Potestas

tributaire des transformations de la société internationale. La summa potestas de l'État nationaliste du XIXe siècle correspond à la réalité d'une époque dépourvue de toute organisation internationale ; les domaines réservés à la seule compétence nationale y étaient d'autant plus nombreux que, faute d'accord, les lacunes du droit international restaient importantes. 4. Aujourd'hui, la souveraineté n'est plus cette summa potestas des princes car la société interétatique s'organise. Les États tout en

problème concerne tous les niveaux de la hiérarchie ecclésiastique : ainsi l'empereur germanique intervient dans l'élection du pape. Enfin, il y a là une question idéologique qui tient à la distinction entre le cadre d'exercice du pouvoir temporel (la potestas) et celui du pouvoir spirituel (autoritas). L'empereur se considère, en effet, comme le représentant du Christ sur terre et, à ce titre, comme le détenteur d'une autorité spirituelle. Pour asseoir l'autorité cléricale, le Pape décide donc d'affranchir

la cité romaine, qui vont donner le premier droit familial. Tous les éléments du droit civil romain sont ainsi poser. C'est le groupe des pères, le « patriciatum » et pour qu'il ne vois pas le sang coulé il vont recevoir la « patria potestas ». Cette « patria potestas » est la possibilité pour le père d'avoir un pouvoir souverains, le « pater familias » va disposer du pouvoir jupitérien, le pouvoir d'un feu. C'est le pouvoir de disposer des membres de la famille, il a le pouvoir de vie ou de mort

la noblesse, chacun débauchant les fidèles de l'autre en promettant et en donnant beaucoup: des domaines, des abbayes, des charges lucratives. Cependant, à aucun moment, la fiction du contrôle de ces bénéfices par le roi n'est remise en cause: la potestas (pouvoir de juger) se parcellise mais ne disparaît pas Charles le Chauve et le système : un louvoiement perpétuel À peine entré en possession de sa part d'héritage, Charles le Chauve définit par le capitulaire de Coulaines en 843 les termes du

avant l’implication de la religion chrétienne dans les affaires politique, puis nous verrons le principe de dualité. Nous remarquons à travers ces deux lettres qu’il y a une rupture avec la tradition romaine. En effet avant l’empereur détenait la potestas et l’auctoritas, et avait le titre de Pontifex Maximus. Ce titre de Grand Pontife, était au temps de l’ancien l’Empire romain un titre donné par le Sénat de Rome à l’empereur qui devenait le grand prêtre de Jupiter dieu suprême de l’empire, par cet

qui ne lui appartient pas, donc par conséquent l’Assemblée ne peut pas déléguer à son tour le pouvoir au Gouvernement, c’est la conséquence en vertu du principe de suprématie des lois constitutionnelles, ou comme le dit la maxime latine « delegata potestas non potest delegari ». Maintenant, l’opération qui a été réalisée en Juin 1940, l’Assemblée étant maîtresse, elle pouvait réviser les règles de la Constitution. Le pouvoir constituant n’appartient qu’au peuple qui ne statut que souverainement et

(une force). La potentia d'un homme, c'est ce qu'il peut faire alors que sa potestas, c'est ce qu'il a le droit de faire, son pouvoir légal (dans le De Cive, il utilise Potestas pour le pouvoir de fait, non la puissance paternelle de droit [De Cive, IX, 2, 8]). Mais pour Hobbes, les deux ne vont pas l'un sans l'autre : un homme n'a de potestas que dans la mesure où il a une potentia et si l'État détient la Potestas, c'est parce qu'il détient la plus grande poten- tia qui soit possible sur cette

Empire: pouvoir de l'empereur, tuteur de la res poublica, dépositaire du pouvoir L'Empereur possède trois pouvoirs fondamentaux: - Autocritas: augmenter l'efficacité d'un acte juridique ou d'un droit (RDD d'un individu sur X ou un bien) - Potestas: puissance, pouvoir de contrainte, autorité reconnue. Le titulaire peut légiférer et châtier. - Impérium: puissance civile et militairen pouvoir absolu, sans appel. 2) Les sources du droit Dans ce paragraphe, nous chercherons à connaître

plèbe s'oppose aux Patriciens, c'est a dire les descendants des patres. La Constitution républicaine de Rome est fondée sur les magistrats qui représentent le pouvoir exécutif . Ils se revêtu d'important pouvoir politiques. On dit qu'ils ont la potestas, c'est a dire le pouvoir de prendre des décisions et certains magistrats, les supérieurs, ont ce qu'on appel l'impérium, qui est un pouvoir de vie et de mort. Ces magistrats ont aussi un pouvoir administratif. De plus ils ont aussi un pouvoir religieux

expliquer en partie le délais mis par les autorités avant d'intervenir. Esclave en tant que chose du maître appartient à son patrimoine et relève de sa justice privée : les traitements qu'ils leur font subir prouvent que les maîtres savent user de leur "potestas". En cas de complaisance des maîtres, l'autorité gouvernementale n'intervient que si l'ordre public en est troublé. Dans Sicile provincialisée, "l'imperium" est détenue par le gouverneur de la province, représentant tout-puissant de Rome. Or, Diodore