Pourquoi Vivre

Le rocher de SisypheouLe courage de vivre La vie parfois vacille et doute d'elle-même.Commencer, recommencer, sans cesse. Le constatde l'éternellement recommencement des choses,semblable au cycle des saisons, la vie succédant à lamort et la mort à la vie, la croissance au déclin etle déclin à la croissance, produit une sorte d'angoisse. Le quotidien qui se livre sous le signe durecommencement mérite-t-il d'être vécu ? Peut-oncroire au sens de ce que l'on fait, lorsqu'il faut toujours reprendre,

Vivre, aujourd’hui la plupart des personnes ne prennent plus le temps de vivre. Nous sommes tous préoccupés par la vitesse. Aura-t-on assez de temps pour ceci ? A t’on le temps de faire cela ? Non je ne peux pas ! Je n’ai pas le temps ! Mais est-ce que nous le prenons le temps de vivre réellement ? Avec la vie d'aujourd'hui nous sommes tellement bousculés, que nous en avons le souffle coupé. Court à droite pour le travail, court à gauche pour combiner travail, enfants, famille et loisirs. Quand

l'emploi? Introduction: Pourquoi ce sujet? En réalité, si nous en sommes arrivés à cette problématique, c'est parce que plusieurs facteurs de notre vie de tous les jours nous y ont poussé. En effet, certaines habitudes, certaines peurs et certaines questions relatives à nous trois nous ont amené à un tel sujet. Pour ma part, j'avais pris l'habitude de jouer aux jeu de hasard, comme le Loto ou différents jeux à gratter. J'espérais pouvoir ainsi gagner de l'argent et vivre une vie paisible sans

d’être qui suppose un certain nombre d’achèvements. En cela elle rejoint bien l’idée même de la morale antique pour laquelle le Souverain Bien peut être atteint dès la vie présente : vivre heureux, c’est vivre une certaine plénitude, un certain accomplissement. Et il n’y a nul doute pour Calliclès qu’on puisse vivre parfaitement heureux. Il nous dit d’ailleurs en quoi consiste négativement et positivement ce bonheur : négativement, être heureux, c’est ne dépendre de personne et n’être soumis à

 Laurent Gaudé, «Pourquoi écrire? », Conférence (2011) Vidéo : http://www.ecole-alsacienne.org/spip/Laurent-Gaude-Pourquoi- ecrire.html Avant de commencer à visionner la conférence, lisez les questions puis répondez-y en prenant en note les propos de l’écrivain : 1. Pourquoi Laurent Gaudé dit-il écrire (21mn) ? L'aurent gaudé écris car a décide de vivre de sa plume et ses premiers écrits seront pour la scène, il avait le désir d'écrire. Mais aussi au fils des années l'écriture

Pascal essaie de comprendre le malheur des hommes. La raison est selon lui le besoin de divertissement. L'homme veut toujours se divertir, avec le jeu ou la guerre par exemple alors que si il savait se satisfaire de rester en repos, il serait heureux. Pourquoi l'homme cherche t'il à se divertir ? D'après l'auteur, ce besoin est causé par la peur de la condition humaine. Il utilise ensuite l’exemple hyperbolique des rois puis exprime les effets de la vérité exposée plus tôt. L'homme en se divertissant,

n’exclus donc pas que je perde quelque chose pour le bien de l’autre. La solidarité est une façon de se défendre à plusieurs ; la générosité, à la limite, une façon de se sacrifier soi, pour les autres. C’est pourquoi la générosité, moralement est supérieure à la solidarité. Et c’est pourquoi la solidarité socialement, politiquement est urgente, plus réaliste, plus efficace. Nul ne paie ses impôts par générosité. Nul ne respecte la loi par générosité. Générosité et solidarité ne sont pourtant pas

Pourquoi faut-il comprendre après tant de temps que certaines choses ont plus de valeurs qu'elles ne paraissent ? Pourquoi faut-il se convaincre d'être heureux, alors qu'en réalité, on peut l'être d'avantage ? Il a des choses qui font grandir, qui nous apprennent, qui nous changent, et parfois radicalement...On ne retrouve jamais ce qu'on a perdu, ni les choses qu'on a vécu, ni les liens qu'on a construit.. Il nous suffit d'entrenir tout ce qu'on a, tout ce qu'on peut, profiter et vivre. Les choses

de mes rêves arrivait. Il se planta devant moi et m’observa alors que moi, je ne voyais que son ombre. Il me tendit la main pour m’emmener. Je la lui pris et il me fit grimper derrière lui. Je ne voulais pas mourir ici alors autant le suivre pour vivre encore quelques secondes. Cette action se fit sans bruit. Il repartit avec moi derrière. Je m’accrochais à mon futur bourreau. Il était froid, glacé comme la mort qu’il allait m’affliger. Il semblait jeune. Au bout de quelques galops, le cheval

Ce choix que j'ai fait est autre que la fuite du contact humain, je rejette par la même occasion toute forme de matérialisme. Ce matérialisme qui a poussé les hommes à ne plus rester chez eux, à inventer une monnaie, à acheter sans relâche, à vivre uniquement par le biais de l'argent. Toute la société actuelle ne jure que cela, le modèle présenté au public, m'insupporte, comment pouvons-nous dire aux gens qu'ils doivent acheter ? Comment pouvons-nous les obliger à s'offrir des biens dont on peut