Portrait Réaliste

l’itinéraire personnel d’un individu qui se frotte aux réalités du monde Flaubert : écrivain français fasciné par le romantisme, a marqué la littérature française par la profondeur de ses analyses psychologiques, son souci de réalisme… Le portrait d’un oisif : le point de vue sur le personnage . Frédéric Moreau, désigné par le pronom « il » : souvent décrit du dehors, en focalisation externe . Evocation des faits et gestes de ce médiocre héros, de ses sorties sur le balcon

des pieds jusqu'aux mains ridées. Le résultat de treize ans de travail, de 1984 à 1997, est le portrait poétique d'un homme comme entité corporelle, chaque partie devenant l'histoire de l'artiste. Ses photographies peuvent ainsi choquer et provoquer par la nudité et la vieillesse du corps dans une société qui, aujourd’hui, prône la jeunesse éternelle. Son travail est de cette façon éminemment réaliste voire presque documentaire John Coplans a ainsi étudié tout au long de sa carrière la perception

être attentif aux lieux / décors (réalistes, fantastiques, intérieurs, paysages), aux personnages (allégories, vêtements pouvant être le signe d'une appartenance sociale), aux objets, aux couleurs (ex: le blanc symbolise la pureté) - Fonction de l'image: la fonction dépend des destinataires (public d'un musée, consommateur, croyant d'une église) raconter: l'image propose un moment clé d'une histoire décrire: monde réel (paysage, nature morte, portrait, caricature, photo) ou imaginaire

foncière.  2 thèmes du roman : ville et argent (3e = la chair)  Nous étudierons au cours d’une étude thématique, en quoi cette description de la transformation de Paris révèle le portrait de Saccard et l’aspect épique servant à la critique. I) Description de la transformation de Paris 1) Une description réaliste  localisation spatiale  Paris = précision des noms de lieux  contribuent au réalisme de cette description = authenticité géographique  soucis de précision et de véracité

Le Réalisme « Le cousin Pons ». Plan du portrait de Mme Cibot : Quelle image le narrateur donne t'il de Mme Cibot ? Anaphore : anaphore :figure, repetition qui consiste à repeter un meme mot Gradation :figure de style consistant en une succession d'expressions énuméré. Pour crée un rythme dans la phrase et persuade par la beauté de la musique des mots. Énumeration de sentiments plus ou moins fort. 1.Un portrait élogieux : Madame Cibot portière depuit 25 ans, ancienne belle écaillère

démystification des romans réalistes, ce roman se rapproche de la chronique historique par brièveté, la rigueur de sa composition, son exigence de vérité. Tout en maintenant intact le charme du romanesque, l'auteur démonte les rouages de la vie de cour et analyse faiblesses et désirs de son héroïne. Beaucoup d'hyperbole et de litotes, un dénouement surprenant et soigneusement préparé et pourtant mystérieux, donnent au récit l'intensité d'une tragédie. Problématique : Comment ce portrait mêle-t-il grandeur

La Bruyère De l’homme « Gnâthon » Dans les Caractères, œuvre unique et singulière, ou les mœurs de ce siècle, La Bruyère nous présente, entre autres, un certain nombre de portraits visant à caractériser les hommes de son époque. Observer « les caractères » d’un certain nombre d’individus permet en effet à ses contemporains, en riant de leurs propres vices, de s’améliorer. Mais aussi, de façon plus large, et dépassant son propre siècle, La Bruyère décrit l’être humain et ses singularités. « Gnâthon

impressionnistes s’efforceront de fixer l’éphémère, la vision passagère. Entre 1820 et 1850, la peinture française connaissait de prestigieux mouvements artistiques, avec d'abord la révolution romantique (Géricault, Delacroix), puis la révolution réaliste (Courbet, Millet) et naturaliste des peintres de l’Ecole de Barbizon (Daubigny, Rousseau, Troyon, Corot). Courbet, Corot et Delacroix, représentent alors l'avant-garde de la peinture française, et vont constituer les modèles dont tous les impressionnistes

Vinci de 1503 à 1506 a Florence. De Vinci est né en 1452 en Italie. Il c’est révélé des dons artistique très précocement. Il connait rapidement la gloire grâce a ses créations dont le portrait de Mona Lisa. Tableau rare et célèbre depuis sa création, plusieurs peintres on tentés de reproduire ce portrait mais elle reste une énigme sur son identité et son histoire ainsi que sur la façon de peindre de Léonard dont on ne voit aucun coup de pinceau. Ce tableau fut acquis par François 1er après

bohème parisienne. Courbet est au cœur de l’effervescence artistique et politique. Il se lie avec des artistes qui veulent proposer une alternative à l’antagonisme romantisme-académique (tels que Charles Baudelaire, Hector Berlioz… dont il a fait les portraits). Sous l’impulsion de Jules Champfleury, Courbet jette les bases de son propre style ; le réalisme, il veut s’inspirer des idéaux de la bohème. Jules Champfleury rédige pour le peintre la liste de ses œuvres pour le Salon de 1849. En août 1849