Pour le plaisir

notre but quotidien soit d'atteindre le plaisir le plus fort et le plus durable possible. Nous choisissons dans la mesure du possible a avoir des activité qui nous plaisent, un entourage que nous apprécions et, finalement, une vie la moins désagréable possible, ce qui paraît logique. Parfois, cependant, nos actes nous sont pénibles ce qui ne nous empêche pas de les réaliser car nous souhaitons conserver une bonne ligne de conduite morale. Cela suppose que le plaisir soit opposé au bien. Le texte étudié

La conscience est-elle un obstacle au bonheur ? La morale permet-elle le plaisir ? Bonheur et morale sont-ils compatibles ? Le plaisir est-il durable ? La thèse de Jankélévitch s’exprime dans l’idée qu’avoir conscience de notre bonheur nous empêche d’être heureux. En effet, pour lui, la conscience joue un rôle révélateur de l’imperfection de nos plaisirs soit car il est forcement limité dans le temps soit parce que on le considère insuffisant. Tout d’abord, le philosophe s’intéresse à la morale

trad. J.-F. Balaudé, pp. 130 sq. Correction de l’introduction : Thème du texte : la relation entre le désir, le plaisir et le bonheur Problème du texte : Comment atteindre la vie bienheureuse ? Et, plus précisément, quel usage doit-on faire des plaisirs pour atteindre la vie bienheureuse ? Thèse du texte : pour atteindre la vie bienheureuse, il faut mesurer et comparer les plaisirs et les douleurs qui se présentent à nous, de manière à choisir la meilleure combinaison que l’on puisse en faire

de la question. L’hédonisme c’est la recherche du plaisir et donc par la même occasion éviter de la douleur, comme but fondamental de la vie. Selon Épicure c’est l’importance de combler ces plaisirs sans pour autant tomber dans l’excès. Le bonheur réside dans les choses les plus simples de la vie, par exemple les bons repas entre amis1. Par la suite, définissons le plaisir : c’est un état émotionnel agréable, de la satisfaction d’un désir. Le plaisir est l’antonyme de la douleur. Enfin, le bonheur

répond : le bonheur c’est le plaisir. L’épicurisme est un hédonisme (en grec plaisir se dit hêdonê). « Nous disons que le plaisir est le commencement et la fin de la vie heureuse » Lignes 108.109. Epicure revendique une philosophie du plaisir ; ce qui sans plus de précision expose à malentendus. L’opinion n’y échappe pas puisqu’elle entend par « épicurien » un bon vivant, un jouisseur c’est-à-dire l’homme d’un hédonisme débridé, toujours en quête de plaisirs, aussi excessifs et pervers soient-ils

morale qui propose la recherche exclusive des plaisirs simples écartent ainsi quasiment toutes les peines. En éthique, le philosophe grec défend l'idée que le souverain bien est le plaisir, défini essentiellement comme « absence de douleur ». Dans la lettre à Ménécée ( 4e-3e siècle avant Jésus Christ) publiée dans > en 1999 , Epicure nous dit qu'il faut philosopher pour être heureux et donc avoir du plaisir. Le seul bien est ainsi le plaisir. Le paragraphe 10 que nous étudions évoque clairement

D'ailleurs d'après Lucrece, c'est une folie de croire que ce sont eux qui ont créer le monde pour les êtres humains. ''En vérité, quel profit notre reconnaissance pourrait-elle apporter à ces êtres immortels et fortunés pour les amener à faire de nos plaisirs le but de leurs travaux ?'', dit-il. Aucun car ils sont immortels et fortunées, ils connaissent aucun troubles et sont donc parfaitement heureux. Alors pourquoi croire que l'on doit les remercier, leur rendre hommages par exemple par des offrandes

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L’Hédonisme ou la morale du plaisir 1.-Par tradition, nous savons pertinemment qu’un contrat de mariage se réalise entre un homme et une femme, et jamais avec un tiers, et le couple se jure de vivre ensemble et d’être fidèle jusqu'à la mort. Et ceci peu importe ce qui arrivera, en un mot ils se complètent. Par conséquent, nous connaissons le but ultime du mariage, qui est une vie conjugale, remplie d’amour, de confiance, de sincérité… donc il est impondérable pour la survie d’un couple, d’observer

sur ce qu’ils entendent par « être vaincu par le plaisir ». Cet extrait de dialogue nous permet de comprendre comment Socrate structure sa réflexion grâce à son dialogue avec Protagoras. Socrate vas répondre à la question qui lui a été pausé en l’expliquant et nous montrer par la même occasion l’intérêt de ce texte. Peut-on être vaincu par le plaisir ? Dans un premier temps Socrate nous explique ce que c’est que d’être vaincu par le plaisir, dans un deuxième temps il nous montre que le bien