Pour être Libre Faut Il Necessairement Abandonner Ses Croyances

comme la connaissance scientifique des phénomènes sociaux. La sociologie ne peut s'expliquer autrement que par la sociologie : le social s'explique par le social. Sens commun : Ensemble des croyances ou opinions largement partagées par les membres d'une société. Pour faire de la sociologie, il faut se distancer du sens commun. La différence fondamentale entre le sens commun et la connaissance scientifique est que les scientifiques doivent suivre des procédures méthodologiques afin de garantir

LES FAMILLES QUI ONT LA TETE A L’ENVERS (Revivre après un traumatisme familial, De NEUBURGER (O, jacob ed, 2005) L’hypothèse est que certains symptômes peuvent être dus comme étant la conséquence à distance de traumas familiaux, connus ou méconnus . On ne saurait relier une pathologie à une origine unique. Le principe systémique d’équifinalité admet que des troubles différents peuvent avoir une origine commune, alors que certains symptômes semblables ont des origines très différentes...d’où

à la déconstruction, à la rupture avec les prénotions, de nos visions spontanées : travail d'objectivation (= mettre en lumière tous les mécanismes sociaux, à la base de nos croyances spontanées, qui construisent le sens commun). Objectivation des régularités : le monde social se reproduit malgré le temps qui passe. Il faut comprendre comment le monde fonctionne de manière régulière sans que pour autant les individus répondent à des règles. C’est le projet de BOURDIEU : comprendre le monde dans

qu’à l’état rudimentaire. Il y a une morale professionnelle de l’avocat et du magistrat, du soldat et du professeur, du médecin et du prêtre, etc. Mais si l’on essayait de fixer en un langage un peu défini les idées en cours sur ce que doivent être les rapports de l’employeur avec l’employé, de l’ouvrier avec le chef d’entreprise, des industriels concurrents les uns avec les autres ou avec le public, quelles formules indécises on obtiendrait ! Quelques généralités sans précision sur la

avec grandeur, c'est-à-dire avec cynisme et innocence. 2. Ce que je raconte, c'est l'histoire des deux siècles qui vont venir. Je décris ce qui va venir, ce qui ne saurait plus venir autrement: la montée du nihilisme. Cette page d'histoire peut être contée dès maintenant: car, dans le cas présent, la nécessité elle-même est à l'œuvre. Cet avenir parle déjà par la voix de cent signes et présages, cette fatalité s'annonce partout; pour entendre cette musique de l'avenir toutes les oreilles sont

la télévision, à la maison, voire dans un cours. Pensées toutes faites qu’il ne vous viendrait plus à l’idée d’interroger, ne serait-ce qu’un bref instant. Nous proposons donc un dialogue, échange entre Victor et son amie philosophe, dialogue censé être celui de l’élève avec lui-même. C’est l’outil avec lequel, en même temps que Victor, vous pourrez vous entraîner à philosopher. Victor doit apprendre à s’interroger, pour penser par lui-même ; il doit installer en sa propre démarche le réflexe de mise

La liberté au 13ème : celui qui ne dépend que de lui même => il n’appartient à aucun maitre. La liberté va qualifier l’état d’une personne autonome, à l’opposition à l’esclavage et à l’état de servitude. Evolution au 16ème s. : la personne libre est celle qui n’a pas de contrainte morale et sociale particulière. La personne qui peut de ce fait prendre des libertés. —› La distinction de ces deux approches : la première, on a une conception individualiste, on retient l’individu et seul

vitale à laquelle l'homme semble condamné, car, contrairement aux animaux, il ne trouve pas dans la nature de quoi satisfaire immédiatement ses besoins : les vêtements ne se tissent pas tout seuls, la terre doit être cultivée. • L'invention des machines ne résout pas le problème puisqu'il faut encore des hommes pour les concevoir et les réparer. 2. Travailler est-il un obstacle à la liberté ? • Si le travail est vécu comme une contrainte pénible, il n'en est pas moins le moyen par lequel l'homme

indépendamment de leur appartenance politique et du jeu majoritaire. Il estime que le système représentatif est plus apte à assimiler les changements que le système bureaucratique qui instaure la routine et la médiocrité quotidienne. Il faut enfin noter que Mill ne refuse pas automatiquement l’administration bureaucratique, mais il souhaite seulement que sa puissance soit limitée et surveillée par les représentants du peuple. /- K. Marx Karl Marx, nourri par l’étude de la

approche critique. Plan du cours 01 — L’apport des utilitaristes (Bentham, Mill, Halévy) 02 — L’apport des nominalistes (Popper, Piaget) 03 — Difficultés des paradigmes déterministes 04 — Le principe de rationalité limitée 05 — L’explication des croyances irrationnelles 06 — Vers une théorie synthétique de la rationalité 07 — Critiques du principe de rationalité 08 — Le principe d’agrégation 09 — Modèles des phénomènes agrégatifs 10 — Effet pervers et changement social 11 — Critiques du principe individualiste