Pourquoi Rechercher La Connaissance

Philosophie Introduction Nul ne peut être déclaré heureux s'il est en dehors de la vérité. (Sénèque, La brieveté de la vie) La vérité serait alors indispensable pour trouver le bonheur, nous pourrions en déduire que l’homme la recherche dans l’unique but de le trouver .Nous aurions dans ce cas un réel intérêt à trouver cette vérité. Mais est-ce le seul but de la vérité ? La vérité serait alors tout ce qui nous parait vrai et qui nous apporterait un certain bonheur mais ne pourrait-elle pas nous

chap. 1-2 Traduction Pascale Nau Source : http://fr.wikisource.org/wiki/La_Métaphysique_d’Aris tote_(Nau)/Livre_I [980a] Tous les hommes ont un désir naturel de savoir, comme le témoigne l’ardeur avec laquelle on recherche les connaissances qui s’acquièrent par les sens. On les recherche, en effet, pour elles-mêmes et indépendamment de leur utilité, surtout celles que nous devons à la vue ; car ce n’est pas seulement dans un but pratique, c’est sans vouloir en faire aucun usage, que nous préférons

Epistémologie M. Rappin AERES : Agence d’évaluation de la Recherche et de l’enseignement supérieur. Obtention du grade de master 2 : présence d’enseignants chercheurs. Ici, labo CEREFIGE de recherche en gestion : - Finance - Entrepreneuriat - GRH - Marketing Ici, il n’y a plus de distinction entre recherche et professionnalisation. Bibliographie : - Martinet A.-C (dir) (1990), Epistémologie et sciences de gestion, Economica : ouvrage collectif dirigé

l'adéquation entre la réalité et l'idée: elle est le fondement de l'accord universel des esprits. La question est donc de savoir si nous avons la responsabilité, l'obligation de réfléchir, analyser, raisonner afin de comprendre le réel. Spontanément, la recherche de la vérité ne tombe pas sous le sens. En effet, notre quotidien est majoritairement guidé par l'utile, le vraisemblable, les croyances dites « vraies ». La quête de la vérité ne semble pas nécessaire. Cependant, si ce n'est en cherchant, comment

apercevoir une difficulté et s’étonner, c’est reconnaître sa propre ignorance (c’est pourquoi même l’amour des mythes est, en quelque manière amour de la Sagesse, car le mythe est un assemblage de choses merveilleuses et étonnantes). Ainsi donc, si ce fut bien pour échapper à l’ignorance que les premiers philosophes se livrèrent à la philosophie, c’est évidemment qu’ils poursuivaient le savoir en vue de la seule connaissance et non pour une fin utilitaire. Et ce qui s’est passé en réalité en fournit la

jamais. On peut alors se demander en quoi est il important d’acquérir une connaissance de soi par soi ? Pourquoi est ce une exigence ? Comment peut on l’atteindre ? Quels sont les obstacles qui surviennent lors de la recherche de cette connaissance de soi ? Afin de pouvoir répondre à toutes ces questions, nous consacrerons une première partie à l’exigence de la connaissance de soi, nous essayerons de comprendre pourquoi est-ce nécessaire. Ensuite, dans une seconde partie, nous verrons comment il

philosophie : • du point de vue de l'apprentissage, il est possible de soutenir que l'appropriation de la définition d'une chose, ou, du moins, la connaissance la plus complète que l'on puisse en acquérir, est le résultat d'une succession de processus cognitifs : chaque étape de l'apprentissage, bien qu'insuffisant en soi-même, est indispensable à la connaissance du tout. Cela n'est pas seulement valable pour la philosophie, mais pour toutes les sciences, et pour toutes les activités humaines complexes

Méthodologie de recherche I - Les étapes de la recherche On distingue trois types d'étapes dans la recherche : A – Les étapes initiales : les préambules de la recherche. B – Les étapes intermédiaires : le déroulement de la recherche. C – Les étapes finales : les travaux sur les fruits de la recherche. A – Les étapes initiales 1. L'idée de la recherche 2. Les objectifs de la recherche 3. Les limites de la recherche 4. Le terrain de la recherche 5. La budgétisation de la recherche 6. Le listage

la considération de la science comme un ensemble d’opinions non plus spontanées mais approfondies et rectifiées. Ainsi, la thèse principale de l’auteur est l’opposition et la suprématie de la connaissance scientifique à la connaissance première et intuitive. Elle répond au problème philosophique de la recherche de la vérité, puisque Bachelard expose et différencie deux manières de penser ; c’est-à-dire exercer une activité de type rationnelle, et de se rapporter au réel ; c’est-à-dire à la vérité.

l’enseignant 16 12.3. Le concept du champ de validité de la représentation de la connaissance 16 12.4. Implications pédagogiques 17 13. « Un rôle prépondérant aux connaissances antérieures » ; « Comment partir réellement des élèves ? » 17 13.1. Pourquoi étudier les représentations mentales ? 17 13.2. Comment procéder pour rendre le traitement de l’information significatif et acquérir de nouvelles connaissances ? 17 13.3. But de la mise en relation des nouvelles informations avec les anciennes