Pourquoi Choisir Le Sonnet

sans os,Par les ombres myrteux je prendrai mon repos ;Vous serez au foyer une vieille accroupie, Regrettant mon amour et votre fier dédain.Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain :Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie. Pierre de Ronsard, Sonnets pour Hélène, 1587 7)Saisir l’instant Saisir l’instant tel une fleurQu’on insère entre deux feuilletsEt rien n’existe avant aprèsDans la suite infinie des heures.Saisir l’instant. Saisir l’instant. S’y réfugier.Et s’en repaître. En rêver.À cette

d’images, toutes différentes et uniques les unes par rapport aux autres. Chacun peut comprendre un poème de façon différente, car tout le monde n'a pas la même sensibilité face à un poème.  En ce qui concerne le choix de nos poèmes, nous avons choisi le thème de la Mort, illustrée par de nombreux auteurs, tels que Victor Hugo, Charles Baudelaire, ou encore Boris Vian, ainsi que de nombreux autres. Le thème de la mort présente des approches différentes par son caractère douloureux, révoltant,

en perdant des particularités que l’on croyait fondamentales. Certes, à l’époque de Laforgue, l’acception populaire du terme, synonyme de chanson des rues (l’ancienne « voix de ville »), domine très largement, et c’est dans ce sens qu’il a choisi de baptiser son premier recueil. Il faut ajouter que, dans les années 1880, les cabarets parisiens sont devenus un fécond lieu de rencontre de la chanson ancienne et de la chanson humoristique moderne. On y chante également des imitations de ce qu’on

texte, nom d’auteur et titre, date, …) A quel genre et sous-genre appartient-il ? Quel type de texte : narratif, descriptif, explicatif ou argumentatif Repérer le ou les registre(s) utilisés Analyser la situation d’énonciation : qui parle, à qui, pourquoi et en quelles circonstances ? o A qui s’adresse le locuteur ? Une personne en particulier, un groupe, à tous les hommes, … o Le destinataire est-il impliqué : interrogations, questions rhétoriques, « nous » (je + tu), apostrophes et interpellations

peut marquer une limite, voir, se cacher, montrer et se distinguer ; autant de solutions que de façons de vivre le seuil. Nous avons décidé de porter notre analyse sur un seuil marqué et délimité dès l’espace public par des marches. Nous avons alors choisi de baser notre étude sur le travail de Florian Bucquet et d’Ophélie Némeyer. En effet, comme nous sommes redoublants Bac 2, nous avions déjà commencé l’étude des portes de Mons avec eux l’année dernière. Il nous a semblé logique de travailler dans

quelque chose par le rythme et l’harmonie. Elle permet de nous exprimer et partager des émotions profondes au moyen de mots. Lire de la poésie, c’est entrer dans l’imaginaire du poète. La poésie est un art éternel qui s’inscrit dans le temps. J'ai choisi le thème de la nature car il m'évoquait plus de liberté et de réflexions : La nature possède plusieurs aspects, elle peut être réelle comme un paysage que l'on admire, abstraite comme une description imaginaire d'une nature fantaisiste. De plus,

A.Audigné. Nous avons choisi ce thème pour notre anthologie car l'ailleurs, l'éloignement du pays natal, la recherche de l'exotisme sont depuis toujours des sujets de prédilection pour les poètes. Ce thème nous a donc semblé évident pour une anthologie axée sur la poésie. Amis lecteurs, vous n’avez sans doute pas l’habitude de fréquenter les recueils poétiques des siècles passés, vous délaissez des écrits qui vous paraissent vieillis et difficiles d’accès. C’est pourquoi, nous avons fait le pari

quoi et pourquoi l’écriture poétique s’écarte de l’usage courant de la langue. Nous verrons cela dans un premier temps en nous intéressant à la forme et ensuite dans un second temps à discuter du fond. I –Forme Tout d’abord, c’est ce qui au visuel différencie l’écriture poétique de l’usage courant, la forme est bien différente. En effet, dans ‘‘ Correspondances ’’ de Charles Baudelaire, on retrouve ici une structure digne des poèmes les plus classique. En effet, on reconnait un sonnet car ce poème

le goût de la périphrase et de l'hyperbole est précieux. par le traitement du thème de l'amour : violence du sentiment et pessimisme ∃           la présence obsédante de l'amour : nombre d'occurrences, place à la rime ou à l'hémistiche. L'amour choisi librement (péjoratif : "celui qui craint" = le couard qui ne sait profiter de la vie) ∃           la superposition de l'amour et de la douleur. cf paronomase amour / amer et rime amoureux/douloureux ; les occurrences de la souffrance = présence

suffisants pour lui. Il le mentionne même dans le Mode d’emploi de son ouvrage Cent mille milliards de poèmes : « C’est plus inspiré par le livre pour enfants intitulé Têtes de rechange que par les jeux surréalistes du genre Cadavre exquis  ». Ces sonnets suggèrent un autre élément important de son œuvre : les mathématiques. Dans la postface, François Le Lionnais le nomme « littérature combinatoire ». Il le compare avec les « poèmes protéiques » de Georg Philipp Harsdörffer, un poète allemand du XVIIe