Pourquoi Vivre

Introduction : Si l’avare ne songe qu’à sa richesse, le joueur qu’à son gain, et si l’amoureux ne vit qu’à travers l’être aimé, il semblerait bien que tout passionné soit obnubilé par l’objet de sa passion, et prêt à tout pour la vivre, même à braver les commandements les plus évidents de la raison. Communément, nous jugeons les passions comme despotiques, aliénantes, et c’est la raison pour laquelle, elles furent longtemps condamnées car considérées comme des maladies de l’âme. Le christianisme

rechercher Philosopher est un verbe dont le sens est ambigu : en un sens large, il peut désigner la contemplation, dans une conception générale du monde, comme résultat de l'amour de la connaissance; mais, en un autre sens, il désigne un art de bien vivre. Il désigne donc à la fois une représentation de type contemplative (connaissance pure) ou une activité plus engagée dans la vie proprement humaine. L'activité de philosopher concerne donc à la fois l'action morale et politique, et nos moyens de connaître

pour les idées ou les illusions qui leur donnent une raison de vivre (ce qu’on appelle une raison de vivre est en même temps une excellente raison de mourir). Je juge donc que le sens de la vie est la plus pressante des questions. 1. Dans le premier paragraphe, quelle question est à l'origine de la pensée philosophique de Camus ? Pourquoi cette question revêt-elle, selon lui, autant d'importance ? 2. Dans le second paragraphe, pourquoi Camus juge-t-il que le sens de la vie est la question la plus

peut pas tout vivre, alors l'important est de vivre l'essentiel et chacun de nous a son "essentiel". Chacun a son monde, le tout est de planter ses racines dans la terre qui nous convient. Il y a ceux qui voient les choses telles quelles sont et qui se demandent pourquoi. Moi je les vois telles qu'elles pourraient être et je me dis pourquoi pas ! On rêve d'un idéal, on le prie, on l'appelle, on le guette, et puis le jour où il se dessine, on découvre la peur de le vivre, celle de

quelque chose dont on a envie mais qui ne nous serait pas nécessaire pour vivre, est en fait une condition au bonheur. Les désirs empêchent-ils d’être heureux ? Ou bien, au contraire, doit-on réaliser certains désirs pour être heureux ? Est-ce une obligation de renoncer à nos désirs pour atteindre le bonheur ou bien peut-on l’atteindre en réalisant ou pas nos désirs selon des choix personnels et singuliers ? Mais peut-on seulement vivre sans désirer ? Toutes ces questions posent un problème assez clair

sont tous ces sens que Pascal entend reprendre ici. -« tenir » c’est d’abord « se tenir en place » en quelque sorte, être. Nous ne nous tenons jamais dans le temps présent car nous fuyons vers d’autres temps ( le passé et l’avenir) plutôt que de le vivre. Nous sommes toujours dans la fuite dans l’imaginaire et le divertissement ou l’oubli. - Se "tenir" à quelque chose c'est s'en tenir à lui et s’en contenter. Or nous fuyons précisément le présent car nous ne nous en « contentons » guère. Il ne nous

les hommes ne doivent plus que vivre au jour le jour sens porter grand intérêt à tout ce qui n'est plus de ce monde. Pour répondre à cela, il faudra d'abord réfléchir sur les inconvénients qu'il y a à se rappeler le passé, puis de voir qu'il n'y pas que des inconvénients à cela. Enfin, nous verrons que l'homme doit trouver un certain équilibre entre son passé et son présent. Le passé est un temps révolu. Il faut mettre le passé de côté pour avancer, vivre le présent en se projetant vers

à l’hôpital où il fait la connaissance d’une bénévole surnommée Mamie-Rose. Présente à son chevet elle l’aide à vivre malgré sa maladie. En effet elle l’encourage à écrire à Dieu comme s’il était son correspondant et invente ce jeu surprenant qui permettra à Oscar de s’accomplir. Plus précisément, fil conducteur de cette histoire, ce jeu sur le temps offre à Oscar la possibilité de vivre jusqu’à 110 ans. La mort parait ainsi un prolongement de sa vie et non plus la terrible conséquence de sa maladie

voici donc pourquoi ils nous éloignent de la réalité. Les désirs nous rendent malheureux, on ne doit pas vivre selon nos désirs, ilfaut vivre pour ce qu’on a dans la réalité. Si les désirs nous rendent malheureux, il nous empêche donc de vivre dans la réalité. Les désirs rendent l’individu malheureux et l’obligent à rêver à une autre vie, les désirs nous rendent mauvais citoyen et finissent àl’avilissement de l’individu, de plus les désirs nous rendent esclaves, voici donc pourquoi ils nous éloignent

rappelais de sombres souvenirs qu’elle aillait devoir affronter pour la énième fois, pourquoi avait-elle ça ? , elle ne le savait pas mais ce jeune homme lui avait donné envie de combattre une dernière fois, elle avait essayé énormément de fois mais la fin a toujours été désastreuse. Elle avait installé Victor sue ses genoux le temps qu’il se réveille elle se demandait pourquoi elle était si douce avec lui et pourquoi son cœur battais comme cela. Elle n’avait même pas remarqué qu’elle lui caressait