Pourquoi Ne Rions Nous Pas Des Mêmes Choses

d'aujourd'hui impose des règles et des lignes de conduites à suivre concernant le rire, mais aussi parce que des spécialistes de l’humour dépassent parfois volontairement ou non certaines règles. Tout les documents en témoignent, nous ne rions pas tous pour les mêmes choses. Comme le dit Olivier Mongin dans « éclat de rire » Chacun est libre de rire de ce qu’il veut à condition de ne pas obliger les autres à rire avec lui. Nous pouvons tous y trouver notre compter dans diverses ressources possibles et

se divertir joyeusement, en maintenant un comportement digne et sans exubérance. Aujourd’hui, bien loin de nous l’idée que le rire est lié au vice., on penserait plutôt à une vertu, car il est présent quotidiennement, c’est pourquoi il serait intéressant de se demander pourquoi le rire est une fonction vitale à l’Homme ? Après avoir expliqué ce qu’est le rire, nous verrons quels sont les bienfaits du rire sur l’organisme. I. Qu’est-ce que le rire ? 1. Définition Que le rire soit

réveiller nos sentiments. De plus le comique se discrédite car il tourne volontairement les choses au ridicule, à l’absurde, et on ne le prend donc pas au sérieux. Bien entendu, même avec des comédies qui pourraient sembler les plus légères, comme les Fourberies de Scapin de Molière par exemple, le spectateur comprend les critiques majeures que veut mettre en scène le dramaturge. Elles viennent en effet d’elles-mêmes puisqu’on se met inconsciemment du côté des personnages les plus attachants, c'est-à-dire

français le plus marquant du début du XXe siècle. S'opposant au néokantisme et au positivisme alors dominants, Bergson s'efforça d'élaborer une « métaphysique de l'expérience » axée sur le concret, à la fois sur le vécu de la conscience et sur les choses mêmes. En 1899, le Rire. Essai sur la signification du comique explore le phénomène du comique dans sa dimension à la fois psychologique, sociale et métaphysique. Annonçant un thème central de l'Évolution créatrice, Bergson oppose la vie dans ce qu'elle

vol. II, 1885). Piderit, La mimique et la physiognomie, trad. fr., 1888, p. 126 et suiv. Spencer, Essais, trad. fr., 1891, vol. I, p. 295 et suiv. Physiologie du rire. Penjon, Le rire et la liberté (Revue philosophique, 1893, t. II). Mélinand, Pourquoi rit-on ? (Revue des Deux-Mondes, février 1895). Ribot, La psychologie des sentiments, 1896, p. 342 et suiv. Lacombe, Du comique et du spirituel (Revue de métaphysique et de morale, 1897). Stanley Hall and A. Allin, The psychology of laughting

Verdun, 19 octobre 1916, 7h30 Ma très chère mère, vous qui m’avez mise au monde, mais dans quel monde ! Par quel miracle suis-je encore en vie ?! Je me pose cette question chaque heure. Pourquoi moi ? Je n’ai pourtant rien de plus que les autres. Au contraire, je ne suis qu’un jeune homme d’à peine 20ans, qui n’a ni femme, ni enfants. Des centaines de camarades on une famille qui les attendent chez eux. Une famille, qui, tous les matins se rongent le sang en attendant le facteur et en priant

passions de l’âme de 1648. Hobbes soulève un grand nombre des mêmes questions dans The Elements of Law et de nouveau dans Léviathan. Spinoza défend la valeur du rire dans le Livre IV de L’éthique. Et nombre des disciples avoués de Descartes expriment un intérêt particulier pour ce phénomène, notamment Henry More dans son Account of Virtue. La question que je veux poser à propos de tout cela est tout simplement la suivante : pourquoi tous ces auteurs se croient-ils tenus de s’intéresser sérieusement

Studien, vol. II, 1885). Piderit, La mimique et la physiognomie, trad. fr., 1888, p. 126 et suiv. Spencer, Essais, trad. fr., 1891, vol. I, p. 295 et suiv. Physiologie du rire. Penjon, Le rire et la liberté (Revue philosophique, 1893, t. II). Mélinand, Pourquoi rit-on ? (Revue des Deux-Mondes, février 1895). Ribot, La psychologie des sentiments, 1896, p. 342 et suiv. Lacombe, Du comique et du spirituel (Revue de métaphysique et de morale, 1897). Stanley Hall and A. Allin, The psychology of laughting, tickling

Studien, vol. II, 1885). Piderit, La mimique et la physiognomie, trad. fr., 1888, p. 126 et suiv. Spencer, Essais, trad. fr., 1891, vol. I, p. 295 et suiv. Physiologie du rire. Penjon, Le rire et la liberté (Revue philosophique, 1893, t. II). Mélinand, Pourquoi rit-on ? (Revue des Deux-Mondes, février 1895). Ribot, La psychologie des sentiments, 1896, p. 342 et suiv. Lacombe, Du comique et du spirituel (Revue de métaphysique et de morale, 1897). Stanley Hall and A. Allin, The psychology of laughting, tickling

ceux qui, au milieu de la foule, en classe ou dans le métro par ex., se mettent à rire. Avec le rire, d’un seul coup et malgré nous, quelque chose se brise dans le mouvement ordinaire : le corps mobile et maîtrisé s’arrête et « se tord » de rire. Pourquoi ? Bergson : « Que signifie le rire ? ». Présupposé de cette question : le rire a du sens. Autrement dit : non un phénomène purement physique mais un évènement d’origine spirituelle qui (peut-être - ? - hors rire dit « nerveux ») ne se développe pas