Postmodernité

vulnérabilité. Cette dimension de la modernité architecturale comme puissance de la ville monde du dynamise, du capitalisme. Ville monde : utilisé par l’historien Fernand Braudel. A partir des années 1970, on a une réaction contre cette domination : la postmodernité. C’est d’abord en architecture que l’on utilise ce thème. L’américain robert Venturi se présente en adversaire farouche, architecte américain qui publie en 1970 un manifeste en faveur d’une architecture ambiguë. Ce qui est très intéressant dans

des rhéteurs vaniteux ou des jongleurs d'idées sans principes, mais des penseurs sérieux, parfois tragiques militants d'un humanisme qu'on rapprocherait à bon droit de l'époque des Lumières, à moins qu'ils ne soient les précurseurs de notre « postmodernité[1] ». Histoire C'est Platon qui a popularisé le mot dans un sens péjoratif par ses dialogues, dans lesquels Socrate discute souvent avec des sophistes pour analyser leurs raisonnements. Le philosophe ayant pour un but la recherche de la vérité

Ligne du temps de fin 19èmesiecle jusqu'à aujourd'huiL’art nouveau : 1890-1910 :L'Art nouveau est un style artistique qui se développe dès la fin du XIXe siècle, d'abord en Belgique et en France. Il s’épanouit dans l’architecture et dans les arts décoratifs. La recherche de fonctionnalité est une des préoccupations de ses architectes et designers. L’Art nouveau se caractérise par des formes inspirées de la nature, où la courbe domineEmmanuelle Villani : Réalisées principalement en bronze, parfois

o les rapports de l'individu et du social,  o du subjectif et de l'objectif,  o de la pratique et de la théorie.  La théorie de la culture de Dumont  • préfiguration des débats autour  o d’une crise de la modernité ou,  o de l'avènement d'une postmodernité. Sujets abordés dans le livre • développement de la rationalité instrumentale,  • prolifération de l'information,  • technocratisation de la sphère publique,  • développement des cultures organisationnelles et des industries culturelles,  • repli individuel sur l'intimité et la subjectivité

morale de l’école. Il est nécessaire que l’école procure à ceux qu’elle éduque: 1) l’intelligence sociale, 2) le pouvoir social, 3) l’intérêt social » (John Dewey, L’école et l’enfant, 1913, p.113) 12 6 Le temps de la complexité Avec la postmodernité: le Sujet devient le centre d’intérêt de l’Éducation les savoirs multiples doivent s’intégrer dans la métacognition Où sont la quiétude et la solitude d’antan? Le mythe de l’âge d’or des valeurs éducatives traditionnelles est ébranlé 13

Dans son ouvrage « La liturgie de la charité » (Mame Desclée), Paul Peeters a eu l’intuition de la nécessité d’un retour à une anthropologie théologale et trinitaire, abandonnant derrière elle les distorsions à la fois de la modernité et de la postmodernité. L’homme et la femme sont créés à l’image de Dieu, qui est Trinité, Père, Fils et Saint Esprit : amour paternel, amour filial et fraternel, communion sponsale. Comment notre anthropologie ne serait-elle pas dès lors trinitaire ? Pour plus d’information

bonheur. Avec la révolution industrielle, l'individu moderne baigne dans le « toujours plus » et les excès, il est en quelque sorte sommé de jouir à tout prix, de tout, de rien diront d'autres... A son corps défendant, l'homme (et la femme) de la postmodernité devra consommer pour se satisfaire, même à son corps défendant, tout excité qu'il est à désirer. Zola démontre avec brio que notre société rentre dans le règne de la plus-value et de la montée de l'excitation qui l'accompagne. Place à l'homme sans

Se préparer pour l’évaluation. Se m ai ne 1 1 21 11 novembre � Évaluation sur Aurore, l’enfant martyre. Évaluation sur Aurore, l’enfant martyre (5 %) Lire la documentation sur LÉA. Commencer à lire Vif oubli. 22 16 novembre � La postmodernité. � Les écritures migrantes. Atelier formatif Se m ai ne 1 2 23 18 novembre � Rencontre individuelle : retour sur la dissertation partielle. Se préparer pour la réécriture. 24 23 novembre � Réécriture de la dissertation 2 partielle

modernité, postmodernité ? Tocqueville nous propose une théorie de l’émancipation de l’individu, une histoire de l’individu. C’est l’histoire de son émancipation progressive. Sortie de la tradition ou de la religion ne peut pas se faire en une seule fois mais se fait en deux fois dans la mesure où dans la phase numéro 2, on ne fait que remplacer la transcendance de la tradition, de la communauté par la transcendance de l’Etat, La République, la nation ou la révolution. La postmodernité accomplit enfin

encore ses idoles; la science et la technologie. L’homme est subordonné, pour le meilleur et pour le pire, à la tyrannie du progrès. Maintenant, l’artiste procède d’une réalité nouvelle ayant dépassée le principe de la modernité. Cet art de la postmodernité prend naturellement plusieurs formes. Nous avons choisie d’en étudier les impacts profonds sur l’homme lui-même en analysant un art révolutionnaire en occident, celui du corps. L’art corporel, tel que nous l’entendons dans ce travail, sera l’art