Portrait Physique Elogieux

extraordinaire B – Deux personnages qui suscitent l'admiration (qui attirent le regard) Champ lexical admiration Mme de Clèves et Mr de Nemours → centre des regards Portraits élogieux de Mme de Clèves et Mr de Nemours avec: * termes mélioratifs sur la beauté + Hyperbole * insistance perfection physique ==> réaction que cela provoque * insistance parure des personnages ==> répétition de «parer» ==> MONDE AVEC UNE IMPORTANCE DE L'APPARENCE Personnages connus et renommés (au

12, richesse du statut social "ce prince". (Attirances) Ligne 18, hyperbole sur l'attirance physique. 3) - L'entourage admire ce couple. (ligne 20) métaphore avec "s'élever" -> valorise cette réaction. - Qui se ressemble s'assemble. (ligne 13-14/17) répétition de l'adjectif "surpris", même réaction des des gens. II. 1) Portrait élogieux du duc, parle beaucou de lui. Conséquences : "curiosité et impatience" de la princesse. Hyperbole

paysan ». Cependant Julien adopte un comportement intellectuel qui s'oppose au comportement manuel issue de son milieu, en effet Stendhal insiste sur son savoir qui étonne en l'occurrence Madame de Rênal : « Vous savez le latin? ». De plus, l'apparence physique de Julien ne correspond pas à l'attente de Madame de Rênal. En effet, elle est surprise de voir le précepteur dont lui avait parlé son mari. Ainsi, au fil de l'évolution de la situation, Madame de Rênal emploiera différents termes utilisés pour le

politiques son donc très sujets à ces reproches car ils font des promesses, ils sont soi-disant plein de bonnes intentions mais ils ne le sont qu’à en écouter leur parole. La parole est souvent un moyen par lequel les politiques et brossent souvent un portrait érodé de la réalité futur, ils préfèrent cette malhonnêteté quant à leurs agissements afin de séduire les citoyens d’une nation.Nous venons de voir par l’exemple politique que la parole n’est pas souvent liée à une action, celle-ci étant un tissue

développées par la suite Il juge inaccessible la femme convoitée· comme le montre la répétition du déterminant démonstratif « cette «  puis « ci » qui la met à distance· Il utilise des termes élogieux et hyperboliques pour parler d’elle « mieux » « grande charge » « rang »Il se déprécie lui-même dans un portrait à l’opposé d’Araminte :· il parle de lui en termes négatifs avec les négations, de plus « quelque «  est un adj indéfini qui le minimise· l’anaphore de « moi » et la rime interne « rien/ bien »

de Zoroastre : Quand tu manges, donne à manger aux chiens, dussent-ils te mordre. Il était aussi sage qu’on peut l’être ; car il cherchait à vivre avec des sages. Instruit dans les sciences des anciens Chaldéens, il n’ignorait pas les principes physiques de la nature, tels qu’on les connaissait alors, et savait de la métaphysique ce qu’on en a su dans tous les âges, c’est-à-dire fort peu de chose. Il était fermement persuadé que l’année était de trois cent soixante et cinq jours et un quart, malgré

fermer ont attendu le jour ». L’articulation de la description autour de ce champ lexical alimente l’idée que Néron n’aime pas sa captive pour ce qu’elle est, mais pour l’idée qu’il a d’elle, pour son image. Néron en dresse d’ailleurs un portrait physique élogieux, autour du champ lexical de la beauté, terme mis en valeur par une majuscule v.9, « belle » v.8, « Beauté » v.9, « douceurs » v.13. Ainsi, le lecteur à l’impression de se trouve devant un tableau. Cette idée de tableau est également nourrie

Silvia (scène 1). - La présentation de Dorante par Lisette Lisette brosse un portrait élogieux de Dorante (l. 36-40). Elle souligne ses qualités physiques (« bien fait »), intellectuelles (il a de l’ « esprit ») et de sociabilité : il est « un des plus honnêtes du monde ». Lisette insiste enfin sur la valeur morale de Dorante, qui ne cherche pas une aventure, mais désire « se marier dans les formes ». C’est donc le portrait du mari idéal que fait Lisette : « Aimable, bien fait, voilà de quoi vivre

le faste de la cérémonie. 2) Par la beauté exceptionnelle des personnages (beauté physique et beauté de leur parure). *Les portraits sont très laudatifs, mais conventionnels et peu concrets comme en témoignent, par exemple, les expressions suivantes : « ce qu’il y avait de mieux fait (…) à la Cour », « l’air brillant qui était dans sa personne ». *Leur beauté étant indicible, la narratrice (cf. le portrait de Mlle de Chartres, lect. anal. n°1) préfère montrer l’effet produit par cette beauté

tout de même. Nous aurions pu trouver beaucoup mieux comme position, mais pas comme intelligence et comme avenir. C’est un homme d’avenir. Il sera député et ministre. ‘ Personnages Description réaliste de la topographie, ainsi que du portrait moral et physique des personnages. -Première liaison avec Rachel (prostituée) et qui ne lui apporte que tu plaisir. Puis il y a Madame de Marelle. Sa maîtresse avec qui il se dispute et se réconcilie sans cèsse. - Clotilde et Madeleine sont les femmes