Position dépressive

maintenant étudié dans le référentiel terrestre associé au repère (O,x,z) . Coordonnées du vecteur [pic] 1.2. Coordonnées du vecteur position [pic] 1.3. Quel que soit le point G de la trajectoire, les coordonnées du vecteur vitesse au point G sont : [pic] La composante horizontale du vecteur vitesse, vx = vB.cos( , est une constante qui ne dépend pas de la position du point G choisi. Au sommet S de la trajectoire, le vecteur vitesse de la balle est horizontal, donc vSz = 0. La norme du vecteur

s’intéresse pas aux rotations de l’objet sur lui-même ou lorsque les dimensions de l’objet peuvent être négligées. C’est notamment le cas des charges électriques en mouvement dans un circuit électrique. On appelle trajectoire d’un mobile l’ensemble des positions successives qu’il occupe au cours du temps (voir figure I.1). Figure I.1. I. 2 I.2 : Cinématique à 1 dimension C’est le cas particulier de la trajectoire rectiligne. I.2.1 : Repérage du mobile Le mobile est repéré par une coordonnée cartésienne

des défaites dont la plus sanglante est celle de Caporetto (1917). ← Dans les Balkans, les Serbes sont mis hors de combat à la fin de 1915 suite à une offensive combiné par les bulgares et les austro-hongrois. 1) Une guerre de positions : les tranchées. [pic]

coloniale) mais elle fut aussi très meurtrière, en effet 1.4 millions de français sont mort durant la grande guerre faisant d’elle la guerre qui fera le plus de mort français jusqu'à aujourd’hui. Cela est du aux nombreuses batailles lors de la guerre de position qui succéda a la guerre de mouvement très courte de 1914 (qui connue la célèbre bataille de la marne ou les français on pu repousser les allemand et protéger paris) et qui dura de 1915 jusqu’ au début de l’année 1918 qui connu des batailles meurtrière

familier des poilus. Les conditions morales y sont d’une dureté extrême, la peur et la mort sont omniprésentes. Les témoignages évoquent une véritable déshumanisation et la mise en place d'une véritable culture de guerre. En 1916, pendant la guerre de position, l'écrivain Henri Barbusse publie ,Le Feu. Ce texte qui dévoile l’horreur des combats suscite de nombreuses questions : les soldats agissent-ils avec consentement ou sous la contrainte ? comment les soldats ont-ils pu tenir dans les tranchées ?

deuxième c'est une guerre de position début de 1915 à fin 1917 et la dernière c'est encore une guerre de mouvement les derniers mois de 1918. Les soldats vivaient dans la peur, l'horreur, (ils voyaient leurs camarades mourir sous leurs yeux) la boue, l'humidité , le froid et les rats, lors de cette phase les soldats provoqués des mutineries. Certains soldats se mutilaient pour être renvoyés chez eux (ils se mutilés surtout les mains). Lors de la guerre de position les tranchées sont protégées par

combattants ? Quelles sont les séquelles des combats ? En quoi est-ce nouveau et caractéristique de la Première Guerre mondiale ? Plusieurs thèmes sont attendus. Des combats différents en 1914, avec la guerre de mouvement, puis avec la guerre de position. Un affrontement surtout franco-allemand, mais qui inclut aussi les alliés anglo-saxons de la France et les troupes coloniales. Des armes de plus en plus meurtrières (gaz et artillerie notamment) qui touchent de façon anonyme et débouchent sur des

abandonnent leurs travaux et se rendent à la mairie. La consternation règne mais les hommes ne se découragent pas car ils espèrent une victoire rapide. Les femmes ont peur mais ne découragent pas non plus. Les soldats sont confrontés une guerre de position (bombardement d’artillerie quasiment incessant et des lignes qui n’évoluent pas ou peu). Ces combats sont déshumanisants car les conditions de vie y sont très mauvaises. En effet le bombardement incessant « laboure » chaque mètre carré. Les soldats

nous informe de la situation en juillet 1915 sur le front. La guerre de mouvement a rapidement laissé place à une guerre de position. On peut constater dans la description des faits que malgré des pertes humaines considérables ainsi qu'un investissement financier conséquent en munitions, les troupes françaises sont incapables de percer les lignes allemandes. Les positions françaises et allemandes se sont enterrées. Michel Lanson insiste sur la supériorité du matériel de l'armée allemande, qui bénéficiait

par la BelgiqueContre-offensive française : bataille de Marne | Guerre de mouvement | Cavalerie Uniforme voyant Artillerie Grenades | 1915-1917 | Bataille de Verdun Entrée en guerre des E-U La Russie quitte le combat | Tranchées Guerre de position Guerre d’usure | Gaz asphyxiants Lance-flammesArtillerie lourdeTorpilles | 1918 | Offensive allemande Contre-offensive des alliés | Guerre de mouvement | Chars Aviation | Date de l’armistice : 11 novembre 1918 Date du traité de Versailles :