Potestas

par le sénat. Comme ils appartiennent aux mêmes milieux sociaux et familiaux que les sénateurs il échappait a toute condamnations. 2- Les pouvoirs des magistrats 3pouvoirs : le magistrat inférieur n’en dispose que d’un seul, il s’agit de la potestas, signifie la puissance. Cela signifie d’une part qu’ils peuvent prendre des dispositions obligatoires pendant toute la durée de la magistrature, ils disposent d’un pouvoir de contrainte, cela signifie qu’ils peuvent condamner les citoyens a des amandes

européenne, l’ancien et le nouveau, dans une lettre adressée au Premier ministre italien donnent leurs ordres. Il s’agit de « mesures essentielles » que doit prendre le pouvoir politique. 6) La phrase derrière le personnage en arrière plan « Non est potestas super terram quae comparetur ei » se traduit « Il n'y a aucun pouvoir sur la terre qui est comparable avec cela ». Le personnage sur dimensionner en arrière plan est constitué de plusieurs personnes. Il semble contrôler la société. Il y a les symboles

sont : • la succession héréditaire de son titulaire, par le moyen des générations successives de la famille royale ; • l'inviolabilité et l'immunité absolues de son titulaire ; • l'absence d'initiative politique et de pouvoir effectif (potestas) ; • la possession d'un niveau élevé d'autorité (auctoritas) ; • la réalisation par son titulaire d'une série d'actes définis en vue de régulariser le fonctionnement de l'État. La résidence officielle de la monarchie espagnole est le Palais

l'exorde : Introduction : 1ère chose : 1. L'exorde a pour but de plaire, attirer l'attention du public (captatio benevolentiaie). Pour plaire aux jurés, il commence par une éloge aux jurés en évoquant le pouvoir inhérent de ce statu (potestas iudicendi, vestrae autoritate, eam potestatem vos abitis). 2. Il évoque la splendeur de l'ordre à laquelle ils appartiennent (amplissimorum ordinum delectis virus). 3. En évoquant leur valeur moral (vestiam fidem, virtutem sapientiae).

haec Gallus Hierapolim profecturus ut expeditioni specie tenus adesset, Antiochensi plebi suppliciter obsecranti ut inediae dispelleret metum, quae per multas difficilisque causas adfore iam sperabatur, non ut mos est principibus, quorum diffusa potestas localibus subinde medetur aerumnis, disponi quicquam statuit vel ex provinciis alimenta transferri conterminis, sed consularem Syriae Theophilum prope adstantem ultima metuenti multitudini dedit id adsidue replicando quod invito rectore nullus egere

puissance tribunicienne, rétablissement qui s’achève avec Pompée (en 70). * Sous l’Empire, à l’exemple de César qui, sans être tribun, avait revêtu la puissance tribunicienne, Auguste et tous les empereurs à sa suite ont trouvé dans la tribunicia potestas, détenue à vie, l’un des fondements du pouvoir impérial. Ainsi le collège des 10 tribuns est-il vidé de sa signification politique. Censure : Magistrature sine imperio (mais détiennent les auspices supérieurs). Néanmoins, la censure est devenue

les Etats membres d'une fédération ne sont pas souverains au sens du droit international alors que ceux qui font partie d'une Confédération le sont. Dans l'ordre juridique interne, on appelle souverain l'être réel ou fictif qui possède la summa potestas, et dont dépend toute la légalité/légitimité de cet ordre. C'est ainsi qu'on dira que dans tel Etat c'est le peuple ou la nation qui sont le souverain. Si l'on en revient au droit international, le problème que posent les regroupements d'Etat

à ne pas révoquer le créancier de son poste alors on ne peut qu’observer que le débiteur de l’obligation dispose d’un pouvoir spécial lui permettant de faire obstacle à la réalisation de la condition suspensive. La locution pouvoir vient du latin potestas, qui renvoie à la notion de potestatif. Une condition est dite potestative dès lors que sa réalisation dépend uniquement d’une seule partie. Il a été question de distinguer les condition purement potestatives (passibles de nullité) des conditions

communauté), marché, besoin, interet, ptée, esclavage, Fiscus latin, censure. - Droit : Va apparaitre en notion latine, parler du droit signifit parler des concept transmit par le droit ecrit. Dans ce droit romain : concept de dominium, imperium. Potestas et auctoristas : puissance et autorité. Puissance pose la question de la force, autorité pose la question de la legitimité = concept majeur de la pensée politique. Contrat, monarchie, institutions, contrats. - Religion : Théocratie, providence

droit latin, l’apparition de ce terme annonce en fait les logiques étatiques modernes[1]. Il ne recouvre en effet aucune notion de la législation romaine : ni l'imperium, qui désigne une simple « puissance de commandement militaire »[2], ni la summa potestas, qui se rapporte à un « pouvoir de vie et de mort »[3] ne synthétisent ce vaste ensemble conceptuel. Cette absence de précédent notionnel est d'ailleurs mise en évidence par Jean Bodin : « Il est ici besoin de former la définition de la souveraineté