Pouvoir Politique Firmes Multinationales

: Hyundai, performances + en Europe Bâtiment Japo, importance de l'Etat Japon, BTP = 8% du PIB et 10% de la main d'oeuvre, système d'entente préalable aux appels d'offre. => liens + entre PLD et BTP (investissemnts publics contre soutien politique et financier Energie 8 des 10 1ères entreprises mondiales en CA sont des compagnies pétrolières : Royal Dutch Shell, Exxon Mobil, China Petroleum, BP, PetroChina, Conoco Phillips, Chevron, Total. Mais les entreprises moyen-orientales ne sont

l'autre des salariés eux-mêmes (volonté des cadres d'acquérir une expérience internationale). Les entreprises internationales se trouvent au cœur de la mondialisation, phénomène qui s’est accéléré au cours des années 1980, notamment à cause des politiques de déréglementation et de l’avènement des technologies de l’information. La forte concurrence à laquelle se livrent les organisations à l’échelle planétaire et leur besoin d’expansion les ont conduites à implanter des filiales à l’étranger ou à

prennent la forme soit de l'antimondialisation, soit de l'altermondialisation. Le terme de "mondialisation" est surtout utilisé dans le domaine économique, mais celle-ci touche à toutes les activités humaines : industrie, services, commerce, politique, social... Elle concerne aussi la communication et les échanges entre tous les individus de la Terre devenue "village planétaire" et entre les différentes cultures. Pour des partisans de la mondialisation : Elle est une étape nécessaire pour permettre

devient mondial. Grâce à l’avion, on peut voyager très vite et la distance n’est plus un obstacle. C) Les firmes multinationales se multiplient On en compte plus de 70 000 aujourd’hui soit 10 fois plus qu’en 1970. Elles assurent le tiers du commerce international et leur stratégie est planétaire à savoir que les usines fonctionnent de manière complémentaire et les firmes multinationales n’hésitent pas à fermer une filiale dans un pays pour aller s’installer dans un autre si la main-d’œuvre est

À ce constat, vient s’ajouter la crise alimentaire de 2008 qui a fait l’objet d’une médiatisation sans précédent. Nous considérons que cette crise est le résultat d’une économie de marché imposée par les pays puissants et leurs entreprises multinationales qui sont les seuls à profiter des bénéfices du capitalisme et de la mondialisation. Cette crise alimentaire résulte donc de du système libéral dans lequel nous vivons. Dans un premier temps, nous allons définir notre cadre théorique qui est

trouver dans le titre du rapport de la Commission relatif à la concurrence internationale( juillet 1995 ). La mondialisation pourrait être définie, d’un point de vue concurrentiel, comme l’avènement d’un marché mondial sur lequel agissent des firmes multinationales. Un marché mondial est avant tout un marché géographique c’est-à-dire une zone géographique dans laquelle les conditions de concurrence sont suffisamment homogènes et qui se distingue des marchés voisins. En l’occurrence, un marché mondial

un article publié dans la célèbre revue Harvard Business Review, l’économiste Théodore LEVITT utilise explicitement le thème « globalization » pour faire référence à l’existence de nouveaux marchés favorables à l’écoulement des produits des firmes multinationales. Pourtant, il faudra attendre 1990 pour que le terme devienne générique grâce à l’ouvrage The Bordless World: Power and Strategy in the Interlinked Economy du stratège Japonais Kenichi OHMAE. 2) …A la mondialisation actuelle De nos jours

pratiques des agriculteurs, les politiques d’aménagement ou de soutiens des pouvoirs publics. Ainsi en Asie, la riziculture s’explique à la fois par une adaptation au climat des moussons mais aussi par une civilisation qui fait du riz sa base alimentaire. En occident c’est au contraire le blé qui domine traditionnellement l’alimentation. Une tendance à l’uniformisation des habitudes alimentaires et des systèmes de culture apparait cependant. Les grandes firmes multinationales américaines ou européennes

(variable du risque économique), la balance courante en % du PIB (variable du risque économique), la dette extérieure (variable du risque financier) et la stabilité politique (variable de gouvernance). Au moment où les régions du monde se font de concurrence pour attirer davantage des IDE, les pays de la CEMAC devront mener des politiques adéquates dans le sens de l’amélioration des infrastructures de communication, du climat des affaires, de la bonne gouvernance pour bénéficier de ces flux de financements

caractéristiques organisationnelles, individuelles et stratégiques qui peuvent être regroupées dans le tableaux suivant : Caractéristiques | Clan japonais | Chaebol coréen(conglomérat familial) | Entreprise familiale chinoise | Nature des firmes | Spécialisation | Forte | Faible | Forte dans les E/ses hiérarchiséesFaible dans les E/ses familiales | Modèles de croissance | Evolutif | Discontinu opportuniste | volume diversification opportuniste | Organisation du marché | Relation