Positivisme Volontariste

La critique intellectualiste ou universitaire : L’initiateur s’appelle Emile Faguet (1847- 1921) mais le représentant le plus connu est Gustave Lanson. Cette critique universitaire est à cheval entre le positivisme et le romantisme qui a représenté une rupture avec le positivisme en adoptant l’idée du « génie » comme base de la création (elle n’a pas de dimension historique). Ainsi, la critique universitaire trouve un compromis entre les deux approches (entre l’intellect et l’intuition). E

littéraires par Charles-Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. Auguste Comte avait, en effet, affirmé dans son Cours de philosophie positive (1830-1842) que l’art, parvenu au stade « positif », obéissait aux mêmes lois que la science. Suivant le positivisme, Taine va alors s’attacher à découvrir les lois qui régissent la littérature. C’est ainsi qu’il soutient que la race, le milieu naturel, social et politique et le moment au cours duquel est créée une œuvre littéraire définissent ses traits spécifiques

on peut se servir de la date. Il n’y a pas de sens de l’histoire dans la littérature, mais il faut prendre en compte l’histoire de la littérature qui elle a du sens. Introduction Il s’inscrit dans une perspective qui rappelle beaucoup le positivisme et en particulier les Trois âges qu’Auguste Comte assigne à l’humanité : l’âge religieux (l’humanité explique la nature et son propre destin en fonction de l’existence d’une transcendance, providence), métaphysique (système philosophique, vision

l’´pist´mologie d’Einstein e e Certains analystes de la pens´e d’Einstein, notamment l’historien Gerald Holton mais aussi le e physicien Max Born, ont sugg´r´ qu’Einstein aurait radicalement chang´ son approche e e e ´pist´mologique, en partant d’un positivisme machien pur et dur dans sa jeunesse (et notamment e e en 1905) pour finir par un rationalisme platonisant. Je pense plutˆt, en accord avec les fines anao lyses de Michel Paty [1], qu’Einstein a toujours eu une vision multiple et nuanc´e de la th´orie

Faut-il abolir les croyances ? Les croyances sont-elles un mode de pensée inférieur qui est dépassé et rendu inutile par la connaissance scientifique ou bien sont-elles légitimes malgré l’avancée de la science ? I/ Le dépassement des croyances par la connaissance scientifique 1) De l’âge fictif à l’âge positif de l’humanité : la loi intellectuelle des trois états (Auguste Comte, Discours sur l’esprit positif). Le progrès de la connaissance rend les croyances inutiles et nuisibles au

prémisses   qui   constituent   des   obstacles   au   changement,  de  même  que  nos  manières  linéaires  d’aborder  des  problèmes  complexes.     Deuxième  partie     1/Du  positivisme  au  constructivisme.  Dans  ce  cadre,  le  processus  de  changement  part  d'une   réinterprétation  de  la  problématique  et  non  de  son  explication.   Dans   ce   processus

littéraires par Charles-Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. Auguste Comte avait, en effet, affirmé, dans son Cours de philosophie positive (1830-1842), que l'art, parvenu au stade « positif », obéissait aux mêmes lois que la science. Suivant le positivisme, Taine va alors s'attacher à découvrir les lois qui régissent la littérature. C'est ainsi qu'il soutient que la race, le milieu naturel, social et politique et le moment au cours duquel est créée une œuvre littéraire définissent ses traits spécifiques

de l’ordre. 2) Le positivisme Le droit positif correspond à l’ensemble des règles existantes à un moment donné. Il est légitime par le seul fait qu’il a été décrété par le souverain. Il y a 2 sortes de positivisme : le positivisme étatique où le droit est un ordre normatif et hiérarchisé avec notamment la pyramide de Kelsen (toutes les règles sont justifiées par leur conformité à la norme supérieure : Constitution, Traité, Lois puis décrets), et le positivisme sociologique où le fondement

Notre connaissance du réel se limite-t-elle au savoir scientifique ? Introduction 1. Non, notre connaissance du réel ne se limite pas au savoir scientifique A. Nous pouvons connaître quelque chose sans savoir scientifique Nous appréhendons le réel, la plupart du temps, de manière intuitive et immédiate et cela ne nous empêche pas de nous y retrouver. Nous connaissons des lieux, des gens, sans qu’il s’agisse pour autant de savoirs scientifiques. Il s’agit certes là de connaissances proprement

dégagent de manière convergente à partir de 1870. Ses origines viennent d’une double caractéristique du XIXème siècle, les progrès des sciences et les interférences de celles-ci et le domaine de la littérature. Progrès scientifique et naissance du positivisme : les conquêtes de la biologie et les nouvelles découvertes des sciences naturelles dans la première moitié du siècle déterminent la naissance et le développement de l’esprit positiviste. C’est une manière de raisonner qui se fait de l’expérience