Portrait Vieille Femme

les villageois à une très grande fête. Grandgousier demande à sa femme de ne pas consommer une grande portion de tripes de bœuf car elle était enceinte. Mais emporté par l’ambiance de la fête, Gargamelle ne tint pas compte des recommandations et fit un grand repas. Les deux époux ont un débat philosophique sur la boisson. Pendant le banquet, Gargamelle se sent mal. Elle finit par accoucher de Gargantua par l’oreille, car une sage-femme lui avait administré un astringent pour qu’elle ne répande pas

son nez dans de vieux papiers, avait-elle ajouté avec l’air de contentement de soi-même que prend une femme élégante pour affirmer que sa joie est de se livrer sans crainte de se salir à une besogne malpropre, comme de faire la cuisine en «mettant elle-même les mains à la pâte». «Vous allez vous moquer de moi, ce peintre qui vous empêche de me voir (elle voulait parler de Ver Meer)» page 22. Femme buvant avec des soldats de Pieter Hooch. «Il commençait par la tenue des trémolos de violon que pendant

traditionnelles russes voyant les vieilles dames, en sorcières maléfiques, par l’apparition de spectre. L’épigraphe de La Dame de pique illustre parfaitement les pouvoirs maléfiques caractéristiques du genre fantastique : « Dame de pique signifie malveillance secrète ». Le jeune Hermann, irrité devant la comtesse qui gardait le silence, la traite même explicitement de « sorcière ». Mais, La Dame de pique se réfère, également, au genre dramatique par la mort subite de la vieille dame qui va bouleverser les

évolue vers un cadre juridique, mais on conserve les mots faisant référence à la torture l.6 "grande et petite", le cadre juridique semble montrer le cadre légal de la torture. Puis on arrive dans un cadre familier, de vie privée "dîner", allusion à sa femme, atmosphère intime "mon petit chou". Il n'empêche que la réalité de la torture demeure. On trouve un euphémisme à la ligne 12 "ces expériences". Puis on passe dans un cadre international, mise en parallèle de la France et de l'Angleterre l.14, (Illustration

1:juge suprême 2:camériste de la Comtesse -2:Description Marceline Elle est vielle, laide, éduquée et courageuse mais surtout bourgeoise. Au début de la pièce elle apparait comme le personnage comique et ridicule de la vieille amoureuse. Elle dénonce la tyrannie des hommes sur les femmes ainsi que les injustices sociales dans l'Acte 3,scène16 tirade de Marcelline défendant la cause féminine. Marceline devient la porte-parole des femmes elle réussit à hausser la

GÉNÉRALES (S/ES)   Objet d'étude : Le biographique. Textes :  Texte A : Nathalie Sarraute, Enfance (1983) Texte B : Marguerite Duras, L'Amant de la Chine du Nord (1991 ) Texte C : Charles Juliet, Lambeaux (1995) Texte D : Sophie Calle, "Le portrait", Des Histoires vraies + dix (2002)   Texte A - Nathalie Sarraute (1900-1999), Enfance (1983).   Je suis assise près de maman dans une voiture fermée tirée par un cheval, nous cahotons sur une route poussiéreuse. Je tiens le plus près possible

BÉNÉDICTIONl'enfance malheureuse du Poète : dès sa naissance, sa mère le maudit ; puis il grandit et nul ne comprend ses extases solitaires ; tous le persécutent, même la femme qu'il aime.“dérision” “monstre rabougri” “méchancetés” “boutons empestés” “enfant déshérité s’enivre de soleil” “divin” ELEVATIONriche champ lexical de la hauteur et de l’envol “au dessus ; envole-toi; nuages; cieux; air supérieur” Le poète s'adresse directement à son esprit. Il l'interpelle et l'exhorte à s'élever. élévation

Dossier de lecture La jeune fille à la perle , Tracy Chevalier 1999 1- Qui sont Griet, Johannes Vermeer, Catharina et Maria-Thins ? Faites leur portrait. (8 points) Griet Griet est la narratrice du roman. C'est une jeune fille issue de la classe ouvrièr de Delft. Son père, céramiste, est devenu aveugle après l’explosion d’un four, privant alors sa famille de son revenu. Dans ces conditions, Griet, alors agée de 16 ans, est engagée par le peintre Johannes Vermeer comme servante. Auparavant, elle

une colonne », « une poitrine vaste, large à y coucher une femme en travers », « des épaules et des bras sculptés » et « il devenait beau, tout-puissant ». On peut remarquer une comparaison filée dans ce texte, entre le travail et l’art, dans ce cas il s’agit de la musique : «jeu classique, correct, balancé et souple », tapaient la mesure ». Ce lien est renforcé par la personnification du marteau en « une dame noble ». Grâce à ces portraits mélioratifs de Melle de Chartres et de Gueule d’or, nous

Ovide prend donc des précautions pour ne pas être accusé de débauchage ! (liaisons dangereuses ! II : Une argumentation poétique basée sur le motif de la fuite du temps : A- Deux portraits antagonistes : la jeune fille et la vieille femme : nombreux parallélismes. Elle s’oppose à « anus », la vieille femme : « frigida anus » (hypallage) vers 70, « senectae » au vers 59 et « vetustas », vers 77, « senes » vers 78. « seniora juventae tempora senescit » 82. Invitation donc dans cette opposition