Pourquoi S Intéresse T On Aux Oeuvres D Arts

HISTOIRE DES ARTS Les ordres architecturaux Il y a deux ordres (ou styles) grecs, le dorique (qui vient des Doriens) et l'ionique (qui vient d'Asie Mineure). 1. L'ordre dorique L'ordre dorique correspond à un idéal de simplicité (selon Vitruve, il représente l'homme), le chapiteau n'est pas décoré, la colonne n'a pas de base et est rarement monolithe, la frise est une alternance de triglyphes (trois rainures) et de métopes (sculptures), [pic][pic] Les premiers temples étaient

peinture. Matisse devient licencié en droit en 1888. En 1891, il démissionne comme avocat et commence des études à l’Académie Julian. Un an plus tard, il entre à l’Ecole des Beaux-Arts (atelier de Gustave Moreau). Il copie au Louvre des grands peintres français et hollandais. Matisse s’inscrit aussi à des cours du soir (Ecole des Arts Décoratifs). En 1896, il expose 4 tableaux au Salon de la Société Nationale. L’état français lui achète un tableau : « La Liseuse ». Cinq ans plus tard, il expose au Salon

Johann Wolfgang von Goethe, né le 28 août 1749 à Francfort et mort le 22 mars 1832 à Weimar, est un poète, romancier, dramaturge, théoricien de l'art et homme d'État allemand, fortement intéressé par les sciences, notamment l'optique, la géologie et la botanique, et grand administrateur. Il est l'auteur d'une œuvre prolifique aux accents encyclopédiques qui le rattache à deux mouvements littéraires : le Sturm und Drang et le classicisme de Weimar (Weimarer Klassik). Il proposa une théorie de la lumière

– Genèse de l’œuvre. A-Un médium jeune, léger, drôle, contemporain. B-Un fond historique qui nourrit une fiction. II – Kiki de Montparnasse. A-Alice Prin. B-Kiki, symbole de la femme. C-Un regard contemporain et idéal. III – Kiki et les arts. A-Kiki artiste et muse. B-Le quartier Montparnasse C-La place du surréalisme. Conclusion à rappeler que la personne d’Alice Prin a vécu dans un contexte particulier (les années folles) à rappeler qu’elle est le symbole de la femme dans ce

Le reportage d’aujourd’hui : le galeriste et sa galerie d’art. Aujourd’hui l’art est revenu sur le devant de la scène publique notamment grâce à la politique culturelle mise en œuvre de l’Etat. Tout le monde sait ce qu’est le musée avec ses grands artistes qu’il expose, et on commence à murmurer les foires et les salons d’art. Mais il reste une catégorie de distributeur de l’art qui reste encore trop méconnu : le galeriste. Même si les galeries se sont décentralisées, allez demander une définition

exhibitions commerciales, technologiques et industrielles, qui gardent leur donnée initiale de fête, dans laquelle se mêlent effectivement la vente de produits, le parc d’attraction, et le divertissement. Ce sont des formes de spectacle culturel ». Pourquoi ,alors, devons nous prendre comme point de départ l’année 1851 ? En 1851, l’exposition de Londres devient une véritable exposition universelle au sens de Diderot, en ce qu’elle dresse « un tableau général de l’esprit humain ». Dès lors, et ce, jusqu’à

l’exposition «Espace, modes d’emploi» et dans le contexte très stimulant du Centre d’art Passerelle à Brest, le FRAC Bretagne a la possibilité d’explorer concrètement de nouvelles modalités de rencontre entre les oeuvres et le public. Depuis 1981, la collection, riche aujourd’hui de près de 1200 oeuvres, a été largement diffusée dans la région : plus de 300 expositions temporaires ont été organisées. Programmant pour un temps les centres d’art du Domaine de Kerguéhennec ou de la Criée, suscitant l’émergence

(Hegel)________________________________________________________ 4 L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique (Benjamin) _______ Erreur ! Signet non défini. I. Comment définir l’art ? ____________________________________________________ 5 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? _____________________________________________ 5 1. Une production humaine ___________________________________________________________ 5 2. La question de l’utilité ____________________________________________________________ 5 3. Un statut

citation de Kafka Quel point commun entre les succès de Germinal de Zola, œuvre militante traitant du sort des mineurs de fond dans le nord de la France, et le succès planétaire des aventures du jeune sorcier Harry Potter de J. K. Rowling ? C’est avant tout le lecteur, et le plaisir qu’il trouve dans la lecture d’une œuvre littéraire[1]. Sur ce sujet, Franz Kafka avait un avis bien tranché. Dans une lettre à Oskar Pollack datée du 27 janvier 1904

“l’histoire est à moi !”, proposée cette année par l’historien et critique d’art Paul Ardenne. Dans cette vidéo à la dimension visiblement allégorique, on se questionne et on se passionne pour ce cavalier sans monture et cette tragédie absurde. Pourquoi le cavalier est-il à pied ? Par quel hasard de l’histoire ou quel événement inattendu a-t-il été désarçonné ? Et que représente exactement le livre ? Un manuel d’histoire, calibré et consensuel ? Une évocation de toutes les histoires possibles