Portrait Vieille Femme

enfance, autrefois, j'avais tant entendu parler d'elle, de la grande actrice, la rivale de Rachel. Aucune femme n'avait été plus applaudie et plus aimée, plus aimée surtout ! Que de duels et que de suicides pour elle, et que d'aventures retentissantes ! Quel âge avait-elle à présent, cette séductrice ? Soixante, soixante-dix, soixante-quinze ans ? Julie Romain ! Ici, dans cette maison ! La femme qu'avaient adorée le plus grand musicien et le plus rare poète de notre pays ! Je me souvenais encore

correspondant. On observe plusieurs morales, bien placées, comme étant des sortes de transition par exemple. Elles apparaissent également comme des résumés. « nous trouvions de la consolation dans les faiblesses d’autrui » -Dialogue partant du + jeune à la + vieille, où apparait le point de vue du narrateur, mais c’est les femmes qui lui adresse la parole. « Que dites-vous de ma tante ? » Et inversement par la suite, on commence par la + âgée pour finir avec la + jeune. Ici, c’est le narrateur qui mène le dialogue

Honoré de Balzac - LE PERE GORIOT Dans cet extrait du père Goriot d'Honoré de Balzac, L'auteur élabore un portrait. Le personnage présent dans cet extrait est donc décrit précisément. Le champ lexical péjoratif est relevable à propos du physique de la femme. On peu notamment citer comme exemple « vieillotte » (l.6), « yeux ridés » (l.12), « grassouillette » (l.7) etc. Au niveau de son style vestimentaire, Balzac insiste toujours sur une description négative, « bonnet de tulle » (l.5) la tulle

Critique d'une toile Par Renault Dunoir Portrait de femme, (vers 1930) de Edwin Holgate, Allandale (Ontario 1892- Montréal 1972), Huile sur toile, Musée des Beaux-Arts de Montréal, Montréal, Québec, Premier mur à gauche au premier étage, première des quatre toiles avant l'ouverture. Cette toile figurative, créée par Edwin Holgate vers 1930 après la décomposition du premier groupe de la côte du Beaver Hall présente avec chaleur et lumière une femme anonyme. Le profil et le cou y sont mis en

Évreux. Puis nous avons la présentation des protagonistes. Le portrait de la jeune femme réalisé par le narrateur est mélioratif mais il présente des contradictions avec sa condition telle que «une femme de premier rang» qui lui inspirait de «la pitié». Malgré sa situation, elle est apparemment très jolie «Sa tristesse et la saleté de son linge et de ses habits l'enlaidissaient si peu» Tout porte à croire qu'il s'agit de Manon. Le portrait du jeune homme, des Grieux probablement, est également mélioratif

l’histoire d’Angèle, se remémorant des souvenirs de Baptiste, son mari décédé. A la lecture de cette nouvelle nous nous interrogerons si elle appartient au genre réaliste. L’étude portera d’abord sur le cadre réaliste du récit puis sur l’analyse du portrait psychologique d’Angèle. La nouvelle Quand Angèle fut seule est réaliste car nous avons la peinture du cadre spatio-temporel. Ainsi, on connaît la position exacte d’Angèle dans sa maison : « assise à la grande table en bois » et le nom de la ville

le miroir de son conflit intérieur et de l'agressivité qu'il porte en lui (n'oublions pas que Pierre est un personnage impulsif!). L'eau est omniprésente lorsque Pierre s'isole pour réfléchir (chapitre 2 et 5 où il s'interroge sur la relation homme/femme). A la fin de l'histoire, il est condamné à errer sur la mer à bord d'un transatlantique, on peut donc dire que la mer est sa ''prison''. Les personnages les plus importants de cette histoire sont les membres de la famille Roland, famille

C’est une comédie de caractère elle critique les défauts de chacun des membres de la famille. Passage : Tartuffe est introduit dans la maison d’Orgon. Tartuffe a 2 protecteur Orgon et Madame Pernelle mais les autres sont opposés : - Elmire  femme d’Orgon Marianne  fille d’Orgon et amante de Valère C’est une scène d’exposition du théâtre classique 17éme siècle  lieux, époque, les personnages. Théâtre classique respecte les 3 temps : - unité de temps

narratif simple. Personnages stéréotypés : Ils ne sont pas nommés et sont déterminé de façon indéfini (« une bonne vieille » ;  « un soudard ») ou générique (« la bonne dame » ; « les plusieurs »). Pas de description physique ni de portrait psychologique, la caractérisation des personnages est liée au besoin du récit (le soudard est endormi et la vieille dévote). Ils apparaissent et disparaisse au gré de l’action Le Lieu Il est sommairement décrit : la première

ensemble de romans regroupés sous le titre LA COMEDIE HUMAINE. Le père Goriot : 1835, Balzac décrit plsrs psg issus de différents milieux sociaux logeant tous chez Mme vauquer qui tient une pension bourgeoise à paris. ici nous avons le portrait de me vauquer. I) Un portrait péjoratif de Mme Vauquer A) son physique 1ére ligne → « la veuve » ne la désigne pas Accent mis sur sa vieillesse→ L7→ « ses yeux ridés » Et l2 « sa face vieillotte » → gpe nominal →agée. Le suffixe « otte » comique & péjoratif