Pourquoi Lisons Nous

Pourquoi j’aime pas la fin des romans?  «  La bêtise des gens consiste à avoir une réponse à tout. La sagesse d'un roman consiste à avoir une question à tout. »   Milan KUNDERA« Si la surprise n'existait pas, la vie ne serait qu'un mauvaisroman sur la médiocrité. »  -  de Elie Wiesel Pour être honnête , depuis que j’avais 10 ans j’ai presque jamais aimé la fin des contes de fées ni des histoires que ma mère me racontait avant de m’endormir

de sens. La personnification obsédante de la Lison, que Jacques aime à défaut de pouvoir aimer les femmes, doit être lue ds les deux sens, à double voix en qque sorte. La machine est une métaphore du corps, le substitut matériel de la bête tapie en chacun de ns. Elle est l’emblème du mécanisme zolien. « Nécessité de savant », la description décrit tout une recherche documentaire, un travail délicat du naturaliste. Ces titres expliquent donc pourquoi certains objets demeurent les points focaux de

vient s'ajouter une photographie illustrant la pièce de Marivaux, en effet elle représente l'extrait de la pièce, mise en scène par Didier Bezace en 2010. On peut remarquer que la lettre occupe une place prépondérante dans chacun des documents, c'est pourquoi nous déterminerons quelles fonctions dramatiques et scéniques la lettre joue-t-elle dans chacune de ces scènes. Du point de vue dramatique, on remarque dans la pièce de Marivaux que la lettre est un outils de Araminte pour faire avouer à Dorante

Misérables par V. Hugo. « Etait-il possible que Napoléon gagna cette bataille ? Nous répondons que non. Pourquoi ? A cause de Welligton ? A cause de Blücher ? Non. A cause de Dieu. » (l.34-35). L’argument 2 est relativement très lié à l’argument 1 puisque qu’il démontre que, quelque soit l’histoire que les auteurs racontent, ils racontent aussi la nôtre. Et c’est bien pourquoi nous les lisons et les aimons. En effet, ces histoires qui ne peuvent être modifiées sont en tout point semblable à la nôtre

ayant compris les intentions meurtrières de son amant grâce aux verbes de perceptions « aperçu », « voyant » reste « béante de surprise et de terreur » et lui pose des questions rhétoriques « Jacques, Jaques… Moi mon Dieu ! Pourquoi ? Pourquoi ? », « Pourquoi ?mon Dieu ! Pourquoi ? » . Elle qui l’avait pourtant persuadé d’assassiner Roubaud de ce fait il ya un retournement de situation étant donnée que sa survie ne durera qu’une « courte lutte » cette fille plutôt ingénue, soulève les passions « découvrait

le passager qui (dort), épuisé, (est réveillé) par neuf de ses compagnons qui lui apprennent que le dixième (est) mort noyé en essayant de pêcher quelques poissons.- Il (rentre) chez lui et (se suicide) en tirant une balle dans sa tête. Savez-vous pourquoi ?- De retour sur la terre ferme, notre passager (entre) dans un restaurant et (commande) un plat préparé avec de la viande de ‘l’Albatros’.- Quelques jours plus tard, tout le monde (est) sauvé par un bateau de pêche qui (passe) par là.- Puisqu’il

n’a pas tenu la promesse de terminer la construction de la maison dans les délais. Mais qu’en est-il si cette personne est Dieu ? qui peut-on blâmer lorsqu’on vit le contraire des promesses que nous avons reçu de Dieu ? Qui peut blâmer Dieu ? et pourquoi ? Quelques exemples de personnes ou d’organisations qui tiennent leurs promesses : PROMESSE : action de promettre qlq chose, engagement que l’on prend en promettant quelque chose. Le serment vient appuyer la promesse en lui donnant

 Pourquoi les gens lisent-ils ? La lecture transporte notre imaginaire vers un monde fantastique et féerique, loin de la dure réalité de la vie. Au travers de ces contes, Charles Perrault nous lie à notre âme d'enfant, cependant, elle est également une source inépuisable de culture qui nous renvoie face à notre regard sur l'humanité, comme Charles De Gaulle avec ses « Mémoires de Guerres ». La lecture est elle un simple divertissement ou une prise de conscience ? Majoritairement, nous

homme seul ne peut être qu'une bête ou un Dieu. C'est pourquoi, pour Aristote, il ne peut y avoir de bonheur accompli que si l'on possède des amis. Le bonheur culmine dans la convivialité et les relations entre vrais amis, sachant que, pour Aristote, la véritable amitié ne peut exister qu'entre êtres vertueux. L'amitié suppose, en effet, le respect mutuel, la vertu qui fonde la confiance - le mensonge, la trahison, tuent l'amitié. C'est pourquoi Diderot n'avait pas tort quand il disait qu'il n'y a

 ce  que  j’écris  »  (p.  52).  Dans  quel   sens  le  mot  «  fable  »  est-­‐il  employé  et  à  quoi  s’oppose-­‐t-­‐il  dans  la  phrase?  En   conséquence,  que  lisons-­‐nous,  un  roman  ou  autre  chose?     -­‐ Montrez  que  Diderot  joue  avec  la  tradition  romanesque.   o Note  :  Les  genres  littéraires  se  construisent  à  partir