Pourquoi Juger Culture

Peut-on parler de comportements naturels au sujet de l’homme ? Dire d’un comportement qu’il est naturel c’est affirmer qu’il est conforme au vrai et au bien. La question nous demande donc de juger des fondements de nos jugements moraux. Si on ne peut tenir l’inceste pour un comportement contre nature, faudra-t-il le considérer comme moralement acceptable ? Ce qui fait difficulté c’est de ne pas confondre la normalité, toute relative, de nos actes, avec leur naturalité. Notre

Peut-on évoquer l'Autre sans se remettre en question soi-même ? En marchant dans la rue, j'aperçus un sans domicile fixe à l'allure malheureuse, l'espoir avait déserté ces yeux. Pourquoi une toute autre lueur brille dans les miens ? Peut-on évoquer l'Autre sans se remettre en question soi-même ? Pouvons-nous envisager l'Autre sans être influencer par notre propre perception des choses. Est-il possible de se faire une idée de l'Autre sans être amené à réfléchir à notre comportement ? Nous exploiterons

d’investigation. La problématique n’est pas une question fermée à laquelle on répond par oui ou par non. La problématique est correctement formulée quand les réponses qu’elle appelle sont multiples et nuancées. Elle commence en général par les mots POURQUOI ? EN QUOI ? COMMENT ? DANS QUELLE MESURE ? QUELS RAPPORTS ? QUELS LIENS ? La problématique est formulée au moyen d’une interrogation. » Définition de la problématique en SES « L’effort de problématisation, c’est la capacité à faire surgir du sujet

réflexion nouvelle, opportune en ces temps de crise. Seul le développement centré sur l’humain, et fondé sur le respect mutuel et le dialogue ouvert entre les cultures peut conduire à des résultats durables. La diversité culturelle devrait être un atout, et non une menace, à condition d’avoir l’envie d’une entente avec l’autre. Car la culture de chacun est une chance. C’est une source de renouveau au service du développement et de la paix. A nous d’en faire une source d’échange qui doit mener à

Péjoratif : Fait d’être enfermé dans une croyance, borné. Mythe : Récit légendaire voire imaginaire qui relate bien souvent des événements qui ont eu lieu dans un passé immémorial. La transmission du mythe est orale «  on dit que ». Le mythe explique pourquoi le monde est ordonné et comment certains Dieux sont à l’origine de cet ordre. * Les premiers philosophes sont physiciens qui veulent expliquer le monde sans mythe. La nature se sépare des Dieux. Spontanéité : Est caractérisé par sa rapidité

autre individu. «C’est la raison pour laquelle je dis que telle pièce de théâtre est belle, et non pas simplement qu’elle me plaît. J'en parle comme si cette beauté pouvait faire l'objet d'une constatation objective.» (Kant, critique de la faculté de juger). Nous sommes donc en présence d’un jugement subjectif qui prétend à une validité universelle. Je prétends, en effet, sans preuves ni certitude empirique, je postule (on est bien dans le comme si tout le monde pouvait être convaincu): en affirmant

Pourquoi désirer l’impossible ? Tout au long de sa vie, l’Homme désire : il ne désire rien et tout à la fois et espère toujours satisfaire son désir. De ce fait le désir peut devenir l’essence de l’Homme. Ce désir vient du sentiment d’un manque, d’une privation. Par définition, je ne peux désirer ce que j’ai déjà. Mais le désir s’accompagnant d’un sentiment de manque peut alors signifier souffrance de l’être. Il faut alors tenter de supprimer ou, tout du moins, atténuer cette souffrance dans le

propriétaire à part faire beau ? Est-ce qu’un buste sculté par un artiste a déjà eu un rôle impactant dans la vie d’une personne ? Mais que dire des hymnes nationaux, de « La liberté guidant le peuple » d’Eugène de Lacroix qui symbolisent toute une culture, tout une société, toute une nation et qui ont permis et qui permettent toujours d’unir un grand nombre de personnes autour d’un certain nombres de valeurs communes ? Cela nous pousse donc à nous demander si l’on peut exiger à l’art d’être plus

témoigne des limites de la justice pénale internationale :Crime contre l’humanité c’est une notion qui a été établi pour la première fois lors du tribunal de Nuremberg qui était un tribunal militaire crée par les allies pour juger les hauts dirigés nazis.Le problème pour juger les crimes contre l’humanité c’est que ça implique toujours un très grand nombre de personne . Ils sont toujours commis sous un commandement qui est militaire. Il y a toujours une autorité politique derrière . On a du mal à

l’éducation ? D’après Rousseau, « chaque Homme est bon dès la naissance et la société le rendrait mauvais », autrement dit, la distinction du bien et du mal se ferait de manière innée chez l’être humain. Donc la conscience morale c’est la puissance de juger le bien et le mal. Ainsi, le problème suivant se pose, ce jugement, soit la conscience morale, n’est-il que le fruit de l’éducation et de l’acquisition des règles de vie en société ? Pour cela, il faut établir les conditions de vie en société, et analyser