Pourquoi Imiter Le Réel

5. L’art au service du politique (Platon, totalitarisme, art engagé) 2 6. Art et distinction sociale (Bourdieu) 2 Annexe 2 Résumé 2 La question de l’imitation de la nature 2 Toute une partie de l’art imite la nature (Arasse) 2 L’art ne vise pas à imiter la nature (Hegel) 2 La nature imite l’art (Goethe, Wilde) 2 Autres remarques 2 Synesthésie et signification des sensations (Kandinsky) 2 Un souvenir d’enfance de Léonard de Vinci (Freud) 2 Sensibilité et résonance (Proust) 2 Le rire 2 Autres thèses

5. L’art au service du politique (Platon, totalitarisme, art engagé) 28 6. Art et distinction sociale (Bourdieu) 31 Annexe 32 Résumé 32 L’art imite-t-il la nature ? 35 Toute une partie de l’art imite la nature (Arasse) 35 L’art ne vise pas à imiter la nature (Hegel) 35 La nature imite l’art (Goethe, Wilde) 36 L’art est-il réservé à une élite ? 36 L’évolution du regard (Walter Benjamin) 36 Y a-t-il une culture de masse ? (Hannah Arendt) 36 L’art contemporain, c’est n’importe quoi ? 36 Autres

heures), avec l'unité de lieu (l'action se déroule en un seul lieu) et l'unité d'action (une seule intrigue). Devant un unique décor, et une crise qui se noue et se dénoue rapidement, le spectateur peut avoir l'impression de suivre l'action en temps réel. Mais cette règle a été remise en cause, notamment dans le drame romantique au XIXème siècle: l'action d'Hernani (Hugo) ou de Lorenzaccio (Musset) s'étend sur plusieurs jours en des lieux différents. Les ellipses temporelles rendent plus acceptables

effet, le théâtre est d’abord un lieu de convivialité. C’est donc un moyen de procurer le plaisir du spectateur. La mise en scène d’une scène de théâtre, fait de plus constamment appel à son public, à qui elle demande une participation active. C’est pourquoi Mnouchkine, lors de la représentation de 1789 dans les années 1970, propose de mettre l’ensemble de ses spectateurs au milieux de la scène. Les comédiens sont alors répartis autour du public, dont l’importance est accru. Les spectateurs deviennent

églises en face de ces filles, à qui Laubardemont a rendu la parole. Il trouve des bacchantes2 que l'apothicaire condamné3 soûlait de ses breuvages, les jetant en de telles furies, qu'un jour Grandier fut près de périr sous leurs ongles. Ne pouvant imiter l'éloquence de la possédée de Marseille4, elles suppléaient par le cynisme. Spectacle hideux ! des filles, abusant des prétendus diables, pour lâcher devant le public la bonde à la furie des sens 5 ! C'est justement ce qui grossissait l'auditoire

Cependant, jusqu’au XXe siècle aucune importance n’est réellement accordée au dessin d’enfant. Avant 1960, le dessin d'enfant n'est considéré et encouragé que si l'on considère que l'enfant a du "talent" pour dessiner, c'est-à-dire qu'il arrive à imiter le plus possible la réalité. On ne considère pas qu'un geste gratuit, sans utilité comme le dessin d'enfant puisse avoir une valeur. Entre 1960 et 1980, la connaissance en psychologie évolue considérablement. On s'intéresse beaucoup à l'interprétation

qu'elle reste par définition non écrite. Dans le Moyen Âge, la quasi-totalité du royaume de France était régi par des coutumes. Et c'était aussi une époque troublée par le morcellement du territoire et du pouvoir à cause du système féodal. C’est pourquoi tout au long du Moyen Âge des seigneurs vont ordonner la mise à l’écrit les coutumes, afin de conserver un socle solide pour la juridiction des affaires se passant au sein de leurs seigneurie. C'est dans le Midi que furent entreprises les premières

Avec Machiavel, il s’agit de savoir comment le prince doit agir pour prendre et conserver le pouvoir. ST THOMAS D’AQUIN : le prince doit imiter le gouvernement de la nature par Dieu, Dieu est le modèle à imiter et c’est ce qui donne sa légitimité au politique l’ordre politique n’est bon que parce qu'il cherche à imiter un ordre qui lui-même est bon Mais pour Machiavel, rien de tout ça. Il faut considérer l’ordre politique en lui-même, et non

Introduction Un héros est un personnage réel ou fictif de l'Histoire, de la mythologie humaine ou des arts. On peut cependant noter que la notion « héro » est à la fois évidente et problématique. En effet, toutes les cultures, présentes ou passées, utilise cette notion. Néanmoins elle semble avoir perdue de sa force et de son évidence. C’est pourquoi il est intéressant de se demander quelle est la valeur de cette notion traditionnelle et d’analyser ses métamorphoses depuis la mythologie jusqu’à

d’aventure et d’évasion hors du monde quotidien [Exemple] Robert Muchamore : Cherub (une série de livres qui raconte les missions intensives exercées par des jeunes (James) dans les services secrets) Un personnage extraordinaire peut devenir un modèle à imiter. Par la force de leur caractère, certains personnages parviennent au statut de héros. C'est le cas de Julien Sorel dans le Rouge et le Noir (Stendhal, 1830) (échelle sociale, volontaire, idéaliste). OU En incarnant des valeurs essentielles de l'existence