Pourquoi Agit On Moralement

KHOLLE PHILO : LE JEU Selon Aristote « Il faut jouer pour devenir sérieux ». Les origines du jeu paraissent aussi anciennes que celles de l’humanité. Le mot jeu provient du latin jocus, qui signifie « plaisanterie, badinage ». La notion du jeu dans le dictionnaire nous définit cela comme une activité qui serait mental ou physique. Cette activité serait non imposée et permettrait de se divertir et d’en tirer un plaisir. Les humains sont capables de jouer car ils sont doués de raison,

liberté sans connaissances de la réalité et de nos projets et il n'y aurait pas de liberté en société sans une politique propice à son déploiement. I. Liberté et humanité La perfectibilité. Il n'y a pas de liberté animale car l'animal agit par besoin, par instinct au lieu d'agir par volonté, par intention. (texte « Je ne vois dans tout animal qu'une machine ingénieuse » Rousseau, Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes, 1ère partie, 1755, Ed. Nathan

mémoire d’une âme ». En effet, il fut très bouleversé par la mort de sa fille Léopoldine, qui mourut noyée. Victor Hugo écrit les contemplations peu de temps après l’accident et à partir de se drame, il eu un autre regard sur la vie. Pourquoi la misère ? , Pourquoi l’injustice ? Sont des interrogations qu’il essaye de traiter dans son ouvrage. Toutes ces questions basiques sont en fait destinées à comprendre la société. Mélancholia, qui paru en 1856, fait parti des nombreux poèmes qui composent

animal, d’où le célèbre « Cogito Ergo Sum », je pense donc je suis, en l’occurrence je suis homme. Les animaux ne disposeraient que d’une conscience primitive, uniquement sensitive, ne permettant pas la pensée au sens auquel nous l’entendons. L’homme agit d’après une volonté, une décision, tandis que l’animal est captif de son intinct. Si la pensée est le propre de l’homme, et que l’étude historique suppose la pensée, alors l’étude historique est le propre de l’homme, de l’humanité. Il en va de même

philosophe, mais physicien, part de l’idée selon laquelle tout ce qui se | |produit a une cause et sera cause d’autre chose à son tour. Si cela vaut pour chaque chose, cela | |vaut donc pour toutes les choses prises dans leur ensemble. C’est pourquoi il soutient que soutient | |que tout ce qui se produit dans l’univers à un moment donné est l’effet de son état antérieur et | |sera cause de son état suivant. | |- Cela implique

l’absence de loi, une absence qui laisse libre cours à la liberté et ne lui oppose aucune entrave. Or, l’absence de loi suppose aussi l’absence de chef, car le chef est là pour faire respecter la loi et même, en plusieurs cas, pour en imposer. Voilà pourquoi la figure du chef aussi est appelée à disparaître pour sauvegarder le libre cours de la liberté. C’est là qu’il faut préconiser l’anarchie, et l’on ne s’étonne pas que le slogan des anarchistes soit d’ailleurs : « La liberté ou la mort ! » c)

indifférence conçue cette fois positivement ne peut certes entraîner qu'un comportement irrationnel ou immoral puisqu'elle consiste à ne pas faire ce pour quoi nous avons des raisons évidentes d'agir, ce qu'est pour Descartes la vraie liberté — « Moralement parlant » c'est-à-dire raisonnablement il est inadmissible que nous fassions le contraire de ce qui est raisonnablement bon. C'est « absolument parlant », c'est-à-dire sans égard à autre chose que le pur concept du libre-arbitre, que nous devons

Dans cette ouvrage, Rousseau s’intéresse aux origines de notre société et ce demande comment et pourquoi les hommes en sont venus à vivre ensemble en société ? Sa vraie question de départ est la suivante comment se fait-il qu’il y ai autant d’inégalités entre les hommes, les riches et les pauvres et ce qu’il veut savoir c’est si ces inégalités ont toujours existé ou pas et sinon quand et pourquoi sont-elles apparues ? Évidemment le problème est que Rousseau n’était pas la lorsque ces sociétés

ici de fin instrumentale, l’impératif catégorique s’impose de lui-même sans autre justification. L’action morale doit etre jugée non pas en fonction de son résultat mais selon ses motivations ; si la volonté qui la commande est bonne, l’action est moralement juste. L’impératif catégorique de Kant consiste en l’accomplissement du devoir, c’est-a-dire que l’action juste est inexorablement gratuite et désintéressée. En philosophie, la morale cherche à déterminer les conduites des individus. Il faut donc

qui ne sont pas d’un accès facile. Mill introduit également une différence importante concernant le fameux calcul des conséquences. Selon lui, il est inutile, inefficace et moralement erroné de calculer les conséquences possibles d’une action à chaque fois que nous voulons poser un geste dans un contexte moralement problématique. D’abord, on n’a pas le temps, car l’action est souvent pressante, ensuite cela donne souvent des résultats qui contredisent nos convictions morales habituelles.