Pourquoi 1984 Est Une Contre Utopie

diffrents dans des contextes trs diffrents et qui ont toutes comme point commun de tent de rgler un problme trs gnral, celui qui touche la question des rapports entre les hommes et le pouvoir. La nature des rapports. Sen suit un tas dinterrogation pourquoi faut il du pouvoir A quel besoin cela rpond trange besoin des humains fabriquer un pouvoir auquel ils se soumettent et regle comportement et relation. Qui a besoin de ca (ncessit, lgitimit). Autre problme quel est le but du pouvoir, a quoi sert

humain comme autant d’utopies dangereuses, et se méfier du totalitarisme intellectuel que dissimule toute histoire universelle. C’est entre deux extrêmes qu’il s’agit de penser le progrès humain dans l’histoire. Le progrès dans l’histoire est-il une utopie dangereuse ou un espoir raisonnable ? 1. Le sens de l’histoire. Dans la Grèce antique, le devenir est répétition, retour cyclique scandé par les fêtes, dominé par le rythme des saisons. Il n’est qu’à lire Platon (philosophe grec, 427-348) pour

majorité, d’où un risque de dictature de la pensée majoritaire. Les minorités abandonnent en effet tout dans les mains de la majorité : leur vie, leur bonheur, leur bien, leur avenir, et leur liberté. La minorité se prive de tout moyen de défense contre la majorité, et celle-ci peut devenir oppressive sans rencontre d’opposition ou de limites. Un risque d’autorité majoritaire oppressive d’autant plus forte que la minorité doit reconnaitre son erreur : elle s’est trompée sur la volonté générale alors

d’Europe évoquée par V. Hugo. Tentatives d’entre-deux-guerres (Briand et Stresemann). Mettre fin aux conflits, et mettre en place un ensemble cohérent, face à l’émergence des autres puissances (Etats-Unis et Russie). Mais ces projets ne sont qu’une utopie à ce moment. Dans les années 30 : nationalisme. A partir de 45, le contexte de l’après-guerre change la donne : l’Europe est divisée, elle ne pèse plus suffisamment par rapport aux deux grandes puissances. Dès 1945, se développe l’idée qu’il n’y

SPIELBERG : www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=18672414&cfilm=34917.html 1. Découverte Présentation de 1984 de George ORWELL avec un diaporama imagé pour support : prise de notes des élèves en vue d’une réutilisation ultérieure lors de l’étude de La ferme des animaux .

Michel Foucault reprend et élargit cette tradition, en nous signalant l’importance capitale de certains espaces. Dans une conférence prononcée en 1967 en Tunisie, intitulée « Des espaces autres » [12] et dont il n’autorisa la publication qu’en 1984, il nous invite à analyser certains espaces comme des lieux différents qu’il nomme « hétérotopies ». Des lieux aussi hétéroclites que le miroir, le cimetière, la maison close, le village de vacances, le jardin, le musée, le théâtre, la foire, ou le

et mettent surtout en scène des femmes. Les grandes décisions gouvernementales : La Gazette est le premier journal à en diffuser, créée par un médecin, elle explique toutes les décisions du gouvernement. Il parle donc surtout de politique. C’est pourquoi toutes les informations vitales sont très contrôlées par le pouvoir, à l’époque Richelieu. Les libelles : Ce sont des journaux qui expriment les opinions politiques. Ils apparaissent à la révolution. Certains articles sont censurés. La presse plaisir :

businessman, le géographe, les descriptions au début du livre), le pouvoir (le roi, le vaniteux) et les apparences (l’anecdote de l’astronome turc). La course effrénée au gain de temps, dans les rencontres avec l’aiguilleur ou le marchand de pilules contre la soif. L’absurdité des comportements du buveur alcoolique ou de l’allumeur de réverbère. Etc. Face à cela, Saint-Exupéry propose un idéalisme farouche, teinté d’optimisme et de rêverie. Le Petit Prince est ainsi un plaidoyer en faveur d’une vision

posture à caractère théocratique a légitimité à éduquer les autres, parce qu’elle exerce une forme de caricature au nom d’un pouvoir. La religion, le parti ou n’importe quelle entité abstraite impose aux hommes ce qu’ils doivent apprendre, comment et pourquoi ils le doivent, au risque d’être des dissidents. Je fais donc l’hypothèse, comme Hannah Arendt, qu’il faut mettre un terme à l’éducation et qu’à un moment donné, celles et ceux qui apprennent, choisissent eux-mêmes ce qu’ils doivent apprendre et

communication sur la responsabilité sociale d‟entreprise on voit qu‟elle fonctionne sous le mode de l‟horizontalité, de la Co-construction d‟une parole d‟adéquation entre l‟organisation et ses parties prenantes, ainsi n‟assiste t‟on pas à un retour de l‟utopie de la communication? De même qu'est ce que cela signifie pour l'entreprise de prôner la vérité, la transparence? Avec cet idéal de vérité, qui semble dépasser une construction autour de valeurs, n‟y aurait-il pas une évolution de la fonction communication