Pour être Libre Faut Il être Responsable

Sujet : Sommes-nous responsables de nos désirs ? Chaque être humain recherche en permanence un objet qui serait source de sa satisfaction même la plus petite : le désir, qui n’est pas maîtrisable mais dont la fin est jugée bonne par l’homme. Il est certain que le désir fait partie de ce que nous sommes mais peut-on dire que nous sommes la cause de nos désirs ou que nous devrions les assumer ? En définitif, sommes-nous responsables de nos désirs ? C’est sur ce problème que nous ferons notre réflexion

Victor Frankenstein était un jeune homme plein d'avenir. Doté d'une grande intelligence et de toutes les ressources dont il avait besoin, il semble être voué à la réussite sous toutes ses formes. Cependant, sa situation parait se détériorer lorsqu'on l'envoie étudier, loin de ses proches, à Ingolstadt, où il réalisa que les études de la science n'était pas conforme à ses attentes. Le temps passe et les choses changent, Frankenstein, qu'on croirait pris d'une démence chronique, tente de réanimer

humain dans le monde. Pour les existentialistes chaque individu est unique et il se doit de faire des efforts pour parvenir à son authenticité. Être authentique= vivre en pleine lumière, sans se mentir à soi-même, poser seulement des gestes en accord avec ses convictions et ses valeurs. La conception philosophique de l’être humain : L’HOMME COMME ÊTRE LIBRE 1. l’existence précède l’essence 2. existence= le fait d’être là, l’en-soi qui n’a pas conscience de soi, ni liberté de changer

L’ignorant est quelqu’un qui ne sait pas ce qu’il fait (au sens où il ne veut pas ce qu’il fait). Dans ce cas, il n’est pas totalement responsable, on dit qu’il est excusé. En outre, l’ignorant ne sait pas qu’il est dans l’erreur. Dès lors peut-on lui reprocher ses erreurs ? Cependant, on peut se réfugier dans l’ignorance pour tout excuser ( fautes, échecs et erreurs) ; tout devient alors excusable. Mais ceci revient à nier le fait que l’homme est capable de penser, de connaître. On peut donc

connaissance des causes me permet d’avoir une liberté car je peux prévoir, et en ce sens le déterminisme s’oppose à la fatalité. Pour Sartre, cette confusion nous arrange bien car elle nous permet de nous endormir dans la fatalité. Jusqu’où est-on libre de vouloir ce qu’on veut ? Descartes, quatrième méditation Pour lui, la liberté intérieure serait plus la volonté comme pouvoir de choix. C’est le pouvoir de se déterminer… pour qui s’oppose au fait d’être déterminé par (attitude active qui s’oppose

deux manières d'entrer dans ce texte : soit on s'interroge en particulier sur ce qu'est un héros, soit on appuie sa réflexion sur la question plus générale de l'existence ou non d'une nature humaine. Quel que soit l'angle de réflexion engagé, il ne faut négliger aucun de ces deux aspects. Par ailleurs, Sartre montre que son idée de l'héroïsme s'oppose à deux idées : celle qui prétend que l'on est héros de naissance, et celle qui prétend qu'il suffit d'avoir accompli un acte héroïque dans sa vie pour

de l’être humain. À première vue, ces conceptions semblent être impeccables et peuvent expliquer, ainsi que rendre compréhensible, tout aspect relatif à l’humanité. C’est-à-dire qu’à l’aide des idées principales que ces conceptions nous fournissent, on peut répondre aux questions difficiles concernant le sens d’existence de l’humanité. Un de ces questions agite les esprits il y a déjà très longtemps; est-ce que l’homme est un être libre dans sa nature? Cette question nous intéresse parce qu’il est

fait de la liberté, celle de l’ « homme de la rue » qu’aurait pu interroger Socrate. Ainsi, la liberté, c’est « faire ce que l’on veut », elle correspond, semble-t-il à la toute-puissance de la volonté de chacun. Spontanément, tout individu se sent libre dès lors qu’il peut accomplir tous ses désirs, toutes ses envies. Or l’expérience ordinaire de la vie montre aussi, paradoxalement, l’être humain soumis à de nombreuses contraintes à la fois externes (physiques, sociales, politiques) et internes (instincts

Il nous faut partir de ce constat de départ que le sentiment commun et immédiat éprouvé par tout homme est de se sentir libre : en effet, chaque homme peut faire l’expérience, du moins intérieure, d’une liberté de penser et d’agir, indépendamment de toute contrainte extérieure. Cette conviction intérieure est donc profondément ancrée en chacun de nous. Cependant, la liberté ne serait-elle pas une illusion ? Ou pour le dire autrement, le fait de se sentir libre n’est-il pas susceptible de ne renvoyer

droit est-il pourtant nécessaire au bonheur de l'humanité? Ce thème est l'un des problèmes majeurs des philosophes, car tout d'abord il faut savoir ce que signifie la liberté et être heureux. A travers l'analyse de ce sujet, qui portera sur les rapports entre le bonheur et la liberté, nous parlerons de divers aspects de ces deux derniers. Pour être heureux, il faut avoir la possibilité de rechercher le plaisir, c'est-à-dire de pouvoir vivre des instants de joies ou de bonheur. C'est pourquoi la recherche