Portrait Vieille Femme

tout comme dans Prismes électriques. Philomène a aussi cette caractéristique et de plus il y a des petites taches rouges rondes dans l’arrière plan qui évoque aussi les formes rondes de Prismes électriques. 2) Sonia et Robert Delaunay sont mari et femme. On a pu remarquer plusieurs similitudes entres leurs deux tableaux respectifs. On a d'abord remarqué l'emboîtement des cercles qui est similaire à Prismes électriques. De plus les deux tableaux utilisent l’exacte même teinte de bleu et représentent

des contraires, les font se rapprocher. - Il en va de même avec l’utilisation d’oxymores, comme «carcasse superbe». II) Les portraits de la femme et de la charogne afin de créer une description ironique 1) Présences de l’érotisme et de la mort (topos de l’ «Eros et Thanatos») - Certaines images font référence à des situations sexuelles, comme «jambes en l’air» ou «femme lubrique». - L’adjectif «brûlante» recèle une syllepse (figure de style consistant à jouer sur le double sens d’un mot, ici celui

Georges Feydeau. C'est l'histoire du femme s'appellant Lucienne Vatelin, c'est une femme honnête et fidèle, qui aime son mari Crepin. Elle autorisera à avoir un amant seulement si elle surprenait son mari dans les bras d'une autre femme, aux grands désespoirs de ses deux soupirants, Pontagnac et Rédillon. Portrait des personnages :Vatelin : avocat Lucienne Vatelin : épouse de Vatelin : ( Vatelin parlant à Maggy) : «  j'ai une femme, moi ! je suis marié, moi ! »

15 20 25 30 35 40 45 50 55 60 65 70 75 80 85 90 95 | Je ne sais combien de temps je méditai sur ces deux côtés de la médaille humaine ; mais soudain le rire étouffé d'une jeune femme me réveilla. Je restai stupéfait à l'aspect de l'image qui s'offrit à mes regards. Par un des plus rares caprices de la nature, la pensée en demi-deuil qui se roulait dans ma cervelle en était sortie, elle se trouvait devant moi, personnifiée, vivante

Bernard GRASSET Edition : année 1848 Collection : livre de poche Couverture : Félice Cascrati, double portrait Page : 236 Fiche de lecture vipère au poing de Hervé BAZIN 1) Présenatation de l’œuvre Titre de l’œuvre : vipère au poing Auteur : Hervé BAZIN Editeur : Bernard GRASSET Edition : année 1848 Collection : livre de poche Couverture : Félice Cascrati, double portrait Page : 236 Fiche de lecture vipère au poing de Hervé BAZIN 1) Présenatation de l’œuvre Titre de

l’évolution du personnage romanesque ? Corpus de textes : Extrait de la Princesse de Clèves : la scène de la rencontre Extrait des Liaisons dangereuses (Lettre 81) Extrait de Le Rouge et le Noir : la scène de la rencontre Extrait du Père Goriot : portrait de Mme Vauquer Extrait du Planetarium : incipit Introduction : Les extraits de La Princesse de Clèves, roman classique du 17ème siècle, des Liaisons dangereuses, roman épistolaire du 18ème siècle, de Le Rouge et le Noir ainsi que du Père Goriot

Candide ou l’optimisme Voltaire I. RÉSUMÉ DU CONTE II. ÉTUDE DES PERSONNAGES − Candide − Cunégonde − Pangloss − Cacambo − Martin − La vieille − Jacques − Le baron de Thunder-ten-tronckh III. AXES DE LECTURE − Un voyage initiatique à travers le monde entier − Une parodie du conte et du roman ➢ Le conte ➢ Le roman sentimental ➢ La morale − Une critique du XVIIIe siècle ➢ L'Eglise ➢ L'aristocratie ➢ L'intolérance et le fanatisme ➢ L'esclavage et la guerre L’auteur

Lecture analytique 2 séquence 1 : Robert Desnos, Corps et biens (1930)  « Non, l’amour n’est pas mort » I. L’éloge de la femme aimée et de l’amour a) L’éloge de la beauté, mise en scène de l’amour b) La nostalgie d’un amour passé c) Portrait d’une belle insensible II. Le renouvellement de la tradition lyrique a) Le lyrisme propre au romantique, balade romantique b) Hommage à ses prédécesseurs c) L’amour éternel qui l’immortalise Suite à la première guerre mondiale, au XXème siècle, les artistes

‘’Mont-Oriol’’ (1887)   Roman   Le vieux marquis de Ravenel est venu faire une cure à Enval, une petite station thermale d’Auvergne, en compagnie de sa fille, Christiane, femme tendre et sentimentale qui est mariée à un homme d’affaires juif, William Andermatt qui spécule sur des terrains de la région, et elle veut suivre un traitement contre une prétendue stérilité. Ils sont bientôt rejoints par le frère de Christiane, Gontran, jeune homme à la vie assez dissipée, qui arrive avec son ami, Paul

effet des choses assez risibles. Une formidable pièce de bois, horizontalement appuyée sur quatre piliers qui paraissaient courbés par le poids de cette maison décrépite, avait été rechampie d'autant de couches de diverses peintures que la joue d'une vieille duchesse en a reçu de rouge. Au milieu de cette large poutre mignardement sculptée se trouvait un antique tableau représentant un chat qui pelotait. Cette toile causait la gaieté du jeune homme. Mais il faut dire que le plus spirituel des peintres