Positivisme Scientifique

applique une méthode strictement scientifique qui se rapproche de celles mises en œuvre par les sciences naturelles, et qui avait été utilisée pour la première fois dans la critique positiviste des phénomènes littéraires par Charles Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. Auguste Comte avait, en effet, affirmé, dans son Cours de philosophie positive (1830-1842), que l’art, parvenu au stade « positif », obéissait aux mêmes lois que la science. Suivant le positivisme, Taine va alors s’attacher à découvrir

philosophie et sciences ? 4. La philosophie comme fondement de toutes sciences a Qu’est-ce que la science ? Etude des phénomènes naturels, concrets, observables Expliquer = déplier (les causes) Le scientifique veut remonter l’enchaînement des causes de manière rigoureuse Philosophes = scientifiques = recherche de la vérité Mais frustrant de ne pas trouver la cause première f. La métaphysique De méta = au-delà et physis = nature : recherche de l’absolu, des principes premiers des choses Aristote

commentaires et suggestions. Ce texte reprend les grandes lignes d’une introduction à l’édition anglaise de mon ouvrage « Anthropologie et développement ». 3 Cf. en particulier Olivier de Sardan, 1995, pour une description générale de ce projet scientifique et une évocation de travaux antérieurs qui ont ouvert une telle perspective (école de Manchester, Balandier, Bastide, Barth, certains travaux de l’ORSTOM, etc.) 4 Pour l’explicitation de cette épistémologie « néo-wébérienne », cf. Passeron, 1991

l'homme et le développement de ses facultés, essai d'une physique sociale (1835) Licence de Sociologie1ère année Année universitaire 2005-2006 Histoire de la sociologie : Ronan HERVOUET -3- Chapitre 2 : Inspirateurs et précurseurs I- Le positivisme de Comte Auguste COMTE (1798-1857) : Cours de philosophie positive (1830-1842) ; Catéchisme positiviste (1852) II- Le courant organiciste Herbert SPENCER (1820-1903) : Principes de sociologie (1874-75), The Man Versus the State (1884) Angleterre

est démocratique. La Troisième République garantit les libertés fondamentales. Les lois de Ferry instaurent l’école laïque, gratuite et obligatoire. Dans la seconde moitié du siècle, les progrès scientifiques et techniques préparent l’avènement du mode de vie moderne. Sur le plan des idées, le positivisme triomphe. A l’expérience et à la raison, le symbolisme oppose en réaction la sensibilité et l’irrationnel. Les symbolistes utilisent les termes rares, les symboles et les tournures recherchées pour

Huxley. Ce monde est un monde de la surproduction, de la surpopulation, de la surconsommation par référence au fordisme qui se généralise. L’auteur met notamment en avant le danger d’une civilisation technicienne, il critique également le positivisme scientifique et l’expansion (étouffante) du modèle états-uniens sur la culture occidentale. On peut y voir une mise en scène d’une médiocrité standardisée. b. critique implicite dans les utopies positives La structure même de l’Utopie de Thomas More

applique une méthode strictement scientifique qui se rapproche de celles mises en œuvre par les sciences naturelles, et qui avait été utilisée pour la première fois dans la critique positiviste des phénomènes littéraires par Charles Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. Auguste Comte avait, en effet, affirmé, dans son Cours de philosophie positive (1830-1842), que l'art, parvenu au stade « positif », obéissait aux mêmes lois que la science. Suivant le positivisme, Taine va alors s'attacher à découvrir

révélation. Le droit naturel évolua ensuite en une seconde phase individualiste avec Locke : c’est l’individu qui est la source de toute action, l’agent moral qui pense, perçoit, choisit et agit. A partir du XIXe siècle, sous l’influence tant du positivisme, de l’utilitarisme que des théories socialistes, on assiste à une relative éclipse du droit naturel : de nombreux libéraux préfèrent alors parler d’état de droit plutôt que de droit naturel et se contentent de développer une philosophie politique

2) Evolution de ces doctrines : droit naturel classique et droit naturel moderne a) Les doctrines du droit naturel classique b) Les doctrines du droit naturel classique B) Les théories positivistes 1) Le positivisme étatique 2) Le positivisme scientifique A) Les théories du droit naturel ou jusnaturaliste 1) Définition général Pour les jusnaturaliste, la nature est ordonnée selon un certain nombre de principes qui relève d’un ordre supérieur, transcendant. Le droit

nouvelle dans un environnement concret qui rappelle le XIXe s. finissant, c’est-à-dire le moment de l’écriture dont l’histoire racontée est contemporaine. Le personnage-narrateur tente en vain de développer une approche rationnelle, caractéristique du positivisme, face aux apparitions mystérieuses qui le hantent. L’autre caractéristique de la tonalité fantastique réside dans la double explication qui laisse place au doute. L’écrivain ne fournit pas d’explication unique des faits, mais laisse le lecteur