Pourquoi Rire Des Autres

moments de farce et un happy-ending. - Louis XIV, dit le roi soleil, mort en 1715 , régnait lors de la publication du livre. Il adore Molière car il adore les arts et le défend. - Livre au cœur de la satire, son but est de faire rire. Mais faire rire c’est faire peur. Fait peur à qui ? A l’église. - Cette œuvre raconte l’histoire d’un personnage qui fait semblant d’être un dévot (va à l’église, etc..). Molière le répète plusieurs fois que c’est un faux dévot. Grâce à ce

côté de la négativité, c’est une figure mortifère. Hé bien Gargantua est exactement l’inverse : son gigantisme est un prodige… Tout est générosité chez lui — sa gorge est déployée pour boire, comme Dionysos, dieu des excès et du vin…. Mais aussi pour rire : il ne mange pas les enfants, non ! Comme un livre, il les élève et les fait grandir : c’est un géant de papier. Et ainsi, ce qu’il avale et ce qu’il répand, c’est de l’intelligence (qui nourrit), du langage (qui est mâché), de la connaissance (qui

sourire,  une  richesse  naturelle  que  nous  possédons  tous  et  toutes ;  une  richesse  naturelle  continuellement  renouvelable ;  une  richesse  qui  ne  pollue  pas  puisqu’au  contraire,  elle  purifie  notre  environnement mental et celui des autres.  Une sourire est une richesse qui ne peut s’acheter, ni se prêter, ni se voler. À partir des sourires d’enfants  qui  expriment  le  bien‐être  jusqu’à  ceux  des  personnes  âgées  qui  montrent  leur  satisfaction  d’avoir  fait  quelque chose

compliqué, on s’y perd avec tous ses personnages ! ». Ils doivent donner quelques caractéristiques (dénouement heureux, conflit amoureux, société bourgeoise…) et le but du genre comique qu’ils ont bien identifié. On peut aussi leur faire citer quelques autres auteurs comiques (certains ont étudié Pagnol ou Marivaux – tout dépend du niveau de la classe.) J’ai ensuite proposé à la classe de lire une présentation de la représentation que préparait le Théâtre de Grenoble (mise en scène : Francis Perrin)

appartement, immédiatement, sans raison, une intuition viscérale et profonde, celle d’un lieu impropre au bonheur. Il y a des endroits comme ça, beaux, lumineux, apparemment gais et qui, pourtant, émettent des ondes négatives.Alors, pourquoi t’ai-je laissé choisir pour nous ? Pourquoi ai-je fait semblant de le trouver à mon goût ? Surement parce qu’aucun argument rationnel ne me permettait de plaider

- Les prisonniers : « silencieux et immobiles, éclatèrent en cris de joie, chanson,… éclats de rire » (l.58-60), « acclamations railleuses » (l.76) : curiosité, gaieté, moquerie - Le condamné : « un amusement » (l.19) ; « j’observai ce spectacle étrange avec une curiosité si avide, si palpitante, si attentive… » ; « Un profond sentiment de pitié me remuait jusqu’aux entrailles, et leur rire me faisait pleurer. » (l.197-200) : curiosité, pitié Conclusion : l’auteur vise à dénoncer l’aspect

Objet d’étude : la littérature d’idées du XVIe au XVIIIe siècle  Rabelais, Gargantua, 1542, Prologue, d’après la translation en français moderne d’Emmanuel Naya Parcours  : rire et savoir Problématique  : Dans quelle mesure l’importance de la poursuite du savoir est-elle mise en évidence à travers une écriture facétieuse revendiquant une certaine frivolité ? Buveurs très illustres,

demi-obscurité d'un sous bois, des cavaliers, le mendiant. On rit encore, mais le rire a un son nouveau. On sent des dangers qui rôdent, du satanisme, un ricanement. Le IVème se place dans le palais de Don Juan. Autre lumière, où le visage du libertin s'éclaire de reflets rouges. Tout se mêle de bouffonerie, mais elle s'inscrit sur un fond d'ironie sèche qui n'est plus du tout celui des premiers actes. Le Vème ferait à peine rire : Don Juan hypocrite, le spectre, le coup de foudre final. On oublierait presque

d’être l’objet de critiques, de recherches et de discussions depuis la première représentation de La Cantatrice Chauve qui reflète bien le nouveauté du rire de Ionesco. L’originalité de Ionesco est fort bien décrite par Marie-Claude Hubert quand elle dit qu’avec Ionesco est né un rire nouveau : « Avec Ionesco est né, sur la scène européenne un rire nouveau, qui résonne sur des gouffres d’angoisse. » La diversité des procédés comiques qui, par leur variété, donnent au théâtre toute sa tonalité burlesque

JoLIE 2:2 (2009) PEDAGOGIE ET HUMOUR : LE RIRE COMME MOYEN DE CONSTRUCTION D’UN PUBLIC ATTENTIF D’UNE SALLE DE CLASSE Christine Escallier University of Madeira, Portugal Abstract Laughter is a phenomenon which achieves a conversion of the negative cline. By the effect “mirror”, humour thus acts on patterns of behaviour. In a more and more anxiogene society (i.e. anxiety producing), laughter has become a means of reducing its tensions. Can the resource to the pedagogy of humour then