Pouvoir De Fascination Baudelaire La Beauté

matériaux désordonnés, par opposition au dionysiaque qui exalte la démesure. Face à l'idéal de beauté majestueuse, incarné par Apollon, dieu de la musique, l'idéal de la beauté convulsive est incarné par Dionysos, dieu du vin, en l'honneur de qui sont célébrées, dans la Grèce antique, les fêtes orgiaques. Il ne faudrait pas confondre ce terme avec l'adjectif apollonien, qui qualifie un certain type de beauté masculine et caractérise l'idéal grec, mélange de virilité et de grâce, tel qu'on peut le

de Voltaire, en préambule de cette introduction me permettra de ne pas tomber dans le sillon de Philippe Bouvard… Pourquoi j’ai choisi ce thème ? D’abord, parce que en tant que collectionneur de gravures, je ressens une attirance naturelle pour la beauté du monde exprimé par l’art, et il me semble que revisiter de temps en temps des grands classiques et leurs réflexions sur l’art ne peut nous faire que du bien. A une époque où, trop souvent, on est si pressé qu’on en tombe dans l’inaction et où on

comme   Nietzsche   (lire   2nd   considération   intempestive),   pensait   qu’on   ne   pouvait   vivre   dans   cette   environnement     remplit   de   mémoire   et   que   pour   pouvoir   créer   un   créateur   ne   peut   pas   travailler   dans   un   lieu   pétrit   de   souvenirs.   La   vie   à   besoin   d’oublie  selon  lui.   BORGES  :   Funes

Séquence 1 : Les pouvoirs de la poésie Textes des lectures analytiques : Texte 1 : Ronsard, Ode à Cassandre (1550), p. 275 du manuel Texte 2 : Rimbaud, « Aube », Illuminations 5 10 AUBE J'ai embrassé l'aube d'été. Rien ne bougeait encore au front des palais. L'eau était morte. Les camps d'ombre ne quittaient pas la route du bois. J'ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes se levèrent sans bruit. La première entreprise fut, dans le sentier

(lien logique ou analogique). Bannir les expressions lourdes comme : « maintenant on va passer à l’étude de… » Exemple : Aragon, par sa poésie, métamorphose Elsa en un être multiple, lui donne des visages divers ; en un sens, lui aussi, par là, a des pouvoirs magiques, comme Elsa elle-même (synthèse) / le poème semble en effet retracer une suite de « miracles » qui lui donnent son atmosphère merveilleuse et mystique (annonce de la partie suivante) Structurer une partie, un paragraphe On organise chacune

par lui-même, et donc qu’il n’existe pas. A moins d’adhérer au manichéisme, nous sommes tentés de voir dans le mal une privation d’être. Le mal est de l’ordre du manque de ce qui devrait être là et qui n’est pas (l’ordre, la santé, l’harmonie, la beauté). Est-ce à dire que c’est un rien qui produit tant de désastres ? Cette aporie peut être dissipée par l’éclaircissement apporté par Kant dans l’Essai pour introduire en philosophie le concept de grandeur négative (1763). Le problème vient en effet

du langage et de la pensée : comme le résume Breton en 1953 dans Du surréalisme en ses œuvres vives « retrouver le secret d’un langage dont les éléments cessassent de se comporter en épaves à la surface d’une mer morte […] leur rendre tout leur pouvoir ». C’est ainsi que pour fuir le rapport conventionnel des mots aux choses, ils vont utiliser l’image comme levier métaphorique (à la manière de Magritte qui poussera cette approche à l’extrême). Vers une anti littérature qui provoque l’image pour

Florian, « La Fable et la Vérité » 57 57 59 59 60 61 62 63 64 64 64 65 65 66 Paraboles et allégories J. Goujon, Fontaine des Innocents E. Le Sueur, Clio, Euterpe et Thalie Exercices d’approfondissement 1 J. de La Fontaine, Fables, « Le Pouvoir des fables » 2 J.-P. Claris de Florian, Fables, « Le Lierre et le Thym » 3 V. Hugo, Les Châtiments, « Fable ou Histoire » 4 J. de La Fontaine, dédicace des Fables Prolongements Séquence 6 Contes et romans philosophiques C. Perrault, Contes de

de pierre Se tenait à la barre et coupait le flot noir ; Mais le calme héros, courbé sur sa rapière, Regardait le sillage et ne daignait rien voir. [Baudelaire, Les Fleurs du mal – Antisthène : penseur grec fondateur du cynisme philosophique – Don Luis : père de Don Juan chez Molière – Rapière : épée à lame fine utilisée pour les duels] [Baudelaire, Les Fleurs du mal – Antisthène : penseur grec fondateur du cynisme philosophique – Don Luis : père de Don Juan chez Molière – Rapière : épée à lame

Bodard, Monsieur le Consul, Grasset 1974 : René Mauriès, Le Cap de la Gitane, Fayard 1975 : Voldemar Lestienne, L’Amant de poche, Grasset 1976 : Raphaële Billetdoux, Prends garde à la douceur des choses, Seuil 1977 : Jean-Marie Rouart, Les Feux du pouvoir, Grasset 1978 : Jean-Didier Wolfromm, Diane Lanster, Grasset 1979 : François Cavanna, Les Russkoffs, Belfond 1980 : Christine Arnothy, Toutes les chances plus une, Grasset 1981 : Louis Nucera , Le Chemin de la Lanterne, Grasset 1982 : Éric Ollivier