Pour Ou Contre Le Redoublement

Interview exclusive du proviseur : 1. C'est compliqué de dire si on est pour ou contre, il doit être bien mesuré dans le sens où redoubler signifie recommencer, donc si on recommence une année alors que l'année précédente on a rien fait, cela n'a pas de sens. Qu'est-ce qui va nous donner la possibilité de croire que l'élève va vouloir se mettre à travailler du jour au lendemain, sachant qu'il va refaire tout ce qu'il a déjà fait pendant un an ? Ensuite il va "stagner", il va se retrouver avec des

en 1990 ont réalisaient une étude comparative portée sur le parcours scolaire des élèves étrangers ou issus de l’immigration, comparé à celui des enfants d’origines française, les deux chercheurs ont prêt pour variable de mesure, le phénomène du redoublement au cours de la scolarité primaire, cette chercheurs à révélé l’écart important entre les deux populations d’études. A partir des années deux milles cinq, les sociologues ont commençaient à se posé la question. le rôle que l’école joue dans la

2 Résumé Francine Best analyse l’échec scolaire dans une première partie puis elle évoque les différentes stratégies pour y remédier. Il faut en premier lieu reconnaitre l’échec scolaire pour imaginer des stratégies, des politiques de lutte contre celui-ci. Il dépend de l’environnement scolaire et économique des élèves. Il est présent dans toute la France et à tous les niveaux de la scolarité : primaire, collège et lycée, mais son aspect le plus visible est au collège. La notion d’échec

sociologues expliquent-ils ce phénomène ? (les causes) 1) L’analyse de Bourdieu 2) L’analyse de Boudon 3) L’analyse des autres sociologues III) Solutions proposées pour lutter contre l’échec scolaire et perspectives d’évolutions. 1) Dispositifs mis en place pour lutter contre l’échec scolaire. 2) redoublement. 3) conséquences de l’échec scolaire. Conclusion : - Synthèse du dossier, résumé de chaque partie. - A quels enjeux sociaux cela répond ? - Quelles perspectives d’évolution 

Hannah Arendt C- Le malaise enseignant D- Les solutions proposées par le gouvernement III/ Les élèves : p.26 A- L’élève selon les sociologues B- Quelques mots de Daniel Pennac… C- La question des redoublements D- A la recherche du temps perdu ? IV/ Les programmes : p.38 A- Qui constitue les programmes ? B- Des programmes surchargés C- La question de l’Histoire dans nos programmes D- Retour vers Daniel Pennac : «c’est

travers le territoire de la wilaya. Selon le représentant du SNAPEST, 20% ont réussi à avoir la moyenne,. Un autre constat lié à l’enseignement fondamental, moins récent révèle que Les taux de redoublement recensés à l’échelle nationale sont excessifs quel que soit le niveau d’études considéré. Les taux de redoublement s’intensifient de manière démesurée à partir de la 6eme AF. Au niveau de la 9eme AF, le 1/3 des effectifs de chaque classe est composé de redoublants. Par ailleurs, on note que le 1/3 des

cet effet se heurtent à plusieurs problèmes : le premier risque est de créer par l’angle d’approche sociologique des corrélations artificielles ; le second réside dans le fait que tous les enfants n’entrent pas à l’école au même âge, et que le redoublement plus fréquent des élèves de fin d’année entraine une réduction des écarts d’âge dans les classes. Julien Grenet préconise donc de s’intéresser pour contourner ces biais à l’âge absolu, en mois, au moment de l’évaluation. DONNEES De nombreuses

l’étude faite sur le redoublement. Selon les sociologues, disposant d’études générales dans le système éducatif, cette pratique est inutile (les élèves en difficulté qui redoublent, progressent moins qu’un enfant en difficulté qui passe dans la classe supérieure), injuste socialement (les enseignants font plus redoubler les enfants issus de milieux défavorisés) et coûteuse. Il est aussi intéressant de noter que très souvent les raisons invoquées pour justifier un redoublement, ne sont pas toutes issues

d’élèves faibles. Dans le chapitre sur le redoublement, les auteurs montrent qu’il est néfaste et que nous sommes le pays qui détient le record avec un taux de redoublement d’environ 40% alors que l’ensemble des pays ne dépassent pas le taux de 20% de redoublement. PISA nous montre au contraire que plus un pays pratique le passage obligatoire dans la classe supérieur, meilleur est le système éducatif (exemple, la Finlande). De plus, le redoublement augmente les inégalités entre les élèves, il

étudier les inégalités scolaires au cours du primaire et au début du secondaire. L’usage du retard scolaire comme signe de difficultés scolaires persistantes peut aussi être justifié par un certain nombre d’études montrant l’inefficacité du redoublement (Crahay, 1996). En effet, les écarts de réussite entre les élèves en retard et ceux qui ne le sont pas demeurent très importants tout au long du cursus. Ainsi, l’enquête Programme international pour le suivi des acquis des élèves (PISA) de