Pouvons Nous Etre Heureux Sans Autrui

des jugements moraux. Principe de sympathie : A travers tte les interaction que l’on a avec notre env, deux choses peuvent suciter du plaisir : * Les objets, liens et services auxquels on peut avoir acces. Suceptible de nous rendre heureux * Peut etre plus important : interaction avec les autres individu = « sympathie » = mecanisme Mec qui a deux composantes : identification et emotion. Identification : aptitude que nous avons en voyant qqun d’autre à nous mettre à la place de cette

manière à ce qu’il en résulte le maximum de bonheur », Jérémy Bentham (1748-1832). Bien sûr chaque homme, recherche le bonheur, et pour ce faire, il essaye d’agir en fonction de ce dernier, de manière à le provoquer, ainsi, chaque action de chaque être humain est contrôlée pour qu’elle soit la meilleure possible et chaque acte est réfléchis, le plus souvent, pour éviter de commettre une erreur et se rapprocher le plus de la satisfaction, et donc du bonheur. Jérémy Bentham est le fondateur de l’utilitarisme

Donc beaucoup de personnes estime être entièrement libre lorsqu’on ne se soumet à aucune règles ni aucune contraintes. Souvent l’obéissance et la liberté sont vu comme deux notions opposé. En effet ; certains affirme comme Callicles dans Gorgias de Spinoza que pour être libre et heureux on ne peut pas être esclave de qui que se soit en l’occurrence l’État. La liberté serait donc envisagés si l’homme ne réprimait pas ses

D) AUTRUI Le mot « autrui » désigne l’humanité entière, autre que moi-même. Certes, autrui pour nous est souvent constitué des personnes de notre entourage, quartier, école, famille etc. Cependant, il suffit d’aller faire des études supérieures, pour rencontrer des gens issus des sociétés les plus lointaines. Il suffit de voyager à l’étranger pour voir une société et une culture différentes. Les guerres, les échanges commerciaux, culturels font se rencontrer les cultures. Nous sommes

Doit-on être heureux ? ____________________________________________________________________ Chaque homme sur Terre souhaite un jour être heureux dans sa vie. Cet état se définit par la jouissance du bonheur, mais le concept du bonheur peut recevoir plusieurs définitions en fonction de chaque individu. Le degré de bonheur atteint, le contentement de cet état n’est pas le même selon les individus. Il y a tout d'abord une contradiction apparente entre l'idée du devoir moral

« Désirer, est-ce nécessairement souffrir ? » L’homme est un être de désirs. Il désire ce qu’il n’a pas et ce qu’il n’est pas. Le désir et la volonté de le satisfaire proviennent du manque. Le désir exprime la volonté de le combler. L’homme désire ce qu’il veut obtenir donc ce qui lui paraît plaisant. Il semble désirer le bonheur, du moins ce qui lui en rapproche. L’homme le désire-t-il peut-être parce qu’il ne le connaît pas ou n’estime pas le connaître. L’absence de bonheur, la souffrance

d’être gouvernés par autrui qui serait plus fort que l’individu. Cette question nous amènes à nous demander qu’elle est la place de l’homme s’il doit être gouverné et ce par qui ? Lui-même ? Ou par le retour de la dialectique maîtres et esclaves qui seront les maîtres ? Mais en réalité l’homme ne peut-il pas se contenter de son libre arbitre ? Afin de répondre à cette question nous verrons en plusieurs axes que l’homme à besoin d’être guidé mais que cette nécessité peut être remis en question.

Aristote, le plus haut degré de réalité se trouve dans le monde des sens. Aristote va dire que toute chose est constitué de deux choses : - La forme : c'est l'essence de la chose - la matière : c'est l'être en puissance. Ca veut dire que tout être porte en lui la possibilité d'atteindre une certaine forme. Chaque changement s'applique par un passage du possible au réel. Pour Aristote, l'homme est un homme car il est constitué d'un corps et d'une âme. L'âme est plus importante que

de chance en ce sens que je suis cet être inscrit dans la nature et que je suis soumis aux lois qui la concerne. Pour commencer, l’étymologie même du mot bonheur provient de « bon », le contraire de mauvais et de « heur » qui signifie hasard, le mot en lui même définit alors le bonheur comme une question de chance. En effet, en ce qui concerne l’être humain, la satisfaction des plaisirs auxquels on aspire, reste une question de chance. Nous pouvons prendre l’exemple de la beauté, c’est

méthodologique pour objectiver les biais de traitement de l’information. 1. Introduction L’Optimisme comparatif (OC) se définit comme la tendance des individus à croire qu’ils auront plus de chances que leurs pairs de vivre des évènements heureux et moins de risques qu’autrui d’être confrontés à des évènements indésirables (Harris et Middleton, 1994). Ce biais a été attesté par un nombre important d’études depuis sa découverte en 1980 par Weinstein et pour de nombreux thèmes, notamment celui