Poème Avec Morale Implicite

Hernani Les feuilles d’Automnes Sujet : Hugo évoque un souvenir personnel, ce poème est narratif et descriptif. Hugo choisi de représenter la toilette funèbre d’un petit garçon tué la nuit du 4 décembre 1851 lors des émeutes provoquées par le coup d ‘état de Napoléon III. Son but est d’émouvoir lecteur pour ensuite susciter l’indignation : C’est un poème engagé. Versification : Alexandrin, rimes suivies qui sont proche de la prose. Composition : I/ Construction

dénoncer des inégalités, défendre une cause. Dans une première partie nous allons étudier les moyens explicites mis à disposition des auteurs afin qu'ils puissent dénoncer ce qui les scandalise, et dans une seconde partie nous allons voir les moyens implicites du combat. Plan : I. Les moyens explicites du combat A. Les différentes formes d'écriture engagée (pamphlet, lettre ouverte, essai, réquisitoire...) exemple : l'article "Guerre" de Voltaire, Cyrano de Bergerac et ses lettres ouvertes "Contre

Texte oral Français: «Le joujou du pauvre» , Baudelaire. 1869 Introduction: «Le joujou du pauvre» est un poème en prose qui se présente comme un narration. Il s'agit d'une scène qui a été vu par l'auteur et il en a tiré une illustration de l'étonnante capacité d'émerveillement propre à l'enfance. 1.Un jeu d'opposition. L'enfant riche et l'enfant pauvre incarne 2 vie opposée, cette opposition est d'ailleurs souligné '' ces barreaux symboliques séparant deux mondes '' . Les lieux de vies des

amoureuse . Cette forme, qui est donc neuve et moderne à cette époqueProblématique : Ou réside donc la modernité du poème ?3/ Il possède : .2 quatrains (strophes de 4 vers) .Une rupture entre les quatrains et les tercets. .2 tercets (strophes de 3 vers) .Une chute pointe (le dernier vers)Après la lecture annoncer la progressionde l’explication en utilisant la constructiondu sonnetUn poème a forme fixe : tjr la même choses ( nombres de quatrains,...)1) sensations et sentiments.Le sonnet se concentre

» et imprimé ici dans ce poème par l’interjection « ö » et les point d’exclamation qui ponctuent le poème et qui rappellent le lecteur à une sorte de catharsis : le poème devient ainsi une expérience initiatique relavant du

allégorique et comportant un enseignement ou une morale. Parmi les apologues on compte les fables et les contes philosophiques. Remontant à une tradition ancienne (Ésope, VIe siècle av. J.-C.), la fable est un genre d'origine populaire, consistant en un récit court, souvent agrémenté d'un dialogue, et servant à illustrer une morale qui peut être explicite (le « rien ne sert de courir il faut partir à point » dans  le Lièvre et la tortue  de La fontaine) ou implicite. C’est un moyen puissant de défendre une

fiction, dans le genre du récit, qui défend un certains nombre de principes, qu’ils soient moraux, philosophiques ou religieux. Cette défense peut être implicite ou explicite ; elle se manifeste généralement par des expériences et les opinions des personnages. On met dans la catégorie de roman engagé tout œuvre qui va manifester un penchant pour une opinion, il peut aussi tout simplement servir à donner une morale ce qu’on appel un exemplum. Exemple : Emile Zola manifeste ses opinions en prenant parti

panthéon des grands poètes du XVIIe." Distinguer versification et poésie • Il est vrai que les fables sont parfois présentées comme des poèmes mais il ne faut pas oublier que l'usage du vers ne suffit pas à rendre un texte poétique et qu'un poème peut être en prose. • Je répondrais aussi qu'il faut commenter la versification des fables : elles constituent un sous-ensemble de la poésie (au même titre que les sonnets, les rondeaux, les chansons, les ballades etc.). • Par contre, je

plaisir naturel de l’imitation » (l6-7), tout comme celui des fables, qui sont des récits véhiculant une morale, qui selon Erasme est un « préceptes philosophiques » (17), « Leurs séduisants attraits charment les oreilles enfantines » (l9-10), « (…) les adultes y trouvent le plus grand profit, pour la connaissance de la langue (…) » (l11-12). Il favorise également l’apprentissage des « poème bucolique » (l27) et celui des « comédie » (l27) qui permettent une réflexion sur les comportements humains

preuve d’une grande originalité dans l’adaptation des thèmes travaillés par Pétrarque (pour saisir l’influence de Pétrarque, lire le poème de Du Bellay (1522-1560), poète de La Pléiade, « J’ai oublié l’art de pétrarquiser »). Recommandations : pour aborder ce sonnet (comme n’importe quel sonnet d’ailleurs), il est impératif de connaître la structure de ce type de poème (cf. votre manuel, éléments de versification, page 217). Composition strophique du sonnet : sonnet de facture régulière, en décasyllabes