Pourquoi Sommes Nous Moraux

le changement de la décision de Hugo Annonce des axes de lecture I. Les raisons pour ne pas être « récupéré » par le Parti 1. Raison morale 2. Raison idéologique 3. Raison personnelle II. Les instances d'Olga 1. Tentatives pour convaincre 2. Tentatives pour persuader 3. Échec des tentatives I. Les raisons pour en pas être « récupéré » par le Parti A- raison morale Le refus de Hugo de rester dans le Parti vient, premièrement, de ce qu'il considère que ce serait un irrespect envers Hoederer. En effet

imprévisible seulement lorsque nous considèrons l'être libre comme spontané. Nous serions donc amenés à nous demander si la liberté est la spontanéité. La difficulté repose dans la contradiction qui existe entre notre conscience, qui nous dit que nous sommes libres et par conséquent responsables, et notre expérience de la vie, où nous nous orientons d'après le principe de causalité. Dans le domaine pratique, et spécialement dans la politique, nous tenons la liberté humaine comme quelque chose qui va de

Questions sur le corpus de textes de SCHOPENHAUER (+ texte de Bergson ) 1/ Quelles sont, selon Schopenhauer les trois éléments constitutifs du bonheur et pourquoi le premier est-il le plus important ?2/ Pourquoi selon Schopenhauer est-il indispensable de chercher à se connaître pour être heureux ?3/ Pour Schopenhauer, peut-on changer délibérément ce qu’on est, c'est-à-dire notre caractère ?4/ Quelle est la différence entre ce que

Questions sur le corpus de textes de SCHOPENHAUER (+ texte de Bergson ) 1/ Quelles sont, selon Schopenhauer les trois éléments constitutifs du bonheur et pourquoi le premier est-il le plus important ?2/ Pourquoi selon Schopenhauer est-il indispensable de chercher à se connaître pour être heureux ?3/ Pour Schopenhauer, peut-on changer délibérément ce qu’on est, c'est-à-dire notre caractère ?4/ Quelle est la différence entre ce que

___________  La conscience est donc « transparente » à elle-même. Or chez Descartes, l’homme s’identifie totalement à sa conscience : pas de part obscure, je suis mes pensées. Par conséquent, TOUT ce qui se passe en moi m’est accessible : c’est pourquoi je ne peux me mentir, me tromper = je peux me connaître moi même de façon complète. « Par le mot de penser, j’entends tout ce qui se fait en nous de telle sorte que nous l’apercevons immédiatement par nous-mêmes » Principes de ma philosophie, Descartes

bonheur semble être ce que recherche au plus haut point tout les hommes. Dans chaque société, il y a une même conception de la morale, elle ne peut être individuel et implique toujours l'autre. La morale propre à notre milieu social valorise certaines choses ou comportements et en déprécie d'autres. On peut alors se demander si il faut agir vertueusement et suivre la morale ou s'il faut suivre ses désirs ? Dans la première partie nous verrons que le bonheur est la vertu elle-même et puis nous réfuterons

n’est pas encore assez éclairé. 2) que l’éducation tout en rendant possible le progrès de l’humanité ne le réalise pas. L’homme éduqué n’est pas encore un homme libre.Ce décalage explique pourquoi, comme nous allons le voir, il ne faut pas mal comprendre d’abord la nécessité du maître et du dressage et ensuite pourquoi l’éducation est nécessaire et non suffisante du point de vue non de l’individu mais de l’espèce humaine elle-même. V I Education, culture, problème de la discipline a) Kant/Rousseau

DESSALES PHILOSOPHIE Tes3 Thomas {draw:line} {draw:line} {draw:line} Sommes nous responsables de nos dèsirs ? Sommes nous responsables de nos désirs? A cette question la doxa répondrait « Non, un homme n'est pas responsable de ses désirs ». Pour répondre a cette question nous allons analyser les termes du sujet pour déterminer les differents axes à analyser. « Sommes nous » suggère une capacité de jugement, de mise en recule du sujet. « Responsables » suggère une conscience de ses

croyances, les lois, la morale, la coutume et autres capacités ou habitudes acquises par l’homme en tant que membre de la société ».  Une société libertaire serait une société « rêvée », dans la quelle il n’existe pas de loi, ni d’autorité politique, ceci correspond à l’état de natue, car s’il n’ya pas de lois, de droit, la vie en société n’est pas arbitrée, comment pourraient donc s’effectuer les échanges commerciaux ? Nous pouvons dès à présent nous demander Pourquoi l’homme a décidé lui-même

tant que celle-ci dresse les hommes sous prétexte de les améliorer en imposant ses dogmes. Or, sa manière de nous faire intérioriser la morale et d’apprendre notre devoir, censée nous rendre meilleur, est-elle vraiment la bonne voie ? Cette technique est-elle appliquée de la bonne façon ? Pour appuyer sa critique Nietzsche rejette premièrement l’idée que la morale correspond à l’amélioration, en comparant la doctrine religieuse au dressage animal. Dans un second et dernier temps le philosophe condamne