Pourquoi Agit On Moralement

le don dans le cadre d’un déterminisme psychologique. Il est donc inutile de rechercher les motivations du donneur, à moins de vouloir prouver par là qu’il ne donne pas vraiment. * Problématique Reste que cela remplit de mystère le don. Pourquoi donne-t-on si on n’y a pas directement intérêt ? On en vient alors à se demander si le don peut réellement être gratuit ou s’il n’est pas plutôt une autre forme de l’échange, une forme non marchande de l’échange. I/ Donner pour recevoir

introductif à l'éthique : elle en fait pleinement partie. Par définition, toute action est une idée adéquate et complète qui procède de l'entendement, tandis que toute passion est une idée inadéquate car incomplète qui procède de l'imagination. C'est pourquoi il suffit de prendre une connaissance réfléchie d'une passion pour qu'elle devienne une action. Il y a des passions qui augmentent notre puissance d'agir (par exemple, si on me guérit), mais, en revanche, toutes les actions augmentent notre puissance

une liberté sois pour le bien, sois pour le mal. On est un être responsable car on répond de nos actes. Dans la conscience morale, il y a un retour sur ce que l’on a fait ou dit. ← On peut se blâmer/louer quand on a la conscience d’avoir mal agit. Apaiser car on a fait ce qu’on devait faire. ← Avoir la conscience tranquille. La mauvaise conscience : la culpabilité (la faute…). Le regret n’est pas la culpabilité. Le regret : avantage manqué. Ici c’est le remords. Faire la

lui couter. Fondement de cette obligation légale qui repose sur des considérations morales : il serait injuste que le bénéficiaire de l’intervention tire gratuitement les fruits de cette intervention. Pour être indemnisé, le gérant doit avoir agit utilement : « Preuve d’une gestion utile et sérieuse » exigée par le cv. La loi pose des conditions à la gestion d’affaire : elle accepte de récompenser les actes de gestion d’affaire sérieux, mais elle veut également dissuader les interventions

« Devoir » est une obligation intérieure que JE m'impose. Il a une connotation morale, la morale c'est ce qu'on s'oblige a soit même. Agir selon la morale c'est répondre a 3 règles : KANT : 1) Universalité de la maxime : Si je veux agir moralement, chaque fois que je veux faire quelque chose je me pose la question « qu'est ce qu'il se passerait si tout le monde faisait ainsi » ? 2) Le respect de la personne humaine : La personne est l'homme moral. Considérer que l'homme est une fin en

qui n'a pas su réduire le chômage en répondra sur le plan politique devant ses électeurs en revanche si il a commit des abus de pouvoir en transgressant les lois il devra en répondre sur le plan juridique devant les tribunaux. Quant à savoir si il a agit par manque de scrupule ou en homme exclusivement inspiré par le bien public c'est une question qui relève de la morale. Pourtant il nous est difficile d'admettre qu'une mesure puisse être justifiée sur l'un de ces plans et non sur un autre. Même si

et si possible, dans des circonstances « normales ». - « Savoir ce que l’on fait » : il s’agit d’une expression courante ; que veut-on dire lorsqu’on l’emploie ? 1) Avant tout que l’individu ne mesure pas les conséquences de son acte, et qu’il agit sans une réflexion suffisante ; la réponse est alors assez simple, et les exemples sont (malheureusement) nombreux. Aussi qu’il ignore la nature de son acte, qu’il sait qu’il le fait sans le qualifier proprement, notamment au niveau moral : faire le

la science pour affirmer l'inexistence de Dieu est, elle aussi, renvoyée du côté de la simple croyance: toutes ces questions, qui concernent les Idées transcendantales (Dieu, l'âme et le monde), sont hors de portée de l'entendement humain. C'est pourquoi Kant écrit, dans sa préface à la Critique de la raison pure: « Je dus donc abolir le savoir afin d'obtenir une place pour la croyance ». Limiter les prétentions de la raison : telle est dans le fond la solution que veut apporter Kant à la crise

s’apprendre les lois entre eux et que ça les mènerait vers la liberté politique).En troisième , le pourquoi que la thèse de Kant est celle soutenue sera suivie de l’objection formulée à l’égard de celle de Rousseau (lui-même souligne l’ambiguïté de la notion sur laquelle porte sa thèse).Suivant cela , vous verrez pourquoi la pensée de Kant devrait peut-être ne pas être celle soutenue et enfin pourquoi elle devrait être soutenue (retour au premier point de ce troisième paragraphe). Premièrement ,

connaîtrez la vérité, et la vérité vous libèrera ». Ici il s’agit bien sûr de la réalité de l’existence de Dieu, discutable et à vrai dire à jamais inconnue, mais on peut en faire une maxime plus générale en ce qui concerne la vérité de ce monde. Pourquoi l’homme s’attache-t-il à ce point, et d’autant plus dans notre société moderne, à découvrir la vérité ? On peut supposer que cette recherche apporte d’abord une liberté d’action. En effet, si la démarche scientifique est active de nos jours, et