Pour Ou Contre Le Baisse Des Prélèvements Obligatoires

-La désinflation: ralentissement de la hausse des prix, ceux ci continuent d'augmenter mais à un rythme moins important. -La déflation: au sens strict il signifie une baisse de prix, il désigne une contraction des grandeurs économique nominale (baisse de prix, des salaires, de la masse monétaire) pouvant s'accompagner d'une baisse des grandeurs réels (production, emploi, demande). -l'hyperinflation: designe une inflation excessivement élevé superieur a 10% -La stagflation: periode rare ou il y

le pouvoir d’achat du revenu disponible brut des ménages français a atteint son niveau le plus bas. - 0,8% contre 2,3 en 2002 selon l’INSEE. Cette baisse du pouvoir d’achat est due en partie à la hausse des prix dans de nombreux secteurs comme par exemple dans le secteur agroalimentaire. Suite à cette hausse, les consommateurs français achètent moins ou différemment. On observe alors une baisse de la consommation, or on sait que la consommation est le principal moteur de la croissance économique en

revient des produits baisse et l'entreprise peut dégager un profit supplémentaire. L'introduction de l'informatique a par exemple permis d'augmenter l'efficacité des facteurs de production de façon considérable. Innovation de procédé =>  productivité =>  production/h =>  coûts de production =>  profits =>  investissement de capacité =>  stock de capital fixe =>  production => croissance L’innovation de procédé permet l’obtention de gains de productivité. Elle peut ainsi baisser ses prix pour améliorer

indirects Impôt direct : impôt qui est acquitté par le contribuable qui supporte directement l’impôt (ex : impôt sur le revenu, impôt sur les sociétés, etc.). Impôts indirects : il y a une dissociation entre le redevable (le débiteur juridique du prélèvement, cad celui qui verse l’impôt à l’Etat) et le contribuable (ex : un consommateur achète un produit soumis à la TVA il est contribuable, l’entreprise qui vend le produit collecte donc la TVA et la reverse à l’Etat, elle est le redevable). Cet impôt

l'espérance de vie qui traduit l'accès à la santé. Pour que la santé et l'éducation se développent, il faut que l'Etat aient les ressources nécessaires pour investir dans ces domaines. Les ressources de l'Etat sont principalement issues des prélèvements obligatoires effectués sur l'ensemble des richesse produites: elles seront donc fonction du PIB et d'autant plus importante que la croissance sera forte. On comprends aisément pourquoi la croissance est une condition du développement, en effet un pays

dans nos sociétés : aucun individu ne peut prétendre produire tous les biens nécessaires à la satisfaction de ses besoins. Ainsi, la spécialisation des individus les conduit à échanger le surplus de leur propre production, qui excède leurs besoins, contre le surplus de production d’autres individus. Il est vrai qu’il est toujours possible de s’approprier par la force ce que les autres produisent, mais l’échange est un moyen d’éviter l’affrontement. C’est en ce sens que ce « doux commerce », selon

19ème siècle qu’est né le principe des assurances sociales. Sous l’impulsion du Chancelier Bismarck, l’Allemagne a mis en place le premier système d’assurance maladie et retraite obligatoire pour les travailleurs ayant des revenus faibles. En 1883, la loi sur l'assurance maladie stipule la mise en place de l'assurance obligatoire pour les ouvriers dans l'industrie. Le Code des assurances du Reich de 1911 systématise et regroupe en un appareil législatif uniforme l'assurance maladie, l'assurance maladie

notamment par des programmes de privatisations (1986, 1993), la fin de la planification (Xème et dernier plan en 1989-1993), les lois de décentralisation (1982, 2003), avec toutefois des dépenses publiques en progression constante, des taux de prélèvements élevés et la persistance de déficits publics. B- Les défaillances du marché 1) Les biens collectifs (ou biens publics) - ce sont des biens qui obéissent simultanément à deux principes (Samuelson) : le principe de non-rivalité ou d'indivisibilité

calculer l’indice de Gini, qui va de 0 à 1 (0 société ultraégalitaire, 1 si une seule personne dispose de toutes les richesses. La progressivité de l’impôt sur le revenu (le taux marginal est croissant avec le revenu) est une politique pour lutter contre les inégalités. Fonder théoriquement une norme d’équité. Mais on ne peut fonder théoriquement une théorie d’égalité efficiente sur le plan économique. Ce que l’économiste peut dire sur cette questions d’inégalités de revenus, c’est que l’esprit

secteur peut être subdivisé en trois : les administrations publiques centrales (Etat), les administrations publiques locales (régions, départements, communes), les administrations de Sécurité sociale. Leurs ressources proviennent des prélèvements obligatoires (impôts, cotisations sociales) effectués sur les autres secteurs. - les institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM) : leur fonction est la production de biens et services non marchands réservés à des groupes particuliers