans la Vallée » (1835 à 1836). À cette époque leur auteur songe à grouper ses scènes et études en un ensemble organisé qui serait une réplique (ctd. copie, double) de la société

partir du troisième paragraphe, le discours descriptif se poursuit par le portrait de Boule de Suif : « Petite, ronde de partout, grasse à lard, avec des doigts bouffis ». La description physique convoque de nombreux adjectifs et s’intéresse aux détails : « de grands cils épais », « une bouche charmante, étroite, humide », « quenottes luisantes et microscopiques ». Le temps dominant est l’imparfait. Maupassant fait le portrait d’un être singulier, excessivement gras, mais qui attire le regard et exerce