Pouvons Dire Ce Que Nous Voulons Dire

sous peine de prison, voire la mort. Quant aux limites de la liberté d’expression, c’est à dire, où commence-t-elle, et où finit-elle, il y a une cite que je connais depuis que je suis petit, et que je n’oublierai jamais : « La liberté d’un individu finit là où commence celle des autres ». Cette phrase signifie que, quand on parle de liberté, nous pouvons faire toujours tout ce que nous voulons, à condition que les autres ne soient pas affectés avec des (mauvaises) conséquences de nos

que cet exercice informatique copy/paste, sans jugement, ni critique, ni sélection, ils copient. Nous trouvons à ce niveau des textes truffés de contradiction, dépourvu d’intelligence : Ils sont piètres c) Les évaluations formatives. Pouvons-nous dire qu’il est impossible d’organiser des évaluations formatives. Après les cours, dans ce contexte où les élèves sont entassés, et le problème d’intégrité multidimensionnelle, les professeurs ont toutes les peines du monde à jauger avec justesse

connaît pas les sentiments de ce qu’on veut dire . Nous pouvons voir dans Phèdre de Platon que Socrate disait que les mots sont des « caractères étrangers », c'est-à-dire que les mots ne connaissent pas nos souvenirs. En outre, l'écriture est muette, elle ne parle pas, si on a des questions elle ne va pas pouvoir nous répondre. Si nous lisons quelque chose dans un livre, à moins que nous soyons devant l'écrivain, nous ne pouvons pas demander au livre, aux mots qui s'y trouvent

je cherche mon téléphone dans mon esprit je sais directement à quoi il ressemble, où je peux le trouver je ne cherche pas à me dire que se téléphone est noir, que c’est un Samsung, qu’il est tactile, qu’il peut prendre des photos, qu’il a ce fond d’écran… car j’ai pris l’habitude d’utiliser ce téléphone; l’étiquette collée sur lui ne me met pas dans le besoin de me dire qu’il existe plusieurs couleur de téléphone, plusieurs marques, différentes fonctions mais pourrait m’induire de ce fait en erreur

choses joue incontestablement sur notre bien être, mais cela nous rend il toujours heureux ? Normalement, le besoin de possession est modéré: nous obtenons ce que nous voulons, ce dont on rêve, le bonheur est immédiat. Mais le besoin d'acquérir des richesses est amplifié à cause de la société dans laquelle nous vivons. En effet nous voulons parfois avoir les mêmes choses que les autres, pour s'intégrer dans une communauté par exemple: Un jeune voudra avoir un vélo pour tisser des liens avec un groupe

la musique, des fois ils prennent aussi de l’alcool. Et il y a aussi leurs sorties en boîte. Les Français sont comme les autres peuples du monde : ils aiment sortir en boîte. Les boîtes de nuit sont des lieux de rencontres (amoureuses, si j’ose le dire). Cependant, en Chine, c’est plutôt les personnes un peu « perdues » ou même « dégradées » qui sortent en boîte. Du coup, pour certains Chinois, cela nuit à l’image des Français à leurs yeux. Ces deux exemples servent d’une preuve pour afficher l’importance

il y a une création de 35 Caisse d‘épargne régionales. Ces caisses absorbent alors les SOREFI et deviennent des banques régionales généralistes. Ce qui entraine une création d’un établissement centralisateur. La création en 1992, de la CNCE, c’est à dire, de la caisse centrale des caisses d’épargne prennent le rôle de chef de réseau. Les Caisses d’épargne ont la majorité absolue du capital et des droits de vote et donc les Caisses de Dépôts la minorité. Aujourd’hui, la Caisse d’Epargne fonde ses valeurs

accepter les conséquences. M. Fisher, avocat des 21 banques dans le film Cleveland contre Wall Street de J.S. Bron, pense au contraire que « Nous sommes libres de gagner et nous sommes libres de perdre. ». C’est-à-dire que nous, comme tout individu, sommes libres de faire les choix que nous voulons et d’en subir les conséquences, qu’elles soient positives ou négatives pour nous-mêmes. Par conséquent, nous seul sommes responsables des fruits de nos choix, donc nous devons les accepter. En revanche, faisons-nous

nécessairement. Mais, en tant que réflexion, je puis dépasser toute détermination posée par les circonstances. Dans la mesure où l’homme allègue qu’il a été entrainé par des circonstances, des excitations, etc., il entend par là rejeter, pour ainsi dire, hors de lui même sa propre conduite, en vérité, est toujours sienne, non celle d’un autre, ni l’effet de quelque chose qui existe hors de lui, Les circonstances ou mobiles n’ont jamais sur les hommes que le pouvoir qu’il leur accorde lui même. »

Le bonheur Posséder est- ce être heureux ? Nous pouvons déjà nous demander ce qu’est le bonheur. Le bonheur c’est satisfaire a tout ses désirs c'est-à-dire au phénomènes qui nous poussent a posséder un objet en vue d’en tirer plaisir (cet objet peut être matériel ou non) , de plus le bonheur est un état stable et durable comparé aux plaisirs qui eux sont éphémères c'est-à-dire que l’on en redemande tout le temps Maintenant nous pouvons nous demander si être heureux c’est satisfaire a tout