Portrait Vieille Femme

matières Préface Poémes 1. « l’Albatros » de Charles Baudelaire. 2. « La colombe  » de Apollinaire. 3. « L’écrevisse » de Guillaume Apollinaire. 4. «L’hirondelle au printemps cherche les vieilles tours» par Victor Hugo. 5. « Chat» de Paul Eluard. 6. «Pour faire le portrait d’un oiseau » de Jacques Prevert . 7. « L’abeille » par Paul Valery. Préface : Nous allons étudier une anthologie poétique, composée de sept poèmes, sur la thématique des animaux. Ce thème a en

narratif simple. Personnages stéréotypés : Ils ne sont pas nommés et sont déterminé de façon indéfini (« une bonne vieille » ;  « un soudard ») ou générique (« la bonne dame » ; « les plusieurs »). Pas de description physique ni de portrait psychologique, la caractérisation des personnages est liée au besoin du récit (le soudard est endormi et la vieille dévote). Ils apparaissent et disparaisse au gré de l’action Le Lieu Il est sommairement décrit : la première

serez bien vieille..." parce que c'est une poésie dans laquelle nous retrouvons les thèmes habituels de Ronsard (l'amour impossible, la mort, la fuite du temps), mais aussi parce que ce poème m'a interpellé par son style particulier. Ronsard essaye de séduire Hélène non pas en décrivant sa beauté mais en écrivant un portrait peu élégant d'elle, ce qui est assez paradoxal lorsque on veut séduire.Vieille femme au coin du feu ,huile sur toile de Jeanne Beitz " Quand vous serez bien vieille...

assassiné. Alfred Dreyfus est réhabilité en 1906. II- Les personnages Thérèse est le héros éponyme de l'histoire ; ce qui annonce l'importance de son personnage. En effet sa névrose et son hystérie seront les acteurs principales du roman. La jeune femme est de nature fougueuse mais cette nature est comme enfermée dans un corps calme et ses sentiments cachés derrière un visage placide. Camille est le cousin de Thérèse. Dès la majorité de cette dernière ils sont contraints de se marier. Il est décrit

une ancienne amie de sa mère lorsqu’elle était au château de Haut Mesnil. Elle faisait partie, avec la Malgy, des femmes avec lesquelles les seigneurs des environs s’amusaient. Jeanne raconta à cette vieille femme paraplégique et méprisée par tous sa rencontre avec le berger mais la vieille femme sentait bien qu’autre chose la tourmentait. Jeanne finit alors par lui parler de l’abbé de la Crois Jugan. La Clotte l’avait connu dans sa jeunesse car il venait souvent au château et allait chasser avec

révolte    1) A qui s’adresse la grand-mère ? Justifiez votre réponse en citant le texte. 2) Quelles expressions utilise-t-elle pour désigner l’enfant ? Quel sentiment exprime-t-elle ainsi ? 3) Quel portrait dresse-t-elle de l’enfant ? Quel terme de la 1ère partie l’annonçait ? A quelle image ce portrait s’oppose-t-il ? 4) Quelles remarques pouvez-vous faire concernant la ponctuation dans le discours de la grand-mère ? 5) Quels sont ses sentiments ? Pourquoi ? 6) Que remarquez vous en ce qui concerne

Etude d'un extrait de Mme Bovary Etude du personnage : Dans cet exrait de Flaubert, publié en 1857, nous allons étudier le personnage de Catherine Leroux, qui représente un portrait symbolique. On parle d'un portrait qui épouse le regard des spectacteurs. La dramatisation de l'apparition de Catherine permet de mettre en valeur celle-ci : la multiplication de petites phrases courtes présentée au style direct crée un effet d'attente, et sucite la curiosité. Flaubert à recourt à une focalisation

le mouvement naturaliste (Zola, Mallarmé). Fortement marqué par l'œuvre de Balzac dont il reprendra les thèmes sous une forme très personnelle (L'Éducation sentimentale est une autre version de Le Lys dans la vallée, Madame Bovary s'inspire de La Femme de trente ans), Flaubert s'inscrit dans sa lignée du roman réaliste. Mais il est aussi très préoccupé d'esthétisme, d'où son long travail d'élaboration pour chaque œuvre. La diversité de son œuvre - quoique relativement restreinte - le font revendiqué

Cette vieille peau terreuse et plissée, blessée, ressemble à la mère de Rembrandt; le grand portrait d'Amsterdam boueux, graisseux, au visage craquelé, entièrement pris dans le projet sédimentaire de la mort. La vieille pomme de terre repose sur un morceau de toile bise et rêche pour ne pas enjoliver sa robe, ne pas être tentée de fuir hors d'elle pour éviter la mise en valeur trop gourmande qui ne cède qu'à l'évident plaisir des confiseries. Ces refus obligent à deviner des bleus insaisissables

Paul Demeny.) CONCLUSION : Bilan : Rimbaud utilise donc dans ce poème le cadre poétique traditionnel du sonnet pour se livrer à une féroce caricature. Il s’agit d’un portrait au vocabulaire lourdement dépréciatif. La composition et la versification du poème orchestrent le dévoilement progressif d’un corps de femme, motif qui peut rappeler celui de la déesse émergeant des flots, mais qui en constitue surtout le reflet inversé, obscène et grotesque. Quelques mois avant d’écrire ce texte, il