Pourquoi Les écrivains écrivent Ils

de l’ancien Régime, cette période voit le règne de Napoléon Bonaparte. C’est un héros de l’armée révolutionnaire. Il est premier consul puis empereur. Pendant 15 ans, il incarne l’héroïsme parce qu’il est victorieux partout en Europe. Parmi les écrivains, de nombreux auteurs l’admirent : - Stendhal suit l’empereur dans les campagnes d’Italie. (La Chartreuse de parme). Sous l’empire, il aura des responsabilités administratives, notamment pour l’établissement des collections du musée du Louvre.

QUELQUES PISTES DE BASE L’association des trois termes suggère qu’il sera question de la représentation du réel et de l’idéal dans le roman. Réel et idéal peuvent-ils représenter le roman ? Est-ce le but du roman ? De quel réel, idéal, parle-t-on ? Pourquoi cette question se pose-t-elle au XIX siècle ? Roman et réel semblent renvoyer à une conception esthétique du roman qui est le roman réaliste et qui s’opposerait à des romans employés à une approcher l’idéal, avec les romans idéalistes. Peut-on penser

devront être tissés dans la synthèse d) L'activité des Goncourt se répartit entre le journalisme (à l'Éclair et au Paris) et la rédaction d'articles et de travaux historiques. Passionnés par la vie de cour, la société et l'art du XVIII e s., ils en écrivent l'histoire anecdotique, en tentant de redonner vie au passé. Ils publient successivement une Histoire de la société française pendant la Révolution (1854), une Histoire de la société française pendant le Directoire (1855), l'Histoire de Marie-Antoinette

tardivement actrice de théâtre, Signoret, à la fin de sa vie, écrit — pas seulement comme beaucoup d'actrices des mémoires, mais un vrai gros roman, Adieu Vélodia. David donne beaucoup d'importance à cette ultime incarnation, au «portrait de l'artiste en écrivaine»; elle étudie de près son travail, montrant comment Signoret est passée du livre-entretien (avec Maurice Pons) dans la première partie de la Nostalgie n 'estplus ce qu 'elle était à l'autobiographie proprement dite dans la deuxième partie, puis,

la plus horrible ». Un quiz pour commencer p. 42-43 1 Où le début du récit se déroule-t-il ? Dans l’étude d’un avoué. 2 Quelle atmosphère règne dans ce lieu ? Une atmosphère joyeuse. 3 À quelle tâche les employés sont-ils occupés ? Les clercs écrivent un document dicté par Godeschal. 4 À qui le colonel Chabert raconte-t-il son histoire ? À Me Derville. 5 Au cours de quelle bataille est-il supposé être mort ? À la bataille d’Eylau. 6 Qui l’a secouru quand il était laissé pour mort ? Une femme.

Christine de Pizan est une auteure médiévale née en 1364 et morte aux alentours de 1430. Cette écrivaine prolifique du Moyen-âge propose des écrits variés, depuis les formes lyriques et versifiées avec le rondeau ou la ballade, jusqu’à la forme prosaïque et réflexive avec des dits, des œuvres historiques, philosophiques ou même politiques. Alors qu’elle écrit en premier lieu sur une tonalité lyriques et sur les thèmes de l’amour courtois et du deuil, elle prend rapidement ses distances

conséquent, chaque personnage a son propre style. → Laclos s’écarte du classicisme qui défend 1 bon style uniformisé → stylistique du non- style, stylistique de la faute Quant à lui, lé mérite de l’ouvrage ne tient donc pas à lui, mais aux écrivains des lettres et aux héritiers. RÉFLEXION : est-ce que le public ne déchiffrait-il pas facilement ce mécanisme du manuscrit trouvé ? En 1737 on avait interdit le roman parce qu’il familiarisait le lecteur avec le vice. Dès ce moment, on a publié

L’Art poétique de MontaigneIntroduction Montaigne est un héritier de la tradition humaniste qui se développe considérablement dans la seconde moitié du XVIème siècle, ses Essais continuent encore de diffuser un patrimoine culturel en explorant l’être humain dans toute sa complexité. Outre son contenu plus ou moins personnel, glissant alternativement du général au particulier, la forme de l’écriture des Essais reflète déjà cette complexité

 une fois grandie, une fois imitée, une fois  critiquée,  peut  être  classée  dans une série,  être  pensée  dans  un  ordre  littéraire, dans une famille, avec des ascendants et des descendants. La  critique suppose, développe, révèle cet ordre.  Si  un  écrivain  a  jamais  semblé  un  aérolithe  singulier,  tombé  dans  une  langue  et  dans  une  littérature  auxquelles  sa  tournure  d'esprit,  de  parole,  de  syntaxe  semblait,  au  premier  abord,  étrangère,  c'est  bien  Mallarmé.  Calme bloc ici­bas chu du désastre obscur

souvenir, sous forme de cadavre halluciné, de « pourriture humaine » ', ne cesse de hanter le couple au point de le tuer. A l'accusation de « littérature putride » lancée par le critique Ferragus à la sortie de Thérèse Raquin en 1867 2, le jeune écrivain répliquait en affirmant : « La vérité, comme le feu, purifie tout » 3. Le romancier en effet a donné au fait divers sordide la forme d'une lutte à mort entre le mensonge et la vérité, où celle-ci finit par tout réduire en cendres. Plutôt que représentation