Portrait élogieux Et Portrait Critique

Le texte que nous étudierons dans ce commentaire est extrait du roman Bel Ami, écrit par Guy de Maupassant en 1885. Bel ami est un auteur connu du XIXe siècle surtout pour ses nouvelles et ses romans réalistes. Il était le disciple de Gustave Flaubert, qui lui a initié le mouvement, et fréquentait d’autres auteurs tels que Émile Zola. Le roman Bel Ami appartient donc au mouvement réaliste. Il s’agit d’un mouvement littéraire né pendant la deuxième moitié du XIXe siècle qui cherche à représenter

homme est au même niveau lorsque son heure est arrivée. Cette tirade élogieuse est déjà relatée au passé ce qui montre que le roi ne peut plus faire tout cela. L’effet est donc inverse et insiste au contraire sur la faiblesse actuelle du roi. Un portrait du roi est alors déjà amorcé par le garde et se poursuivra dans notre extrait. Juste avant notre passage, la descente funeste du roi se renforce encore avec une perte de la mémoire et de tous les apprentissages. L’avancée de la mort entraîne la régression

Acte 1 scène 1 I - Portrait d’un séducteur : - pèlerin -> péjoratif : va de fête en fête - 5 énumérations : (deux phrases) hyperboles (idem) croyances de Dom Juan -> Ø (3 phrases) ternaire -> ordre décroissant du plus au moins important -> c’est pour le spectateur (4 phrases) ternaire -> Dom Juan ne respecte pas le sacrement du mariage, donc il ne croit pas à la religion -> prédateur des fêtes (5 phrases) gradation décroissante -> hiérarchie - Sganarelle se flatte de son maître -> démonstratifs

L’œuvre de Thérèse Desqueyroux Situation de l’extrait La scène d’exposition a fait découvrir au spectateur le valet de Dom Juan, Sganarelle. Celui-ci a dressé un portrait peu élogieux de son maître. Dans la deuxième scène, nous découvrons enfin le personnage éponyme qui fait son autoportrait dans une tirade qui répond à la critique de Sganarelle. Problématique : La tirade de Dom Juan permet au spectateur de découvrir un personnage libertin, un grand séducteur Plan : I. Une tirade qui révèle

elle-même en voyant en quoi ce texte est une source, en étudiant le portrait que dresse Abbon d’Eudes et en considérant l’objectivité de l’auteur. Ainsi tout au long du texte l’auteur nous renseigne sur les Normands, replaçons tout d’abord ce siège dans le contexte des invasions normandes, étudions ensuite le mode de fonctionnement des Danois et enfin analysons le déroulement du siège de Paris. Pour comprendre le portrait que fait Abbon des Normands, il est utile de rappeler l’état de la situation

grossière . Nous nous demanderons si cet incipit remplit bien sa fonction . Les éléments du conte traditionnel sont présents Les effets de mise à distance (par rapport au conte) I ) a) Le schématisme des personnages Le recours au nom portrait Candide nom qui ne sonne pas germanique , qui annonce son caractère , sa physionomie . C'est le héros éponyme . C'est une jeune âme (l4) qui va s'ouvrir sur le monde . Sur le plan moral : ado paisible (l4) et tranquille , il fait le bien . Sa physionomie

illustré dans un genre considéré comme mineur : le conte. D’écarts en métamorphoses, il a peu à peu créé un nouveau genre de conte : le conte philosophique, où la forme narrative, subissant une distorsion des règles, charge alors le récit d’intentions critiques et satiriques. Il s’agira d’étudier dans cet incipit comment les différentes typologies de l’ironie mises à l’œuvre dans le texte opèrent patiemment un détournement du genre du conte traditionnel. Pour cela, nous tenterons d’abord d’établir les convergences

Montesquieu, Voltaire avait diverses missions : il s’agissait de dresser l’inventaire raisonné des connaissances, de décrire et dessiner les savoir-faire techniques, d’encourager les inventions et les pratiques de la science, de proposer une réflexion critique et de contribuer ainsi au développement économique et moral de l’humanité et également de définir le rôle du philosophe et d’analyser les caractéristiques de la démarche philosophique. A ce titre l’article « philosophe » est fondamental.

Le narrateur est un homme dont on ne sait ni le nom ni l'âge.Il nous raconte son déjeuner au McDonald avec une jeune compagne qu'il a l'air d'aimer. Il en brosse en effet un portrait physique élogieux qui traduit explicitementles sentiments qu'il éprouve pour elle. Cet attachement semble d'ailleurs réciproque car chacun est sensible, attentif à l'autre.On remarque cependant qu'il existe plusieurs différences qui séparent les deux personnages aussi bien en matière de goûts que de comportement .On

Tourvel et Mme de Merteuil par des moyens différents : les portraits par lettres et les images. Mme de Merteuil n’est pas décrite dans le roman. Mais sa première lettre (2) présente d’elle un portrait indirect par son style maîtrisé, drôle, ironique et dominateur quand elle écrit à Valmont pour lui demander de l’aider à se venger de Gercourt. Elle apparaît comme une femme de tête, « rouée » maîtresse d’elle-même. Mme de Volanges complète ce portrait lettre 32 en précisant dans une phrase à double sens