Portrait Vieille Femme

Lune : 21°10' Taureau Ascendant : 13°17' Sagittaire Milieu du Ciel : 5°08' Balance Astrologie Chinoise : Singe de Métal Numérologie : chemin de vie 3 A-t-elle pensé à ses arrière-petits-enfants qui feuilletteraient un jour l'album où son portrait figurerait dans un cadre cerné d'or ? S'est-elle demandé ce qu'ils penseraient d'elle, la mère, la doyenne de la famille ? Elle était sûre qu'elle ferait bonne figure, et que ses descendants ne laisseraient pas de l'admirer : droite, digne, avenante

inattendu d’un visage défiguré. L’homme serait le portrait posthume d’un Florentin atteint d‘un mal indéterminé, accompagné de son petit fils. Ce détail semble affecter l’image, au milieu d’un agencement ordonné et stable mais pourtant l’image reste douce et gardes des allures sages et tranquilles grâce à la posture et la main éclairante de l’enfant. La position en contre plongée du jeune garçon détermine le véritable sujet du tableau: la figure de vieil homme. Son nez est au centre de l’image sur un

personnage a) le portrait idéalisé d'un noble b) le regard fasciné porté sur un monde nouveau c) le souci du paraître II)La triste réalité en contrepoint a) un couple mal assorti b) l'idéalisation d'Emma par Charles c)un dialogue cruel et trivial III)Le regard ironique du narrateur a) un autre point de vue sur le monde (le narrateur déconstruit cette idéalisation) b) la présentation d'une petite provinciale I) Idéalisation du monde par le personnage a) le portrait idéalisé

talents de séducteur 10. Ma mère et les bêtes La mère et les animaux de la maison familiale 11. Epitaphes Le frère aîné: jeux d’enfants 12. La "fille de mon père" Les souvenirs de la mère : la famille élargie 213. La noce La noce d’Adrienne, la femme de chambre 14. Ma soeur aux longs cheveux Juliette, la soeur aînée : l’emprise du rêve romanesque 15. Maternité Brouille familiale: rupture entre Juliette et ses parents 16. "Mode de Paris" Le passage d’une troupe de théâtre, et ses remous 17. La

Vous n'avez réclamé ni gloire ni les larmes Ni l'orgue ni la prière aux agonisants Onze ans déjà que cela passe vite onze ans Vous vous étiez servis simplement de vos armes La mort n'éblouit pas les yeux des Partisans Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes Noirs de barbe et de nuit hirsutes menaçants L'affiche qui semblait une tache de sang Parce qu'à prononcer vos noms sont difficiles Y cherchait un effet de peur sur les passants Nul ne semblait vous voir Français

imaginables. p. 38. Qui est Thérèse Raquin ? Faites-en le portrait au début du roman : famille, physique, psychologie. Famille : Thérèse Raquin de mère algérienne ; le père = le frère de Mme Raquin ; orpheline ; confiée à sa tante ; se marie avec son cousin ; Physique : belle et forte ; Psychologie : de tempérament nerveux ; un tempérament de feu étouffé ; élevée comme une malade ; d’une grande duplicité et maîtrise de soi = capable de jouer la femme effacée (quand trompe son mari) ou la veuve éplorée

décerné le prix Goncourt pour son livre Les racines du ciel. Il l’a reçu en 1956. En 1957, quand il était le Consul General de France a Los Angeles il a rencontre Jean Seberg qui a été plus de 20 ans plus jeune que lui. Elle est devenue sa deuxième femme. Gary a quitte sa carrière diplomatique quatre ans plus tard. En septembre 1968 le couple s’est sépare. Leur fils Diego a vécu avec Romain. En 1970, ils ont eu une fille Nina, mais elle est morte deux jours âpres sa naissance. A partir de ce jour Gary

cadet, Jean, âgé de cinq ans de moins, gros, blond, calme et posé, diplômé en droit. Dès le retour de la famille de cette partie de pêche, leur vie apparemment tranquille va être bouleversée par l’annonce de la mort d’un certain Maréchal, fidèle et vieil ami de la famille, mais encore plus par l’annonce peu commune qui accompagne cette nouvelle. En effet, la famille apprend que ce dernier aurait légué toute sa fortune considérable au cadet des fils Roland, Jean.   Chapitre II. L’intrigue s’aiguise

Literatura, arte y pensamiento Sara Sarmiento LobatoMEIF 21/22COMMENTAIRE DE TEXTE 2 : Une vie « normale » (Annie Ernaux, La femme gelée ) Un mois, trois mois que nous sommes mariés, nous retournons à la fac, je donne des cours de latin. Le soir descend plus tôt, on travaille ensemble dans la grande salle. Comme nous sommes sérieux et fragiles, l’image attendrissante du jeune couple moderno-intellectuel. Qui pourrait encore m’attendrir

corps avec ses traits caractéristiques, et des détails particuliers susceptibles de suggérer des traits psychologiques. Cf. les personnages de Balzac. => À vous de développer cet exemple à l’aide d’un ou deux romans que vous connaissez. Cf. la « Vieille fille », « César Birotteau », l’avare chez M. Grandet. Cf. Bianchon qui représente les médecins, le marquis de Ronquerolles qui représente les impertinents… • Cf. Zola : introduit aussi la langue du peuple dans ses romans. « C'est une oeuvre de vérité