Portrait Satirique De

C’est sans doute le premier sens du terme « instruction » utilisé par La Bruyère : il s’agit, à travers ces critiques, de proposer un cadre moral meilleur. Dans l’Antiquité gréco-latine, on peut citer le poète comique grec Ménandre et le poète satirique latin Juvénal qui n’ont pas cessé, tous les deux, de mettre en avant les vices dans la ville d’Athènes et de Rome. Plus proche de nous, La Bible vise également l’instruction, le plus souvent de façon très directe : il suffit de penser aux dix

et Manon comprennent que ces louanges sont feintes et qu’elles ne sont destinées qu’à satisfaire la vanité de M. G… M…. qui se retrouve bien dupé par les trois compères Un portrait satirique  : Dès son entrée en scène, M.deGM apparaît comme un personnage ridicule. DG en brosse rétrospectivement un portrait satirique : « le vieil amant », « prendre plaisir à me voir » : il apparait comme un « vieux libidineux », attiré par DG. Il est même particulièrement tactile avec lui en lui touchant

L’ensemble des extraits de ces œuvres permet de dégager la vision que les écrivains du XVI° peuvent avoir du personnage du courtisan. Seul Castiglione offre une vision méliorative du courtisan, mais son texte est original : il présente en effet le portrait idéal du courtisan qu’il souhaiterait voir évoluer dans les cours, et non pas un constat, contrairement à ce que les trois autres textes proposent. Castiglione commence donc le premier et le dernier paragraphe de l’extrait par l’expression « je

du XVIIIème siècle (1759), le 3ème du XIXème siècle (1852) et pour le 4ème document qui est un dessin du XXIème siècle (2009). Ces quatre documents sont satiriques sauf le deuxième document qui est un pamphlet, ils dénoncent de façon ironique des personnages réels ou fictifs. Dans le 1er document l’auteur dresse un portrait caricatural d’une catégorie de personnes efféminées, dans les trois autres documents la satire vise des personnages publics en les mettant dans des situations où ils

on détruit d'abord sa propriété privée). Les portraits de cette star de l'activisme anticapitalisme se multiplient, offrant un portrait presque attirant de son idéologie. Militant associatif, membre de plusieurs collectifs (les désobéissants, le Réseau Sortir du Nucléaire, Génocide Made in France...) Auteur d'une ouvrage de recherche sur les nouvelles formes de mercenariat (La privatisation de la violence, Agone 2006), et d'un jeu de société satirique (des Thunes et des Urnes, Contrevents 2004)

sa tirade. -> G joue le rôle du questionneur dans le dialogue. Ce passage permet d’arrimer la scène et d’alléger l’effet produit par les tirades. Ici, Sga mène la scène à sa guise. -> Après l’éloge du tabac, le blâme de DJ. Sga nous fait un portrait satirique, ironique et presque caricaturale de son maître. 2 Absence du personnage principal -> Cette scène d’exposition se distingue par l’importance donnée à Sga: c’est l’une des seuls scènes où le valet est présent sans le maître (acte 2 scène

grâce auquel il peindra le portrait d’un personnage impie, méprisant, et séducteur. Nous étudierons l’acte I scène 3 de cette pièce dans lequel, après avoir séduit Done Elvire au couvant, Don Juan essaie de se libérer de ses chaines beaucoup trop envahissante a son gout. Problématique : En quoi avons nous affaire à une scène de séparation atypique ? I- Done Elvire, une héroïne tragique A travers une description poussée nous étudierons comment l’auteur dépeint le portrait de cette héroïne tragique ;

de l’antiquité Grec nommé Théophraste et brosse des portraits brefs et vivants pour plaire et instruire, « Placere docere » en latin, à la manières des auteurs classiques comme par exemples La Fontaine et Molière. L’extrait étudié est tiré du livre 5 intitulé De la société et de la conversation. Il fait des portraits d’Arias, littéralement « celui qui se donne des grands airs ». La Bruyère, dans une annecdote satirique va dénoncer un certain caractère, celui de l’afabulateur

exhale une odeur de « vieilles robes » et le portrait souligne sa « coquetterie féminine » (l. 361) ; en Filippo, son petit neveu, coexistent la grâce efféminée d’Antinoüs et des « passions mâles » (l. 111) ; le tableau de Vien représente un jeune homme, Adonis, mais dont les traits connotent la féminité et que Mme de Rochefide examine d’ailleurs comme « une rivale ». Le narrateur renforce cette confusion sexuelle en affirmant que ce portrait a été réalisé « d’après une statue de femme »

semble lui aussi au centre de l’attention. Tout d’abord, dans une première partie, nous nous intéresserons au portrait comportemental du personnage de Gnathon. Puis dans une seconde et dernière partie, nous verrons comment La Bruyère, à travers ce texte satirique, représente Gnathon comme étant l’allégorie de l’individualisme I. Un comportement égocentrique A. Un portrait d’un homme misanthrope. « Il occupe lui seul celle de deux autres » (L.2-3) | « il se rend maître du plat »