Pourquoi Karl Marx Avait Raison

d’instabilité politique. Les bouleversements scientifiques et techniques changent la société française et une nouvelle classe émerge, celle du prolétariat et des ouvriers. La société française du XIXème siècle est très contrastée. Au sens de l'économiste Karl Marx, deux types de classe s'opposent : la bourgeoisie et la classe ouvrière. Il s'agit de la lutte des classes entre les capitalistes et le prolétariat. Dans ce document je m’envisagerai dans la classe ouvrière. D’abord, qu’est-ce qu’un ouvrier? Un ouvrier

priviliégiés) Clerge Curés Abbés Moines Evêques Cardinaux Curés Le tiers-état Laboureurs Paysans moyens Fermiers Bourgeoisie ( d’affaires, médecin, avocats) Artisans Attention, il faut pas confondre ORDRE et CLASSE SOCIALE, pourquoi ? Une ordre : c’est basé sur la fonction choisit par la société ( combattre, prier, nourrir) Classe sociale : c’est basé sur la richesse Différentes transformations et évolutions au XVIIIe siècles vont réduire l’importance de la noblesse et accroître

l’humanité essaie d’expliquer les phénomènes en faisant intervenir des agents surnaturels (Dieu, Diable…) Cet état théologique va être dépassé par l’état métaphysique : la philosophie va convoquer des forces abstraites pour expliquer des phénomènes : La raison, l’âme pour expliquer des phénomènes psychologiques. Après l’état métaphysique survient l’état positif où il s’agit de découvrir les lois qui régissent les phénomènes par l’observation de phénomènes rigoureux. C’est l’état de progrès de l’homme et

incomplet du livre « Le monde de Sophie » extrait de prises de notes, cela ne constitue pas un syllabus de philosophie. Deux questions philosophiques  Qui es-tu ?  D’où vient le monde Qu’est-ce que la philosophie ? p. 25 Savoir qui nous sommes et pourquoi nous vivons ? Le meilleur moyen d’aborder la philosophie, c’est de poser quelques questions philosophiques : Comment le monde a-t-il été créé ? Y a-t-il une volonté ou un sens derrière ce qui arrive ? Comment faut-il vivre ? Pas tant de questions

Hegel/Marx1) La dialectique du maître et du valet.La conscience de soi est l’opérateur du dépassement de l’aliénation. Critique de Hegel par Marx : le système hégélien mettrait en son cœur non l’homme mais la conscience de soi. Premier moment de la 4ème section de la Phénoménologie de l’esprit  (1807) : IV La vérité de la certitude de soi-même. Description et analyse : la dialectique du maître et de l’esclave est une dialectique de la reconnaissance

son côté antimilitariste. En octobre 1917, Lénine et les Bolcheviks viennent d’arriver au pouvoir, mais la Russie n’est pas encore totalement conquise. La lutte continue pour étendre ce régime communiste inspiré du Marxisme crée par le philosophe Karl Marx jusqu’au reste de la Russie. Une terrible guerre civile débute donc ; l’armée Rouge des Bolchéviks fondée par Trotski affronte les opposants du régime. Pour emporté la guerre, Lénine établi le communisme de guerre ; il fonde une police politique :

sa dignité (reconnue à travers les droits du citoyen) et ne s'en assure qu'en travaillant. Deux mises au point feront apparaître ce que cette prétendue évidence a en fait de problématique. II1. Le travail entre liberté et nécessité. L’analyse de Marx. Dans un chapitre particulièrement célèbre de sa Phénoménologie de l'esprit, Hegel avait présenté ce qu'il nomme la « dialectique du maître et de l'esclave ». Il faut entendre ici le terme de « dialectique » au sens qu'il a habituellement chez Hegel :

l'affirme détenir cesse de lui appartenir. → Ici, une des caractéristiques de l'auteur : « Que vous importe lecteur, ma chétive individualité? Je suis, comme vous, d'un siècle où la raison ne se soumet qu'au fait et à la preuve » (l.17-18-19-20) → souci de toujours prouver, P. conserve une grande foi en la raison. Il ne supporte pas les principes empiriques, tout doit être l'objet d'une science exacte qui est la clé du problème social. Il va dans ses écrits faire usage d'un procédé qui va consister

mondial des sages. Devons nous pour autant perdre tout espoir, nous coucher et mourir de cette mort lente dont le juif a le secret : NON ! Autrefois le peuple juif croyait atteindre son but de domination mondial par le communisme (idéologie du juif Marx, révolution du juif Trotsky). Le communisme a engendré le fascisme et le nazisme. A chaque fois que la bête juive approche son but suprême ; elle se montre trop sûre d’elle-même ; elle devient imprudente ; elle nous dévoile son arrogance hautaine

n’est-elle pas plutôt un piège autodestructeur ? Malgré l’accumulation des richesses, la société de croissance est victime du productivisme à outrance et des gaspillages des ressources naturelles et il y subsiste toujours des inégalités sociales. C’est pourquoi, selon l’auteur, Serge Latouche, il faut s’attaquer dès maintenant à la décroissance qui fera en sorte qu’on devra réorganiser la société et changer nos valeurs pour atteindre le bien-être personnel et collectif. Avec comme objectif principal la