Pouvons Nous Savoir Avec Certitude Que Nous Sommes Libres

comme des sujets. Nous sommes des sujets de droits (des personnes juridiques) mais nous ne nous comportons pas comme des sujets. NB : autre sens du mot « sujet » qui n’aura pas cours ici, le sujet au sens « assujetti ». Ex : le roi et ses sujets. Si être un sujet, c’est être une personne, quel rôle joue la conscience dans l’affirmation et l’existence de cette personne. I°/ La conscience Etymologie : du latin « cum-scientia », accompagné de savoir. La conscience, c’est un savoir qui m’accompagne. Ex

sophia: sagesse, le savoir. Philosophe veut atteindre le bonheur, bien conduire sa vie ( aspect moral). Seul la vérité nous permet d'atteindre, d'approcher le bonheur. 1) Le questionnement socratique Socrate est nommé le « père de la philosophie ». Pensée pré-socratique fondée sur les mythes, relation Dieu-Hommes mais on ne parlait pas de...................................................... Il vivait à Athènes dans l'Antiquité. Il soutenait qu'il ne détenait pas un savoir et que donc il n'enseignait

que nous sommes mortels et fragiles, souffrants, comment pouvons-nous espérer raisonnablement un tel bien ? N’est-ce pas purement illusoire pour un être conscient de ce qui lui arrive, du fait qu’il va souffrir et mourir ? b. Cette même conscience n’est-elle pas par ailleurs à elle seule la source de tous nos troubles intérieurs ? Comment la paix serait-elle possible si le trouble est intérieur à la conscience? On pensera au savoir amer de Baudelaire, c'est-à-dire ce savoir que l'on

humilité dans la religion. D’une part, l’humilité objective : c’est le fait que Dieu se fait homme. D’autre part, l’humilité subjective : c’est le fait de lâcher prise, de lâcher la raison pour faire place à la foi et faire confiance en un autre, à savoir Dieu. - Comment les Juifs et les Grecs ont-ils réagi à cette nouvelle proposition ? Le fait que le divin s’est fait homme et qu’ainsi le Christ est le fils de Dieu est inacceptable et pour les Juifs et pour les Grecs. Pour les Juifs, c’est

cours, on distingue mal la différence entre l’éducateur et le thérapeute et l’instituteur. Dans l’enseignement, on imagine l’instituteur a un niveau supérieur de l’élève. Il y aurait comme une hiérarchie : il y a celui qui sait et qui transmet un savoir à celui qui ne sait pas. Or, dans l’accompagnement que fait un éducateur, il n’y a pas de hiérarchie, l’autorité se pense plutôt en terme de posture ou de positionnement. Qu’est-ce que c’est pour nous qu’éduquer ? Pour certains qui arrivent en formation

personnalité juridique A) Le concept de personnalité juridique On dit que la personnalité juridique est l’aptitude à devenir titulaire de droit subjectif. A savoir des prérogatives prévues par le droit objectif. Les romains distinguaient deux concepts essentiels : les personnes et les choses. Le droit est Binaire. Soit nous sommes dans la catégorie des personnes juridiques soit dans la catégorie des choses juridiques. Notre droit à continuer avec la distinction romaine. On distingue aujourd’hui

contredisent ce qui est exprimé. Trois questions apprennent à identifier et à préciser les concepts de l’auteur. Les réponses figurent en fin d’ouvrage. ans l’ordre intellectuel le contenu de la liberté c’est la vérité ; c’est elle qui nous rend libres. Mais voilà pourquoi la vérité est l’action de la liberté, en sorte que celle-ci ne cesse de la produire. Il va de soi que je ne songe pas ici aux orgies d’esprit de la philosophie contemporaine pour qui nécessité et liberté de pensée ne font qu’un

sont dans l'âme et le corps, destituées des attraits de la nouveauté, ne sont pas assez fortes pour s'attirer notre attention et notre mémoire, qui ne s'attache qu'à des objets plus occupants. Toute attention demande de la mémoire, et quand nous ne sommes point avertis pour ainsi dire de prendre garde à quelques unes de nos perceptions présentes, nous les laissons passer sans réflexion et même sans les remarquer. Mais si quelqu'un nous en avertit (…) et nous fait remarquer par exemple quelque bruit

1995 Roman sur l’histoire de la philosophie – « Qu’est ce qu’il y a de plus important dans la vie ? tous les homme ont évidemment besoin de nourriture, d’amour et de tendresse. Mais il y a autre chose dont nous avons tous besoin : c’est de savoir qui nous sommes et pourquoi nous vivons ». Le contexte : Sophie, 15 ans, vit avec sa mère qui travaille tous les jours tard et son père qui vit la plupart du temps à l’autre bout du monde. Un philosophe entre en contact avec elle et lui fait parvenir des

célèbre, l'allégorie de la caverne, Platon compare notre situation d'ignorance à celle d'un prisonnier condamné à ne voir depuis l'enfance que des ombres. Sous le poids de nos désirs et de nos opinions, nous ne pouvons qu'errer dans l'illusion. Il faut donc délivrer le prisonnier que nous sommes de ses chaînes (ce que fit Socrate pour Platon) pour apprendre notre raison à voir les réalités que sont les Idées. Platon oppose la lecture sensible du monde, mouvante, source d'erreurs et d'errance à la lecture