Pourquoi Agit On Moralement

acceptant l’existence du Mal ? Dans un deuxième temps, une question se pose alors : L’homme peut-il être à la fois raisonnable et malveillant ? Mais pour répondre à cette question il est d’abord nécessaire de déterminer ce qu’est être malfaisant, pourquoi certaines personnes le sont et d’où peut bien venir le mal ? Et c’est a partir de ce moment qu’on pourra confronter l’idée du mal avec la raison afin de déterminer si oui ou non, il est possible d’être à la fois raisonnable et malveillant.

l'obliger a travail pour survivre : «  tu gagneras ton pain à la sueur de ton front ». D'ailleurs, pour Marx, le travail humain contribue à transformer l’homme tout autant que la nature. En effet, ce qui différencie l'homme de l'animal c'est que l'animal agit par instinct de survit contrairement à l'homme qui va planifier ces projet et les réaliser par le travail : «  ce qui distingue dès l’abord le plus mauvais architecte de l’abeille la plus experte, c’est qu’il a construit la cellule dans sa tête avant

comme si chacune de ces conséquences pouvait et devait lui être imputée. L’homme responsable est celui qui agit en pensant qu’il devra répondre de ses actes, et qui donc veut en répondre. Que faire lorsque certains de nos actes ne sont as issu de ma conscience et ma volonté ? Cette difficulté conduit Aristote à distinguer ce qui est fait « de son gré » ou contre le gré de celui qui agit : est fait « de plein gré » ce qui dépend de l’agent et ce qu’il fait en sachant ce qu’il fait. Il est alors

images mentales? Leur réalité pour nous, ce sont simplement les mots qui les désignent. L'idée générale n'est donc pas une image mentale, mais un concept, et n'a d'existence qu'autant qu'un mot la nomme. B/ Langage animal/langage humain C'est pourquoi on situe souvent la différence entre l'homme et l'animal au niveau du langage. Bien-sûr, on parle couramment du "langage animal", mais personne ne dit jamais que les animaux parlent (sauf dans les contes de fée). On dit que les animaux s'expriment

dénonce d'ailleurs à plusieurs reprises dans son œuvre le comportement du procureur du tribunal de Jérusalem, Gideon Hausner, qui de manière répétée lors du procès d'Adolf Eichmann demanda aux témoins survivants des camps de concentration nazis, pourquoi ils ne s'étaient pas révoltés. Soulignant la bassesse et la bêtise d'une telle question, elle démontre, d'ailleurs, dans son livre que l'horreur du système nazi résidait, entre autre, dans son aptitude à détruire la volonté des individus. En ce qui

d’imagination. En outre, poète, romancier, dramaturge… aspirent à sortir du carcan exigu de la raison qui se trouve être restrictif ; c’est ainsi qu’avec le romantisme on nous fait voir des gens qui veulent sortir des chantiers battus. C’est la raison pourquoi Starobinski parle du portrait de l’artiste en saltimbanque c’est-à-dire l’artiste se révolte du fait qu’on nous montre un homme maitre de ses passions alors que tel n’est pas le cas parce que les force du « ça » déborde l’inconscient et perturbe

A la question « Pourquoi travaille-t-on ? », nous répondons, la plupart du temps « pour gagner de l'argent ». Dans notre société actuelle, le travail est jugé comme obligatoire et selon l'adage populaire « il faut travailler pour vivre » Ainsi, le travail est ressenti comme une contrainte extérieure. Effectivement, celui-ci est considéré comme difficile, pénible à exécuter et on ne désire travailler qu'en vu d'une récompense (que ce soit en terme d'argent ou bien de reconnaissance etc.,,) Cependant

écrit. La loi fait les règles on a juste à les appliquer. 1.4. Des positions théoriques plus ou moins explicitées 1.4.1. Sur la nature de la problématique éthique : normative ou descriptive Normative : c'est une loi, il faut ou il ne faut pas. On agit de façon éthique par devoir et non pas de façon volontaire. Un certain nombre d'auteur défendent cette position. Descriptive : qu'est ce qui est bien ? Comment on fait du bien ? On va analyser, décrire,… Ce qui faisait du bien hier ne fait peut être

l’action » il donne à l’action une valeur ontologique en ce qu’il veut dire qu’elle est révélatrice de l’essence de l’homme. Et de fait la grandeur de l’homme se mesure de nos jours à ce qu’il est capable de faire, et on saisit dans cette perspective pourquoi nos sociétés valorisent à ce point les hommes d’action qui vont leur apparaître comme des modèles d’humanité parce qu’ils ont repoussé jusqu’à ses dernières limites ce que l’homme est capable d’accomplir. Certes là encore il convient de nuancer ce

Suis-je libre de penser ce que je veux? Être libre (du latin liber), c’est n’avoir pas d’entrave, de chaînes, au contraire de l’esclave. « libertas » désignait l’état juridique de l’homme libre par rapport à l’esclave. L’homme libre agit à sa guise, il n’a pas de maître. C’est donc l’absence de contraintes. Mais toute société est régie par des lois, des restrictions, des compromis, voire des sacrifices. Définir la liberté comme absence de contraintes, c’est en donné une définition factuelle