Portraits Péjoratif

l’interdiction de TARTUFFE. Molière écrit rapidement DOM JUAN pour renflouer les caisses et l’écriture en prose en est la preuve. La scène 2, acte I voit l’entrée en scène du héros dialoguant avec son valet. Dans le scène 1, Sganarelle a fait un portrait péjoratif de son maître mais face à lui, c’est avec timidité que le valet se risque à juger : « fort vilain d’arriver de tous côtés » en réponse à ses reproches, le libertin va se lancer dans un magistrale plaidoyer qui expose avec beaucoup d’éloquence

choque. (Dictionnaire Hachette encyclopédique). On ne donne ni origine, ni terme dans le temps dans l’encyclopédie. « Baroque » provient du portugais « barroco » et désigne à l’origine les perles de forme imparfaite. Au XVIIe siècle, ce terme est péjoratif car il qualifie tout ce qui est bizarre, hors des normes. Depuis le XXème siècle, les historiens de l’art appellent « baroques » les œuvres d’art du XVIIème siècle caractérisées par des thèmes comme l’illusion, la métamorphose, les courbes, le foisonnement

il fait entrer le lecteur dans le récit, fait appel à son imagination par des impératifs successifs (« imaginez », « mettez cette tête », « jetez ») : le lecteur participe ainsi à l'élaboration du portrait. Le narrateur-romancier se comporte lui-même en peintre dans la création progressive du portrait, traçant des lignes, jouant en virtuose des couleurs (« vert de mer ») et des « ombres », des contrastes entre l'éclat de la « dentelle étincelante » et le « pourpoint noir ». Ce double point de vue

le portrait du antihéros. En effet, d'après la description que décrivent certains personnages, le mythe du héros se fissure : « ce petit corps maigre, ce lendemain d'orgie ambulant […]; ce visage morne, qui sourit quelques fois, mais qui n'a pas la force de rire » décrit ici par le Duc de Médicis comme étant lamentable. Cela est sans compter que Lorenzo apparaît comme un homme lâche, qui s'évanouit à la vue d'une épée, un compagnon de débauche. De plus, le titre désigne un diminutif péjoratif, voire

tout en maintenant un doute intrigant sur la raison de leur réunion silencieuse. Cette scène apparaît tout d’abord comme la peinture très esthétisée d’un lieu, le salon du Lagny au crépuscule. Se mêle subtilement à cette description une série de portraits, qui entrent en écho les uns des autres. Dans le figement grandissant de l’action transparaît enfin une atmosphère pesante dont on ne saisit pas encore tous les enjeux. 1. Un Tableau à la Rembrandt. a. Un coin du feu bourgeois par une soirée d’automne

Renoir. Elle est accueillie par la critique avec violence et ironie, et ne trouve pas plus de succès auprès du public. La tradition veut que le mot " impressionnisme " ait été inventé à cette occasion par le journaliste Louis Leroy, avec un sens péjoratif et dédaigneux, à propos du tableau de Monet intitulé Impression, Soleil levant . En fait, il semble que le terme ait pris naissance chez les peintres eux-mêmes, lors de leurs discussions de la fin des années 1850. III. Auteurs/peintres

dénoter...). Il n’utilise pas de figures de style, sauf une comparaison qui est peu poétique. De plus, nous pouvons remarquer l’utilisation presque systématique du verbe être et avoir, ce qui rend ce texte un peu monotone par sa liste des éléments du portrait qui est accentuée encore plus par des phrases peu littéraires (les traits sont : ). Malgré tout ces éléments qui tendent à croire que l’auteur est strict sur les mots et donc impartial, nous pouvons remarquer qu’il est au contraire subjectif. Derrière

collègue sur lequel il porte un regard peu flatteur. Le voyage en train lui permet d'observer la laideur de Tisserand, cause du désintérêt qu'il suscite chez les femmes. Problématique : En quoi ce personnage est-il un antihéros ? I)Un portrait péjoratif : 1)Une silhouette disgracieuse : -éléments proches de la caricature -contraire exacte de la beauté -il est comme tout le monde, seul sa laideur le caractérise 2)Visage hideux : -comparaison avec un « crapaud-buffle » => stigmatise(=blâmer

terminer notre étude, nous relèverons l' usage du dédoublement de la narration et des autres originalités de ce texte, qui ont à la fois une fonction dans le récit mais aussi dans sa composition. I/ L' admiration apporté au monde des adultes. a) le portrait élogieux d' un père. b) Des personnages aussi nombreux qu' intéressants. c) Une description abondante témoignant de l' intérêt du détail et de l' attention porté à ce monde. II/Un récit qui témoigne d' une enfance trop vite confronté à la complexité

à lui fait une amorce de l'intrigue par le biais des portraits de deux personnages antithétiques. (Premièrement, nous étudierons les portraits des deux personnages, l'un critique, l'autre élogieux, puis l'omniprésence du narrateur & même la présence de l'auteur, & enfin comment Balzac, dans le texte proposé nous présente une amorce de l'intrigue.) I- Deux portraits masculins opposés Le portrait de Canalis est l'un des portraits les plus complets de l'œuvre. Sa description physique