Pourquoi Obéit On

Proposition de lecture analytique pour l'exposition de Ruy Blas (acte I, scène 1) ✔ La fonction d'une exposition est d'abord d'informer (mise en place de l'intrigue, présentation des personnages, ancrage dans un lieu et une époque), mais aussi de séduire : il faudra étudier comment cette première scène s'articule autour de ce double objectif d'information et de séduction. ✔ Notons qu'en réalité l'exposition à proprement parler s'étend sur tout le premier acte : mise en place du motif de la vengeance

livrée. [...] Sans épée. », ce qui traduit son statut subalterne de simple domestique. Quasiment absent de la scène, il se caractérise par sa déférence, son obéissance et sa soumission ( didascalie : « Ruy Blas obéit, puis sur un signe de Don Salluste il sort », « s'inclinant », « Ruy Blas obéit » + marques de respect dans ses adresses à Don Salluste : « Votre excellence ? » v46, « Monseigneur » x2) : apparente servilité. – L'intrigue : Don Salluste, disgrâcié et réduit à l'exil, ourdit une vengeance

te pendre. Hobbes affirme que les hommes sont libres et qu’il n’y a aucune autorité morale qui va contraindre cette liberté, c’est pourquoi ils tuent sans scrupule pour assurer leur survie! L’être humain dans l’état de nature a très peur de la mort violente parce que tout le monde est égal et vulnérable de la même façon, et risque sa vie constamment, c’est pourquoi même le plus fort peut être tué dans son sommeil. Le contrat social d’Hobbes se définit par le fait que tout le monde est

avec La Danse des vivants, longue série d'estampes mi-figue mi-raisin où, devenu philosophe en philosophant, il exprime un pessimisme pas encore à la mode : tout est absurde et rien ne sert à rien. Si c'est là sa philosophie, on se demande un peu pourquoi il s'évertue à dessiner et mieux encore à publier (mais peut-être est-il le premier à en rire ?). Contradiction à quoi la guerre va mettre un terme ; et le désastre : oubliant du coup pour de bon que rien ne sert à rien, il s'engage avec entrain

fixée ou non, susceptible d’exercer sur l’individ une contrainte extérieure. La statistique permet de mettre en évidence la contrainte extérieure(l’influence qu’exerce la société sur l’individu). On retiendra que pour Durkheim , un fait social obéit à 3 caractéristiques : - un fait social est extérieur à l’individu ; - un fait social est doté d’un pouvoir de coercition (de contrainte) ; - un fait social s’explique par d’autres faits sociaux. Pour comprendre un fait social, le sociologue

l’amour ou du désir un dieu. En développant davantage encore, on pourrait dire que le désir est souffrance ou au moins insatisfaction et cette idée sera reprise par le philosophe allemand Schopenhauer et Freud. Lorsque Freud dit : « l’inconscient obéit au principe de plaisir ». Il veut simplement dire que le désir est une sensation de manque, d’insatisfaction qui provoque la recherche de la satisfaction et cette satisfaction du désir qu’on appelle le plaisir. Un exemple trivial est fourni par l’appétit

étaient égaux ou comme si ils se regardaient dans un miroir. Le portrait du bouffon est complexe, il est sombre, attiré par le mal et sa ressemblance moral avec le roi nous amène à nous demander pourquoi il accepte ce jeu. Un jeu à double tranchant. III.1) C’est un jeu dégradant pour Folial qui obéit aux ordres de son maître « à quatre pattes Folial », « Folial se met à quatre pattes ». Les didascalies qui montrent ce que Folial fait, répondent aux ordres donné par le roi, il n’y a pas d’écart

rouge ? Pourquoi donc créons nous nos propres souffrances en créant des lois, en ordonnant ? Dans l'exemple du feu rouge, on a pu noter que la désobéissance ne conduit pas à une liberté assurée, si c'est le cas, c'est qu'il y a sûrement des cas où l'obéissance trouve son utilité, puisqu'en respectant ce feu rouge de me préserve d'un accident. En effet l'obéissance peut être conciliable avec ma liberté, par exemple lorsqu'elle se trouve utile, elle peut être fonctionnelle. L'homme s'il obéit, ce n'est

l’esclave agit en fonction d’un intérêt qui lui est extérieur, celui de son maître. Le maître ne cherche pas à agir dans l’intérêt de son esclave, mais dans le sien. Une conduite raisonnable consiste ainsi à agir suivant son propre intérêt. b) Pourquoi le sujet agit-il « aussi dans son intérêt particulier » lorsqu’il accomplit « des actions visant à l’intérêt général » ? Il y a convergence de l’intérêt général et de l’intérêt particulier parce que tous deux obéissent aux lois de la raison. Si

Faut-il préférer la science à la philosophie ? Intro : Opinion commune : la science est objective car elle a pour objet le réel obéit au raisonnement logico-déductif, à l’expérience, à la mesure. Elle serait supérieure à la philosophie qui a pour objet l’immatériel. « Faut-il » cela suppose qu’on ait le choix, que l’on soit en présence d’une alternative. Cette question sous-tend le présupposé : La science est supérieure à la philosophie. Pb La science est-elle supérieure à la philosophie