Portrait Le Cid

en mesure de développer une réflexion sur ce genre littéraire. Cette séquence est destinée à une classe des CPGE est la troisième consacrée au théâtre. La première étant consacrée à la tragédie en l’occurrence la lecture d’extraits de la pièce le Cid de Corneille. A travers la lecture de ces extraits, les élèves sont parvenus à mettre le doigt sur les spécificités du théâtre classique cornélien. Puis la deuxième séquence portait sur la comédie à partir d’extraits tirés de l’Avare et le bourgeois

esthète féru d’art comme l’étaient ses prédécesseurs Valois. Pour autant, il n’y est pas insensible ; ce qui importe, néanmoins, c’est que les portraits soient ressemblants, les allégories aisément compréhensibles, et que les palais témoignent par leur splendeur de la grandeur de son règne. Les Flamands Jacob Bunel et François II Pourbus s’expriment dans des portraits à la précision glacée et dans des scènes aux ambiances somptueuses. L’autre veine des peintres est celle du rêve romanesque, dont Henri

c’est probablement un personnage baroque. On peut faire l’hypothèse que ce magicien possède d’étroites ressemblances avec Corneille lui-même. Ils ont une position de metteur en scène. Ils ont de nombreuses qualités en commun. Problème : En quoi le portrait d’Alcandre transforme-t-il cette scène d’exposition en réflexion sur l’art du théâtre ? I. Une scène d’exposition mystérieuse et baroque Examiner les 3 fonctions traditionnelles de la scène d’exposition. A travers elles, Corneille chercher 2 objectifs :

adeptes ! Est-il possible, dans de telles conditions, de définir des constantes du concept de « héros » ? L’imaginaire collectif associe au héros la beauté, la jeunesse et le dynamisme. Cette idée simpliste trouve sans doute son origine dans les portraits stylisés et idéalisés des contes de fées de l’enfance, dans lesquels les princes ne peuvent être que charmants et courageux, intelligents et intrépides, riches et magnanimes… Les mythes et les légendes du Moyen-Age ont conservé ces traits, tout particulièrement

la métaphysique. Genres théatraux : comédie, tragédie, épopée, poésie Genre épidictique : l’éloge et la blame. On est dans le jugement de valeur, dans la valorisation extrême ou au contraire dans la dépréciation extrême. Genre délibératif : le Cid de Corneille. Lorsqu’on essaye de pser le pour et le contre d’une situation, on évalue es conditions de faisabilité d’un projet.. Genre judiciaire : on discute, on pese le vrai le faux, démarche dialectique de dialogue : lorsque qq vous soumet une

reprendre son équilibre après une émotion. Perte de la mémoire à court terme. Diminution de la quantité et de la qualité du sommeil. Tout est en terme de diminution, de perte. « Ô rage, ô désespoir, ô vieillesse ennemie ! » d’après Corneille dans Le Cid, la vieillesse est vue comme un ennemi. Cela place le vieillard dans une situation d'insécurité permanente, le contraignant à prendre des précautions infinies. « Tout chemin d'acquérir se ferme à la vieillesse » d’après Régnier dans Les Satires, la

dignité fatale à mon bonheur ! Précipice élevé d'où tombe mon honneur ! Faut-il de votre éclat voir triompher le comte, Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ?  » Corneille, Le Cid, 1636 Cette exigence morale de la littérature classique fait de la tragédie, de la fable, des maximes et des portraits des genres privilégiés. La forme est aussi soumise à de fortes contraintes : la langue classique est marquée par un souci constant de pureté et d'harmonie. L'Académie française, crée par Richelieu

roman et par conséquent pas de désordre inhérent au discours des passions au XVII°. - Portrait physique à peine esquissé. On ne saura rien ou presque de leur personne. Madame de la Fayette indique que Monsieur de Nemours avait « pris beaucoup de soin à se parer. Ce récit purement narratif exclut toutes descriptions précises. Opposition à la même scène dans l’incipit de L’Education Sentimentale. Un portrait esquissé, qui est extrêmement conventionnel. Les héros sont à la fois noble, riches,

pour ne pas trahir les préceptes maternels. Cette œuvre est considérée comme le premier roman moderne de la littérature française. • Une tragédie de Corneille ou un autre tragédie de Racine : A choisir parmi les titres suivants. Le Cid (Corneille, 1637), Horace (Corneille, 1640), Andromaque (Racine, 1667), Bérénice (Racine, 1670). • Une autre comédie de Molière : Le Misanthrope (Molière, 1666), Les Femmes savantes (Molière, 1672), Dom Juan (Molière, 1665). XVIIIe

chapitre XVIII de « encore cinq minutes » à « tout s'effondra.» Etudes d'ensemble Interprétations sur le titre du roman. Qui sont les faux-monnayeurs dans le roman ? Les Faux-Monnayeurs : est-ce un roman ? Les personnages du roman : portraits / modes de présentation / regroupements possibles Le roman du roman ? Une réflexion sur l'écriture Activités complémentaires Conférence d'Elisabeth Chupick dans le cadre de la Semaine de la Francophonie : La Littérature québecoise et