Pourquoi Imiter Le Réel

recherche le lecteur soucieux de cohérence. Les personnages sont présentés par leurs seules paroles, à la manière du théâtre. Pas de narrateur omniscient ici. Les paroles sont rapportées directement, avec effacement du narrateur, donnant un effet de réel à une conversation entre les personnages. Cette impression de dialogue théâtral est renforcée par la mise en page avec la mention du nom des locuteurs au début des répliques, « Le Maître » ou « Jacques », et l'absence de verbe introducteur de discours

n’auraient pas existés si l’homme ne les avait pas inventés, fabriqués. Si l’homme produit des objets artificiels, c’est pour satisfaire ses besoins. Mais certains objets sont extrêmement bizarres : les œuvres d’art. En eux même ils n’ont aucune utilité. Pourquoi les fabrique-t-on alors qu’ils ne satisfassent aucun besoin ? Ce n’est pas parce qu’ils ne servent à rien que c’est de l’art. Il ne se passe pas une journée sans que l’homme consacre un peu de temps à lire un lire, écouter sa musique, regarder un

Phèdre. b. La vraisemblance La tragédie racinienne se veut imitation de la nature dans ses aspects universels. Les faits doivent donc paraître vraisemblables aux spectateurs (il faut qu’il ait l’illusion qu’il assiste au déroulement d’une histoire réelle). c. La règle de bienséance Le souci de plaire est au cœur de l’esthétique classique : l’auteur se veut donc en harmonie avec la morale et les goûts de son public de manière à rencontrer son adhésion. La personne royale est, bien entendu, l’arbitre

pas la seul propriété remarquable de la nature, car bien quel soit infiniment grande, elle est surtout composée de choses infiniment petites; c'est cette opposition, qui plait tant à l'artiste quand il compose son œuvre. Maintenant que nous savons pourquoi l'homme "admire" la nature, nous allons nous demander ce que l'homme recherche dans son imitation. Tout d'abord, comme le dit Aristote dans son recueil poétique "l'homme a une tendance à trouver plaisir aux imitations". Et cela est tout à fait vrai

babillages se font entendre, il "parle" (émissions vocales nombreuses). Il commence à avoir des sons préférés et il lui arrive de les répéter (la-la-la...ma-ma-ma...bi-bi-bi...) On appelle ce phénomène la "lallation". Entre 9-10 mois, l’enfant semble imiter les sons produits par les autres même s’il ne les comprend pas. "L’écholalie" est donc une sorte de dialogue entre l’enfant et les parents. A partir d’un an c’est le stade linguistique : L’enfant commence à faire des mots-phrase, il prononce un

de la guerre : de la « guerre réelle » à la « guerre absolue » Selon Clausewitz, la guerre est un instrument politique, au même titre que la diplomatie. Elle a pour but de défaire un adversaire et de réaliser des objectifs définis en amont. Il a souhaité élaboré pour l’armée de son pays une théorie de la guerre permettant la victoire. Il fallait imiter le mode de guerre des armées françaises. Sa théorie militaire est fondée sur la distinction entre « guerre réelle » et « guerre absolue ». • La

est périssable, toute chose va mourir, c’est normal, c’est bien ainsi => souffrance du renoncement puis => soulagement des peurs. ( + je ne maitrise pas l’avenir, etc... ) *** Contre l’illusion née des autres : apprendre à se détacher => pour ne pas imiter leur comportements fous, leurs jugements stupides + pour ne pas avoir pitié de leur pseudo-malheurs ( car 1° c’est dans l’ordre des choses, c’est normal et 2° ma pitié ne fait qu’ajouter du malheur au malheur. ) => soulagement, libération, délivrance

par la différence car ressemblance non le réel. La ressemblance pose la distance avec le réel, le vrai objet. L a ressemble peu. Il y a l’imitation théâtrale et narrative. Cette imitation théâtrale est en action, personnages en actions. Il revient ensuite pour préciser ce qu’est la nation de mimesis. C’est quelque chose de naturel, toute mimesis est agréable , non pas son objet. Nous aimons imiter nous-mêmes : elle est dans notre comportement. On peut imiter des persos divers : des êtres moralement

(allusion aux actes manqués, lapsus et plus tard à des symptômes). L'inconscient est le déterminant de tous les phénomènes conscients, on parle de " primat " de l'inconscient. L'inconscient est atemporel (les contenus ne sont pas soumis au déroulement réel du temps), immortel (cela ne veut pas dire que l'inconscient d'un individu ne meurt pas mais qu'il ne conçoit pas sa propre mort) et toujours vrai ( a toujours raison, l'expression de l'inconscient est liée à la nature des phénomènes et est régie par

(Platon, totalitarisme, art engagé) 28 6. Art et distinction sociale (Bourdieu) 30 Annexe 31 Résumé 31 La question de l’imitation de la nature 34 Toute une partie de l’art imite la nature (Arasse) 34 L’art ne vise pas à imiter la nature (Hegel) 34 La nature imite l’art (Goethe, Wilde) 35 Autres remarques 35 Synesthésie et signification des sensations (Kandinsky) 35 Un souvenir d’enfance de Léonard de Vinci (Freud) 37 Sensibilité et résonance (Proust)