Potestas

vocations a obéir au pouvoir. Jusqu'au moment ou l'empereur demande des prières , les hommes obéissent , mais ils vont être contre le fait de prier l'homme au pouvoir car ils ont déjà dieu. «  il n'est pas de pouvoir qui ne viennent de Dieu » , « omni potestas a deo » (tout pouvoir a pour origine dieu). Repris pas saint-Thomas, en 3 mots « ... sed per populum » (… mais par le peuple). On est dans une vision fondamental car on a l'origine même de la modernité. On est sur une ligne intellectuelle car il

d'Orient puis dans les Balkans. Ils est reconnu par les prétoriens qu'il s'attache par un DONATIUM, don en nature **** 2. La reconnaissance du Sénat : Lex de Imperio Vespasiani L'empereur dispose par cette loi de : la puissance tribunitienne : potestas =pouvoir de régulation de type administratif l'imperium proconsulaire, (pvr plus abstrait) : imprium transporte rome hors de rome, religieux le consulat, ainsi qu'à son fils Titus, fils cadet la préture : Domitien le pontificat : pvr rel la dispense

guillotiné au mois de janvier 1793. PARTIE I : L’AFFIRMATION DU POUVOIR ABSOLU Absolutisme est anachronique, Absolu existe depuis le Moyen-âge. Depuis le XIVe siècle on découvre l’idée d’un roi ab-solutus ainsi que la détention du roi de la potestas absoluta. - le roi est absout, libre et indépendant : il possède la puissance souveraine. - il a la puissance absolue, suprême Dès le XVIe, les auteurs s’intéressent à la définition de la souveraineté et du pouvoir absolu et chacun entreprend

la théorie générale * Un enseignement du droit positif et le droit applicable à un territoire donné. TITRE 1er : LES FONDEMENTS THEORIQUES Le pouvoir politique est aujourd’hui indissolublement lié à toute société humaine, ubi societas, ibi potestas. C’est dans le cadre étatique qu’est élaboré la constitution par la souverain dont l’expression empreinte des modalités diverses. Chapitre 1 : Le cadre étatique L’état quoi qu’il apparaisse aujourd'hui comme la forme universelle que revêt le

Les autres essentiellement paysans. Collaboration roi-elite : L’empereur , le roi prend la tête de l’ensemble de ces hommes (aristo, elite) qui sont destiné a gouverner les autres. L’empereur , le roi concentrant la puissance pol ( = la potestas) mais il doit toujours prendre en compte dans l’exercice du pouvoir les élites aristocratique. Ds le système carolingien , quand le roi est puissant il est en mesure de désigner des hommes comme étant ses delegués qui vont exercer le pouvoir de

pas besoin d'obligation. D'abord sur les membres de sa famille, le PATER a la PATRIA POTESTAS (puissance du père). Avec ça il a le droit de vie et de mort sur ses enfants. Droit de vendre ses enfants (il faut avoir un héritier pour des raisons religieuse ainsi on peut vendre un enfant pour qu'un pater ai un héritié) et louer (pour utiliser leur force de travail). Pouvoir sur les esclaves : DOMINICA POTESTAS Usus, frucutus et d'abusus. LE pater a une capacité juridique complète, il est de

Magistrats → elus par les comices pour 1 an = fonction exécutive et judiciaire Ils sont répartis en 5 magistratures et sont toujours 2 à occuper un poste Ils sont chargés de proposer les lois et sont responsables de leurs exécutions potestas et coercitio (cad de créer des édits et punir les personnes qui trouble l’ordre public)imperium = lever des armées Sénat → Si les comices représentent le peuple, le sénat lui représente l’aristocratie chefs des grandes familles

érudition car seul le savoir permet à l’Homme de se libérer des croyances issues de l’obscurantisme. On aspire donc à une connaissance encyclopédique qui combat les superstitions. Francis Bacon résume parfaitement cette objectif "Ipsa scientia potesta est", "Le savoir lui-même est pouvoir". La connaissance source de pouvoir devient donc une idée porteuse de l’espoir qu’ont les humanistes dans la capacité de l’Homme à porter son effort sur l’apprentissage et ainsi suivre le cheminement vers l’acquisition

l’auteur, pour qu’existe une société, il faut un acte fondateur. Cet acte est la politique. Le second penseur est Jean Bodin. Pour comprendre sa pensée, F.Châtelet expose d’abord l’évolution de l’idée de potestas (« puissance » en latin). Il montre que pendant des siècles, une lutte sur cette idée de potestas, de la souveraineté s’effectue entre le pouvoir temporel et le pouvoir spirituel : tantôt le pouvoir temporel l’emporte et soumet le pouvoir spirituel, tantôt c’est le pouvoir spirituel qui triomphe

la plus importante de ces circonscriptions : à sa tête, Charlemagne place un fonctionnaire royal, généralement choisi parmi les puissantes familles de propriétaires terriens francs ; ce fonctionnaire exerce le pouvoir militaire et judiciaire (la potestas) en principe par délégation et il lève les taxes pour le compte de son souverain. Il est assisté dans sa tâche par des vicomtes et des viguiers. Il est aussi en principe révocable par l'empereur. En parallèle et pour contrebalancer le pouvoir