Posture Infirmière

jours. Il n’y pas de prescriptions ou de protocoles pour ce type de pansements. Le médecin a confiance en son équipe. Elle a de bons résultats en ce qui concerne les pansements. Une infirmière est réfèrente pour les pansements complexes car elle a fait une formation « pansements ». Je travaille avec cette infirmière pendant 2 jours qui m’explique les différentes méthodes et traitements pour les pansements. Elle me dit que pour cette patiente, elle a noté dans les transmissions que pour l’instant

Mme B. Julienne Née le 28 Septembre 1914 Chambre 119 Française Avant son admission à La Chesnaye vivait à Suresnes Elle est divorcée, avait un frère qui est décédé, elle n’a pas d’enfant, elle n’a plus de famille. Retraitée, elle était infirmière. C’est une personne qui reste tout le temps dans son fauteuil coquille, elle somnole toute la journée. Elle est incontinente urinaire et fécale et porte des protections. Elle a son œil gauche qui pleure souvent. C’est une personne qui communique

comprendre la raison de nos mécanismes de défenses. Description de la situation: Un matin ,une jeune adolescente de 16 ans, nous est adressé par le service des urgences de l'hôpital Jacques Cœur ,suite à des épisodes hémorragiques .C'est l 'infirmière de garde du lycée ou la jeune fille est interne qui a alerté les pompiers et a expliqué que Mlle C avait pris un comprimé de Myfégine (RU), qui est une pilule avortive en lien avec un début de grossesse .De plus ,elle rajoute lors de la prise

les facteurs influençant le changement de la carrière infirmière Cas du Centre Hospitalier Ibn Sina de Rabat Mémoire présenté pour l’obtention du diplôme de 2ème cycle des études paramédicales Section : surveillant des services de santé 6ème cohorte 2009 - 2011 Elaboré Par : Encadré par : Mme Laila CHAFII Mr Mustapha CHERKAOUI Chef de la division

ans, autonomes, semi-autonomes et dépendantes dans des chambres individuelles. 3/ Présentation de l’équipe : * 1 médecin coordonnateur qui est garant du suivi du projet de soins individuels, * 1 infirmière coordonnatrice supervisant les équipes soignantes, * 2 infirmières présentes tous les jours de la semaine pour dispenser des soins, * des aides soignantes diplômées qui assurent les soins d’hygiène, de nursing et de surveillance, * du personnel de nuit diplômé (aides soignantes…)

intellectuelle légère, moyenne ou sévère, avec ou sans troubles associés. L'établissement offre des prestations éducatives, thérapeutiques et pédagogiques. Une équipe pluridisciplinaire au sein de l’I.M.E (éducateurs spécialisés, moniteurs éducateurs, infirmières, aide médico-psychologique, assistant social, chargé d’insertion, psychologues, psychomotricienne, institutrices spécialisées, éducateurs sportifs spécialisés,…) ainsi que des professionnels libéraux (médecins) mettent tout en œuvre pour travailler

 Le jugement clinique UE 3.1 Raisonnement et démarche clinique infirmière Le jugement  Le jugement clinique est une idée, une opinion claire que l’infirmière se fait à la suite d’un processus d’observation, de réflexion et de raisonnement sur les données observées, il est, en somme, la conclusion qu’elle en tire. Le jugement clinique permet de réunir le faisceau des informations qui résulte d’une observation, de les examiner, de les relier entre elles, d’établir des liens avec ce qui

techniques, organisationnels et relationnels utilisés dans les activités sont mis en évidence… avant, pendant et après la mise en stage… » « Ceci contribue à développer chez l’étudiant la pratique réflexive nécessaire au développement de la compétence infirmière » Circulaire de la DGOS du 20 juillet 2011 relative à la mise en œuvre du référentiel de formation infirmier : « l’évaluation et la proposition par le formateur de l’attribution ou non des crédits liés aux stages prennent en compte la progression

pathologie il peut très facilement l’embobiner en fait, lui monter la tête, sur d’autres patients ». L’infirmière expérimentée ajoute que « l’hospitalisation peut leur permettre justement de se sentir plutôt en sécurité ». Alors que pour la jeune infirmière l'ambiance de la psychiatrie (la chambre d'isolement, les portes fermées, les restrictions…) serait un facteur déclenchant. Il va de soit que le vécu sur le terrain fait dire aux infirmiers que la rupture thérapeutique est l'un des facteurs

été réalisés également, 4 prouvant la présence d’un sarcome très étendu. Une prescription de diurétiques a été mise en place et la dose a été augmentée trois fois pendant le week-end car monsieur B ne produisait toujours pas d’urine. Une des infirmières, a dit à ce sujet « Mais il faut qu’ils arrêtent d’augmenter les diurétiques, ils vont finir par le noyer, il n’arrive pas à évacuer ». L’urologue de Monsieur B avait énoncé la veille « il doit lui rester un peu plus de 48h ». La question des